• http://images.amazon.com/images/P/B0002GCX48.01._SCLZZZZZZZ_.jpg

    Note : ++

    http://www.gomma.de

    http://www.myspace.com/munkfromgomma



    Diable, les dancefloors vont encore vibrer au son touffu du premier véritable album du duo italo-allemand Munk. Sur ce disque éclectique et dansant, le pouvoir est à la basse, ronflante de
    préférence, aux guitares tranchantes et aux beats uppercut dans un joyeux mélange des genres house, techno, no wave, punk et disco. S'il vous vient ensuite des envies de jeter les chaises par la
    fenêtre et de marteler le sol jusqu'au bout de la nuit sans penser aux voisins du dessous, il ne faudra pas s'étonner car les patrons du label teuton Gomma, qui avaient déjà signés des
    productions electro remarquées sous le pseudo Leroy Hangofer, frappent un grand coup avec leur nouvelle bombe festive et un poil rebelle.

    De cet opus, on retiendra les débuts en fanfare de "In the Creamfields", intro folk virant au disco, l'hymne punk ravagé "Kick out the chairs" ou encore du tube "Disco clown" lorgnant vers un
    Daft Punk grand cru. Les festivités continuent avec le très latino "Portofino Mosh" et "I feel so no", complainte hypnotique de clubber blasé répondant à l'ironie mordante du titre "Ce kul". Sur
    "Main Schatzi", l'ambiance est au hip hop, servie par le flow express de Princess Superstar.

    Les plages instrumentales, tout aussi excitantes, laissent apparaître quelques perles remuantes comme "Morena Rubinowitch", "Androgyn" et "Ciao dandy" truffées d'effets. Mais Munk sait aussi
    calmer le jeu avec des titres planants comme "Seeker" et sa pluie de cordes acides.

    Vous l'aurez compris, Mathias Modica et Jonas Imbery possèdent une panoplie de références impressionnantes, une ouverture d'esprit à 360° et un sens de la composition hors pair. Aussi à l'aise à
    la guitare qu'aux manettes, les deux musiciens prennent un malin plaisir à passer leurs compositions à la moulinette de leur sampler avec un humour potache rafraîchissant. Enfin, le disque doit
    beaucoup à la présence amicale d'invités de marque comme le rocker Bobby Conn, James Murphy (LCD Sound system, DFA), l'incontournable DJ Chloé et Midnight Mike, tous aussi allumés que les deux
    protagonistes de l'affaire.

    Le mot de la fin sera pour une DJ Chloé en pleine euphorie "Tout le monde me sourit Ce Kul, j'suis dans la hype Ce kul", nous on la croit, on monte le son et on en redemande !



    par Luc

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    Origine du Groupe : Germany

    Style : Alternative Fusion , Electro

    Sortie : 2004



    Tracklist :

