http://www.yoanna.fr

https://www.myspace.com/yoannaceresa





Origine du Groupe : France

Style : Alternative , French Touch

Sortie : 2012

Pour http://www.latoiledepandore.fr 10 avril 2012, le Divan du Monde, Paris. Flanquée d'un accordéon à peine moins gros qu'elle (trois tonnes, ça fait quand même lourd pour un instrument de torture !), Yoanna jette un coup d’œil complice à son acolyte de scène, Marion Ferrieu, qui enfourche son violoncelle sans broncher. La salle est à l'affût, on se pourlèche déjà les babines (et pas seulement pour la délicieuse frimousse de la jeune et jolie chanteuse) : c'est qu'avec Yoanna, il y a du spectacle, et pas n'importe lequel ! Son franc-parler ne fait pas que grincer quelques mâchoires mal embouchées, il chatouille aussi copieusement les côtes (ce soir-là, il n'y avait pas que les restes sacrés de Boris Vian qui avaient le boyau rigolard !). Sa voix cabossée accroche les mots comme elle les caresse ; c'est une troupe de légionnaires en pleine beuverie qu'elle vous ferait chialer comme des veaux. Sa présence seule laisse pantois ; elle vous désarçonnerait un régiment d'énarques. Et son charme, ah son charme !... Celui-là, il vous ranimerait ni une ni deux le plus cabochard des ascètes. Et lorsque l'on sait qu'en plus, entre deux chansons d'un style parfaitement inclassable (on peut jouer de l'accordéon sans souffler les souliers de la mère Yvette), aux vagues relents de rock indé et de musette (si si c'est possible, prenez les Têtes Raides par exemple), de folk et de musique populaire, Yoanna secoue la galerie de courts discours corrosifs qui démangent les méninges aussi sûrement qu'ils donnent la banane, on guette sa venue comme celle du Messie. Alors si vous avez loupé les vêpres parisiennes et qu'une sale épidémie de cosse vous tient pieds et poings liés au zinc d'en-bas, consolez-vous, le nouvel album de Yoanna, Un peu brisée, est d'ores et déjà dans les bacs ! Tracklist : 01 – Elle Est Double 02 – Pauvre Petit 03 – La Cage 04 – Tant Qu’elle Dit 05 – Noces De Ronce 06 – Rat D’labo 07 – Cesse 08 – Grenouille 09 – Un Peu Brisée 10 – Crise D’ado 11 – La Vieille Et La Gamine 12 – Le Cri Du Chat

https://www.myspace.com/guitoud

http://www.fresh-poulp.net





Origine du Groupe : France

Style : Electro Dub

Sortie : 2010

From http://www.fresh-poulp.net



Retour à l’action pour le français Guitoud. Après deux premiers opus, il revient avec Conscious Rasta, un troisième volet plus péchu que ses prédécesseurs mais où la pate du Guitoud reste ancré.
Tout comme dans Analogic Time, on retrouve un featuring avec Algar, autre artiste du crew Fresh Poulp.



Back to action for Guitoud. After first two albums, Guitoud is back with Conscious Rasta, a third part more punchy than its predecessors but where’s the dough Guitoud remains anchored. As in
Analogic Time, there is a featuring with Algar, another artist of the Fresh Poulp Crew.





Tracklist :