    01. In The Creamfields feat. Bobby Conn

    02. Kick Out The Chairs feat. James Murphy & Nancy Wang of DFA

    03. Disco Clown feat. Midnight Mike

    04. Morena Rubinowitch (where have you gone?)

    05. Portofino Mosh feat. The Limonaden Hasen & Palermo King

    06. Ciao Dandy

    07. I Feel So No! feat. Electronicat

    08. Androgyn

    09. B.F

    10. Ce Kul feat. DJ Chloé

    11. Mein Schatzi feat Princess Superstar & MC Seven

    12. Ramshackle Romance feat. The ObatzdaBeatBabes

    13. Seeker (The Odessa-Nervi Blow) feat. Bobby Conn

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    Note : +

    http://howtodestroyangels.com

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    Quand Trent Reznor avait évoqué l’arrêt (définitif ou temporaire) de Nine Inch Nails, il était évident que l’homme avait déjà en tête dix mille nouveaux projets. Quand en plus celui-ci se met à
    filer le parfait GRAND amour avec Mariqueen Maandig chanteuse des West Indian Girl, on peut s’attendre à ce qu’amour fusionnel rime avec collaboration musicale. Chose faite. Avec la création du
    groupe How to Destroy Angels et la sortie d’un premier EP (qu’une fois encore  Saint Reznor nous propose dans différentes versions allant du gratuit au son déjà correct à du payant au son de
    bien meilleure qualité). Ahhh le Big Love ça vous change un homme! Pas complètement fort heureusement! Pour les fans de Nine Inch Nails c’est un peu la déroute entre le pire et le meilleur. On
    retrouve le son Nine Inch Nails… en sans doute moins audacieux et nettement moins dense que ce que Trent Reznor a pu proposer par le passé mais cela reste quand même un excellent son
    electro-indus. Après, il faut se farcir les interprétations de Mariqueen Maandig. Rien n’est choquant ou risible dans sa façon de poser sa voix sur les morceaux d’How to Destroy Angels mais son
    chant n’est guère convaincant. Et s’il ne l’est pas c’est parce qu’elle tente de singer son mari en prenant le même genre d’intonations. Avec sa petite voix toute douce cela ne passe décidément
    pas. Alors si y on ajoute les passages où ils chantent en couple, on flirterait presque avec le côté guimauve de la force électronique. Par moment on se croirait dans Candy au pays des NIИ.
    Ensuite… tous les goûts sont un peu où on veut, mais j’aurais préféré être complètement décontenancée, transportée par des interprétations complètement différentes, des mises en danger
    étonnantes. A l’écoute de cet EP, nous avons l’étrange sentiment d’écouter un reliquat de Nine Inch Nails versions sirupeuse.



    par Toujours un coup d'Avance!

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    Origine du Groupe : North America

    Style : Electro , Breakcore , Alternative

    Sortie : 2010



    Tracklist :

    1. The Space in Between

    2. Parasite

    3. Fur-Lined

    4. BBB

    5. The Believers

    6. A Drowning

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    Contrat Creative Commons


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    Note :

    http://www.laetitiasheriff.com

    http://www.myspace.com/laetitiasheriff





    Il fallait absolument que je fasse cet article avant de partir en vacances, pour combler (modestement) le vide médiatique qui a accompagné la sortie de l’excellent deuxième album de Laetitia
    Shériff, Games Over. Les artistes de ce style et de cette qualité sont pourtant si rares en France…



    En 2004, il me semble pourtant que Codification avait fait à juste titre un peu de bruit à sa sortie. Trop rapidement associée à PJ Harvey (comme toute nana qui fait un rock poignant plutôt que
    de la pop légère), ressemblance qu’on ne ressent que vaguement sur le premier titre « Roses » à la rythmique lourde et saturée, Laetitia Shériff est bien plus la pendante française de 
    Shannon Wright  (on voit déjà à quel niveau elle se situe). L’ambiance pesante de l’album Codification, souvent mise en place par une grosse basse et quelques notes de guitare tristes comme
    un crachin sur une ville polluée, est à rapprocher des albums de l’américaine, mais avec une production beaucoup plus travaillée. Avec l’aide de ses deux acolytes, Laetitia Shériff interprète de
    sa belle voix, souvent mise en sourdine, de glauques histoires de manière plutôt simple et efficace, dont on peut retenir au moins deux tubes potentiels (dans un monde meilleur, cela va de soit…)
    : « Codification » (surtout pour son refrain) et « …bind » dont on se demande pourquoi elle n’est pas passée plus à la radio. La disque est cohérent même sur les chemins de traverse que sont les
    deux petits instrumentaux (quelques mesures suffisent à poser une ambiance) ou sur le mélodique « the Date », seul titre à ne s’appuyer que sur des arpèges de guitare et un texte sobre et
    émouvant. Les meilleurs morceaux sont à chercher en milieu d’album avec les intenses « Aquarius » et « that Lover » qui après avoir hésité entre accords musclés et pauses mélodiques finissent par
    s’intensifier dans une déferlante quasi punk. A noter aussi « Music Box », qui avec son gros son de basse et son rythme presque électro, évoquant un Cocteau Twins qui se serait surpassé pour ne
    pas être chiant, préfigure certains des excellents morceaux de l’album suivant. Codification est une merveille, accompagné en plus d’une pochette magnifique qui interdit de ne pas acheter le CD,
    dont on se demande comment il n’apparaît pas plus souvent dans les favoris des amateurs français de musique « indé ».



    En voyant la pochette du Games Over, je me suis jeté dessus sans réfléchir, attiré par l’artwork et par le souvenir (un peu lointain) du Codification, et bien m’en a pris, comme on va le voir.
    Tout d’abord le « livret », aussi splendide qu’il n’est pas pratique, puisqu’il consiste en un paquet de feuilles volantes présentant au recto une carte à jouer illustrant un titre dont les
    paroles sont au verso, dans un style symbolique/ésotérique qui m’a toujours beaucoup attiré. Beaux dessins en noir et blanc collant parfaitement à l’ambiance de Games Over, dont le titre suggère
    bien qu’elle n’est pas particulièrement ensoleillée. Et de fait, on démarre par la plus longue chanson de l’album, dont les tragiques notes de piano prennent le rôle attribué à la guitare sur
    l’album précédent. Le rythme est marqué par des tapements de mains qui s’ils donnent un effet joyeux aux chansons rapides sont plutôt lugubres sur de lents tempos, ce qui est bien sur le cas ici.
    Agrémentant le fond glacial de cette chanson décrivant la solitude d’une personne confrontée à l’ignorance de ses origines (« the Story won’t persist in being a closed book »), les cordes font
    une première lyrique apparition. On retrouvera cette ambiance et ce piano crépusculaire sur « Black Dog », qui voit pour sa part l’introduction de rythmes électroniques qui prendront plus
    d’ampleur en fin d’album. Les chansons vont d’ailleurs bizarrement le plus souvent par paires. Ainsi l’enchaînement « Let’s Party » et « Hullabaloo », fausses chansons joyeuses basée sur un riff
    rock de guitare répété  plutôt classique dont l’énergie cache des paroles assez pessimistes sur l’état de la planète et de ses habitants. « Hullabaloo », dénonçant les dérives de la télé,
    sonne comme un Throwing Muses moderne, impression qu’on retrouvera par petites touches sur d’autres titres. Après une chanson plus pop, mais pas forcément plus facile d’accès, mêlant religion et
    sexualité dans un thème très PJ Harvey (« Memento, put her in a picture »), Laetitia Shériff, toujours accompagnée de ses deux excellents collaborateurs Olivier Mellano et Gael Desbois, propose
    un autre diptyque plus calme évoquant Bjork. Si « Like Ink with the Rain » reste une chanson d’ambiance avec cordes et pluie, telle un Mercury Rev timide, « Cosmosonic » enfle progressivement
    jusqu’à atteindre des arrangements quasi Zeppelinien sur son final. Ces deux morceaux sont en outre bien servis par de sobres apparitions d’une guitare très mélodiques. Pas avare en changements
    de styles, Laetitia Shériff enchaîne avec deux titres très différents, dont les rythmes electros sont si surprenants qu’ils seront associés dans mon souvenir à l’ensemble de l’album après ma
    première écoute. On commence par « Easily Influenced », comme sorti des années New Wave, dont la voix parfaite et la nouvelle apparition divine de la guitare n’expliquent pas tout à fait la forte
    impression qu’il m’a fait : certainement mon titre préféré. Puis « the Evil Eye », qui donne une idée de ce qu’auraient pu être les Cars s’ils avaient été bons. Un petit passage par le grunge,
    pour une chanson violente sur l’amour et la solitude (« Solitary Play »), et on attaque déjà la fin de l’album, avec « Lockless », encore une belle démonstration de la française. Elle invoque des
    rythmes vaudous pour nous tenir enfermée dans sa composition, tels les pauvres poissons cernés par le serpent sur la pochette, le danger se rapprochant au fur et à mesure que les larsens et la
    batterie la font évoluer en un rock dont on aimerait se libérer : hélas, hypnotisés, nous écoutons fascinés jusqu’à la dernière note cet hommage désespéré à notre liberté perdue. Au final ne nous
    reste que nos amours foirés, tristement décrits sur le lent « There, high » final, interprété à l’orgue, dont le début fait irrémédiablement penser à celui d’ « Hyperballad » de Bjork.



    Très cohérent sur les thèmes abordés (solitude, amour et manque confié sans trop d’espoir à un ailleurs spirituel), l’album aurait pu pâtir d’une trop grande variété de styles. Mais c’est toute
    la force de Laetitia Shériff (sans doute sa voix superbe, aux registres et phrasés incroyablement variés) d’avoir au contraire rendu cela passionnant, alors même que la plupart des sonorités
    évoquées plus haut (plutôt années 80, donc) ne sont vraiment pas mes préférées. Et pourtant, nous tenons là probablement un des disques les plus réussis de l’année, dont la richesse globale ne
    peut très certainement se révéler qu’au prix d’un nombre d’écoutes élevé. Et c’est tant mieux, puisque c’est le sort qu’on réserve à Games Over.