01. Chains 05:26

02. Chalice 04:03

03. Cliff 04:57

04. Combination (feat. Algar) 04:15

05. Coming Jah 05:13

06. Conscious (Rasta Version) 07:08

07. Citizen 04:15

08. Critical Dub 05:47

09. Coming Dub 04:37

10. Constant 02:48

11. Carbonic Oxyde 05:19

http://zoufrismaracas.com

http://www.myspace.com/vinsandthezoufrismaracas





Origine du Groupe : France

Style : French Touch

Sortie : 2012

Pour http://blogs.rts.ch



Et voilà que débarque de nulle part, les Zoufris Maracas, avec un premier album dont l’écoute titille immédiatement les oreilles attentives.  Nulle part s’avère être la France, mais on sent
bien, on entend bien que les influences musicales sont multiples, diverses et débridées. Si  les maracas sont des instruments de percussions bien connus s’affichant d’ailleurs sur la
pochette, qu’en est-il des zoufris ?  Les zoufris, c’est le nom donné aux ouvriers algériens qui venaient travailler en France.  Souvent des hommes seuls, exilés et nostalgiques de leur
terre natale. Les Zoufris Maracas, c’est d’abord Vin’s et Micho, qui depuis l’époque de leur amitié adolescente, ont partagé 1000 expériences en Afrique, en Amérique latine et dans le métro en
France. Un parcours, un choix de vie assez incroyable dont leurs chansons se font l’écho, reflètent leur philosophie et leur conviction. Pour en savoir plus sur leur cheminement, une
mini-biographie bien ficelée se trouve sur leur site. Oui, les Zoufris Maracas clament haut et fort ce qu’ils pensent de nos comportements occidentaux : l’épuisement aveugle des ressources
naturelles (« Dis papa »), l’immigration (« Un gamin »), les aberrations de la course au profit et à la consommation( « Les cons ») et  leur vision du fameux « travailler plus, pour gagner
plus » (« J’aime pas travailler ») sans oublier quelques coups d’œil sur les filles (« Bahia », « L’été »).  L’ingrédient principal, qui rend le menu toujours digeste, c’est la justesse du
ton.  Les Zoufris Maracas manient les mots avec dextérité, ne se départissent jamais de leur humour, d’un certain recul, sans ironie ou amertume, mais les choses sont clairement dites.
Musicalement, on alterne entre musique de rue, swing manouche, zouk ou encore afro latino.  L’écrin musical des Zoufris Maracas a une élégance particulière, comme un Mathieu Boogaerts boosté
ou un Manu Chao débranché. Beaucoup plus proche de l’éloquence de Java que des gros sabots de La Rue Kétanou ou des fatiguant Les Hurlements d’Léo.





Tracklist :

01. Et ta mère (02:49)

02. Un gamin (04:09)

03. Les cons (03:02)

04. Prison Dorée (03:43)

05. En Vélo jusqu'au Sahara (02:35)

06. Le peuple l'Sil (02:33)

07. Koutmou (03:31)

08. Dis Papa (03:09)

09. J'aime pas travailler (03:12)

10. Bahia (03:05)

11. La fée électricité (02:03)

12. Bras Ballants (02:28)

13. Feijaon (02:52)

14. L'été (03:25)

15. Si tu crois que cette nuit (bonus track) (03:31)

http://www.thirdeyefoundation.com





Origine du Groupe : U.K

Style : Experimental , Dark Folk

Sortie : 2012

By Nick Neyland from http://pitchfork.com



The career of Matt Elliott feels like it's been conducted in a peculiar half-light. The Bristol expat doesn't appear to care too much for exposure, quietly releasing album after album either as a
progenitor of the kind of dusky soundscapes dubstep would come to inhabit under his Third Eye Foundation guise, or turning to the mopey ruin of the folk-tinged work under his own name. The Broken
Man is his latest stab at the latter, a rigidly austere set of seven songs enveloped in blood, sorrow, and torment. At times it feels like Elliott made it after falling flat on the studio floor,
face down, choking on dust and bitter rumination. But these aren't "small" songs; this is an all-encompassing misery, grandiose in its own way, with great rushes of strings and doomy
multi-tracked vocal hums zooming into the frame to pull Elliott up by his bootstraps. On the lengthy "Oh How We Fell", there's even the clang of an ominous church bell, acting as a wonderfully
dramatic portent of changes in mood and focus.



Elliott has sunk down to this place before, on equally remorseful work such as the appropriately titled Drinking Songs from 2005. The touchstones here are similar. When he lets his pangs of grief
flush out on lengthy tracks such as "If Anyone Tells Me 'It's Better to Have Loved and Lost Than to Never Have Loved at All' I Will Stab Them in the Face", it's reminiscent of the sweeping
mixture of guts and grief that make up Dirty Three's stylistic métier. Like that band's music, there's a ruptured form of beauty here too, and it's one that takes a great deal of care and
consideration to uncover. The standout "Dust, Flesh and Bones" takes numerous plays to really get to grips with its one-part Leonard Cohen-esque lament, one-part lawless-border-town feel. These
songs are cloaked in darkness on initial plays, with Elliott building an impenetrable wall around them, only to remove it brick by brick over time.