     

    par blinkinglights

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    Origine du Groupe : France

    Style : Alternative Fusion , Alternative Rock

    Sortie : 2008



    Tracklist :

    1.The Story Won’t Persist

    2.  Let’s Party

    3. Hullabaloo

    4. Black Dog

    5. Memento, Put Her in the Picture

    6.Cosmosonic

    7.Like Ink With the Rain

    8.Easily Influenced

    9. The Evil Eye

    10.  Solitary Play

    11. Lockless

    12. There, High

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    Note :

    http://www.roots-archives.com/release/1712



     

    Dubwissssssssssssseee !!!!



    Origine du Groupe : U.K

    Style : Dub

    Sortie : 1978



    Tracklist:

    1. Dub Conference In London

    2. Dub Under Contract

    3. Love Dub

    4. LT Time

    5. More Time

    6. 16 Track Rock

    7. Jah Rastafari

    8. Immortal Dub

    9. Cool Stepping

    10. Mark At Control

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  • http://ekladata.com/umhmgydX6IPEcDyRamcr9QWu_BE.jpg

    Note :

    http://www.roots-archives.com/artist/1190





    Springs in the air...there's magic everywhere....la.la.la.la.....anyone remember that song? Well it is springlike today and I've been out in my garden using the Christmas present which my son
    bought for me......a Wilkinson Sword Miracle Weeder. Now I don't want to appear ungrateful, but I had hinted long and hard for some Caleche perfume by Hermes so why I got a Miracle  Weeder is
    beyond me, a Miracle Worker  I could have understood as I'm in need of it, but a Weeder.....I was somewhat peeved I can tell you. But now I'm feeling the benefit of it. The Miracle
    Worker  ..oops sorry Weeder, is a device to stop people (particularly elderly people, as my son obviously sees me) having to bend and use a trowel. The device is something like a pogo stick,
    indeed that's what I thought it was at Christmas!! It's about 2/3ft high with a bar ...



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    Origine du Groupe : Jamaica

    Style : Reggae

    Sortie : 1974



    Tracklist :

    01* Children From A Broken Home

    02* Part-Time Lover

    03* Miracle Worker

    04* Make A Break

    05* Raggy Raggy Clothes

    06* Love & Friendship

    07* Itch & Scratch

    08* Don't Throw Stones

    09* The Peppermint Seller

     

    Engineer : Vic Keary & Karl Pitterson &  Steeve Cooper



    Vocals : Sydney Rogers

    Backing Vocals : Danny Ray & Eddie Smith & The Carols & Tito Simon

    Drums : Melvin Patterson & Mikey Boo Richards & Carlton Barrett & Winston Grennan

    Bass : Jackie Jackson & Lloyd Parks & Family Man

    Rhythm Guitar : Trevor Brown & Ronnie Williams & Rad Bryan

    Lead Guitar : Hux Brown & Irvin Yarde

    Organ : Winston Wright & Sonny Binns & Hawk

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  • http://ecx.images-amazon.com/images/I/418CPQVJEAL._SL500_AA300_.jpg

    Note : +

    http://www.anjali.org.uk

    http://www.myspace.com/magicalanjali





    Like label mates, Cornershop, Anjali Bhatia ? as lead riot grrrl in the Voodoo Queens used to make clattery, two-chord noise-pop but has now gone beat-crazy and soundscapist. And, again like
    Cornershop, the reinvention is definitely worth celebrating. Following on from last year?s collection of EPs, Sheer Witchery, her self-titled debut finds Anjali drawing a skewed lounge-pop sound of
    arrangements rooted as much in Bollywood themes and 60s soundtracks as funk and hip-hop. So while strawberry mousse rides on hefty breakbeats, it?s made truly cinematic by string flurries and a
    synthesised choir chorus. Turquoise and Blue, meanwhile, is kitsch, queasy listening underpinned by echoing dub beats and exotic keyboard fx, reminiscent of Baby Fox, only not rubbish. Elsewhere,
    she minds the same shivery spy-film vibe that Goldfrapp toyed with on the Felt Mountain LP, but crucially is far better at updating John Barry-isms without owing considerable debt to Portishead.
    Part of the power is down to Anjali?s voice, at times almost identical to that of AWOL genre-masher, Nicolette. And while the tone of her music is different, Anjali shares with Nicolette a
    fearless, anything-goes funkiness, and an ability to conjure a groove and soothe the soul simultaneously. It?s quite a talent.