It's a combination of his meticulous attention to detail and a knack for knowing how to let song structures softly contract into new shapes that makes it work. The joins don't show when "This Is
For" turns from a quietly picked acoustic folk number into a stridently thumbed Spanish guitar piece. Elliott takes that initiative and picks it up again in the following song, "The Pain That's
Yet to Come", matching the same guitar style to a backdrop of Caligulan cries and moans and great rushes of noise, providing a neat conceptual loop back to similar work earlier in the album. At
times there's a mixture of the pit-of-despair weight of Townes van Zandt's best tracks and the light/dark dynamic the most recent incarnation of Swans is so immersed in. The close of "Oh How We
Fell", where filmy acoustic work falls into a deep well of gravely sighs and operatic trills, feels like the world turning upside-down following a swift kick to the feet of Elliott's
barstool.



The Broken Man is a brawny, robust album, the type of record that carries an uncommon weight and honesty. When Elliott darkly intones, "this is how it feels to be alone," on "Dust, Flesh and
Bones", there's complete conviction in his dead-eyed delivery, conveying an unwavering faith in his emotional regression. In lesser hands it's a line that could read as trite; with Elliott it
feels well-worn, as though it's been churning around his head for years, gathering emotional baggage with the passing of time. But this isn't just a highly crafted plummet to the depths. There's
an eerie, unearthly sense of displacement to much of the material, such as the spindly cries of bowed saw (or something simulating the sound of one) on "How to Kill a Rose". Those atmospheric
touches make this feel like Elliott's most complete work to date, forming a vital link between his sunless balladry and the shattered electronica of Third Eye Foundation.





Tracklist :

01 – Oh How We Fell

02 – Please Please Please

03 – Dust Flesh And Bones

04 – How To Kill A Rose

05 – If Anyone Tells Me ”It’s Better To Have Loved And Lost Than To Never Have Loved At Al”, I Will Stab Them The Face

06 – This Is For

07 – The Pain That’s Yet To Come

http://www.georges-brassens.com

https://fr.wikipedia.org/wiki/Georges_Brassens

https://en.wikipedia.org/wiki/Georges_Brassens

https://fr.wikipedia.org/wiki

http://brassenswithenglish.blogspot.fr





Origine du Groupe : France

Style : French Touch

Sortie : 1952

Wikipedia :



Georges Brassens, né à Sète dans l'Hérault le 22 octobre 1921 et mort à Saint-Gély-du-Fesc (également dans l'Hérault) le 29 octobre 1981, est un poète et auteur-compositeur-interprète
français.



Il mit en musique et interpréta, en s’accompagnant d'une guitare, plus d'une centaine de ses poèmes et ceux d’autres poètes dont Paul Fort. Il enregistra quatorze albums de 1952 à 1976. Il reçut
le Grand prix de poésie de l'Académie française en 1967.





Tracklist :

01 - La Mauvaise Réputation (2:14)

02 - Le Fossoyeur (2:08)

03 - Le Gorille (3:19)

04 - Le Petit Cheval (2:21)

05 - Ballade des Dames du Temps Jadis (2:05)

06 - Hécatombe (1:59)

07 - La Chasse aux Papillons (2:04)

08 - Le Parapluie (2:32)

09 - La Marine (2:28)

10 - Corne d'Aurochs (2:53)

11 - Il Suffit de Passer le Pont (1:59)

12 - Comme Hier (1:48)

13 - Maman, Papa (2:13)

14 - Le Mauvais Sujet Repenti (Version 78 T) (2:31)

https://www.youtube.com/artist/georges_brassens/videos

http://www.husky-rescue.com

https://www.myspace.com/huskyrescue





Origine du Groupe : Finland

Style : Electronic , Indie

Sortie : 2012

From http://www.thepopsucker.com



the first time i ever heard husky rescue was several years ago when i was working retail. one of their tracks, "summertime cowboy," and its accompanying video were on the store's soundtrack. i
was certainly intrigued by their sound and the video (see below) but then when you hear the same two hour soundtrack on a loop during an eight hour shift you tend to pay attention to songs you
might normally skip over while streaming online. (also full disclosure here: i was dating a guy at the time who believed he was a cowboy in a past life and insisted upon addressing everyone as
"pardner" and felt the need to wear spurs with any and every kind of footwear, except for boots ironically. so the song took on a double meaning for me.) but husky rescue stuck with me and i
became enamored with the finnish electronica group.



for the record this is a new reincarnation of husky rescue. co-founding member and lead vocalist reeta-leena vestman took time off after the band completed the tour for their last album 2010's
ship of light. so other co-founding member marko nyberg decided to shake things up a bit and change the lineup. he tapped swedish vocalist johanna kalén and friend antony bentley and husky
rescue, now a trio, has released their first EP, deep forest green. check out a couple tracks from the EP and the video for "summertime cowboy" below and leave your comments on their new
sound.





Tracklist :

01 – Min Lilla Eld

02 – Deep Forest Green

03 – Wind in the Willows

04 – Sunrider

05 – Skin of Snow

06 – Deep Forest Green – Clouds Interpretation

http://www.anthonyjoseph.co.uk

https://www.myspace.com/adjoseph





Origine du Groupe : U.K

Style : Alternative , Spoken Word , Nu-Soul

Sortie : 2012

Durée 01:33:53

Pour http://www.fipradio.fr



Originaire de Trinidad, le londonien Anthony Joseph est aujourd'hui reconnu comme poète, romancier, musicien et chanteur. Tout en continuant à publier sa littérature, l'artiste enregistre avec
son groupe The Spasm Band son premier album "Leggo de Lion" en 2007, puis un second "Bird Head Son" en 2009. En 2011 il sortait conjointement son quatrième recueil de poèmes "Rubber Orchestras"
et un troisième album du même nom. Une fusion jubilatoire de soul, de funk, de rock ou encore d'afrobeat à découvrir absolument sur scène.





• Artistes : Anthony Joseph (voix), Andrew John (guitare basse), Christian Arcucci (guitare), Colin Webster (saxophone), Marijus Aleksa (batterie) • Réalisateur : Sébastien
Lefebvre • Cadreurs : Sébastien Bergé, Christian Beuchet, Simon Bonnet, Lucie Laurent • Son : Philippe Castetbon, Pierre Monteil, Philip Merscher, Philippe Thibaud • Production : Radio France

http://www.marcusmiller.com

https://www.myspace.com/marcusmillerband





Origine du Groupe : North America

Style : Jazz Fusion

Sortie : 2012

By John Fordham   
From http://www.guardian.co.uk



This is bass-guitar star Marcus Miller's UK-tour repertoire of last month, plus a few bonuses, including the finely spun vocals of young New Yorker Gretchen Parlato and the rasping ones of Dr
John on two tracks. For jazz-funk fans, it's paradise – Miller's arrangements have the clamouring horn parts, snappy basslines, raw guitar fills and whipcrack backbeats of this style meshing like
a racing engine, and, of course, there are plenty of jawdropping bass solos. Creative obliqueness (of the kind Miller brought to Miles Davis's Tutu and Amandla albums in the 1980s) isn't always
apparent. The assertive foregrounding of the bass guitar doesn't exactly enhance the potentially mysterious Brazilian feature Setembro, with its vocals by Parlato and Ruben Blades, and
horn-punching groovers such as Cee Tee Eye veer to the formulaic. But the exhilaratingly funky Detroit, the lyrical (and Tutu/Amandla-related) Redemption, or the Headhunters-like Slippin' into
Darkness confirm Miller's mastery of his particular world. Solos from Lincoln Centre trumpeter Sean Jones and excellent regular saxophonist Alex Han spark fireworks, sly quotes from Dizzy
Gillespie and Bob Marley classics add spice, and there's a poetic solo-bass finale on I'll Be There.









Pour http://www.disquesdreyfus.com



Avec ce nouvel album studio, son premier depuis 5 ans, Marcus MILLER innove à nouveau. « Je sens qu’une page se tourne », dit Marcus Miller ; « Nos derniers héros disparaissent et nous entrons
dans une ère nouvelle, à la fois politique et culturelle. Mais la Musique n’est pas aussi révolutionnaire que les médias. Il est temps pour une Renaissance. »



Avec un casting incroyable de jeunes musiciens, et des invités comme Dr. John, Gretchen Parlato et Ruben Blades, Marcus Miller crée un nouveau chef d’œuvre moderne pour une nouvelle ère.



Huit nouvelles compositions originales ainsi que cinq standards : « Slippin’ Into Darkness » par War, « Tightrop » par Janelle Monae, « Setembro » par Ivan Lins, et un hommage virtuose à Michael
Jackson pour n’en nommer que quelques uns.





Tracklist :

01 – Detroit

02 – Redemption

03 – February

04 – Slippin’ Into Darkness

05 – Setembro (Brazilian Wedding Song) [feat. Gretchen Parlato & Ruben Blades]

06 – Jekyll & Hyde

07 – Interlude Nocturnal Mist

08 – Revelation

09 – Mr. Clean

10 – Goree (Go-ray)

11 – Cee-Tee-Eye

12 – Tightrope (feat. Dr. John)

13 – I’ll Be There