    From Official Website Anjali



    Origine du Groupe : U.K

    Style : Electro , Trip Hop , Downtempo , Lounge

    Sortie : 1999



    Tracklist :

       1. Feline woman

       2. Maharani II

       3. Juju

       4. Aquila

       5. Triton

       6. Maharani I

       7. Astra

       8. Aquila B

       9. Kalpna

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  • http://soulsafari.files.wordpress.com/2009/12/he-o-oe-oe-cover.jpg

    Note :

    http://www.afrisson.com/Lesotho-1608.html



    The album ‘He O Oe Oe!’  by the Sotho singer Puseletso Seema,  backed by the group Tau Ea Linares, translated ‘King of Buffaloes, was originally released in 1985 by Globestyle, the UK
    label of Ben Mandelson and is long out of print. The recordings on this album are unique because Ben, as a passionate music aficionado, arranged for the meeting of Puseletso Seema and Tau Ea
    Linare, who normally record separately.



    Sotho traditional music is an integral part of Sotho social education and traditionally links hearing with the understanding of the natural and social worlds. The Sotho describe instruments as
    either liletsa tsa matsoho (those sounded by the hand) or liletsa tsa molomo (those sounded by the mouth). The former category includes the moropa and skupu drums, these days often made from oil
    cans because of scarcity of wood. The latter category includes the lesiba, a mouth-resonated stick-zither sounded by blowing. The primary use of the lesiba is in cattle-herding; bird sounds and
    actions are seen to affect cattle; these sounds can be imitated on the lesiba and the instrument is thus used to control the animals’ behaviour. The whistles and yipping are herdboy’s calls as
    recorded for the particular song.



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    Origine du Groupe : Lesotho

    Style : World Music

    Sortie : 1985



    Tracklist :

    1 He o oe oe !

    2 Leshano

    3 Vatse halenone

    4 Ha motsoane

    5 Mathabo

    6 Tsetala Linare

    7 Thaba tsepe

    8 Katla ka sotleha

    9 Bajoetse saki

    10 Kesetse mahlomolenu

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  • http://adrianboholtan.files.wordpress.com/2009/06/00-alexandrina-om-de-lut-front1.jpg

    Note : +

    http://www.alexandrina.ro

    http://www.myspace.com/alexandrinahristovofficial





    Alexandrina Hristov' musical style too hard to define, but falls between acoustic pop, modern rock, alternative, jazz and soul, with innovations in the composition and lyrics. Alexandrina often
    appears on stage with a band instrument, but she supports his voice-piano recital in the formula. Regarding his musical preferences, Tori Amos has prevailed, which shares features such as
    sensitivity and versatility of voice, to play the piano virtuosity and lyrical sensitivity. Her first album is called "Om de Lut" (Man of Clay), and was released in Romania on April 9, 2009,
    representing a collection of songs old and new.



    Alexandrina (real name: Alexandrina Hristov), is a singer/songwriter and painter from the Republic of Moldova. Her first single, “Fata merge pe jos,” took the Romanian charts by storm in 2006.
    With her original style and great vocals, Alexandrina has gathered a strong fan base, even before the release of her first album. Her musical activity includes shows in small clubs in Bucharest,
    as well as prime-time TV appearances. Alexandrina writes and performs in Romanian, Russian and French. Her first album is "Om de lut" (2009).



    par vishtaspa

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    Origine du Groupe : Romania

    Style : Alternative Fusion , Nu-Jazz , Trip Hop

    Sortie : 2009



    Tracklist :

    01. Printre Flori (3:03)

    02. De Cand Am Plecat (4:01)

    03. Undeva (3:48)

    04. Om de Lut (4:19)

    05. Roule Taxi (2:46)

    06. Femei Dietetice (4:40)

    07. Noi 2 (4:17)

    08. Numai Tu (3:27)

    09. Fata Merge Pe Jos (3:09)

    10. 1 2 3 (3:53)

    11. La Russe (4:04)

    12. Maria (de Leagan) (1:57)

    13. Numai Tu (Remix Dan Handrabur) (3:29)

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  • http://www.digstation.com/FTPFiles/ALB000036515/ART%20FILES/large.jpg

    Note :

    http://www.isiahmentor.com

    http://www.myspace.com/officialisiahmentor



    Les plus passionnés d’entre vous le connaissent peut-être déjà sous le pseudonyme de Lilly Melody pour avoir sorti dans les années 80, un album intitulé "Give It To Me" dans un registre Early
    Digital et quelques singles sortis sur le label Firehouse. Près de 20 années plus tard, il revient (enfin !) sur le devant de la scène avec un nouvel album et un nouveau pseudo : Isiah Mentor !
    Un retour très attendu puisque l’artiste a amorcé un virage artistique, privilégiant dorénavant un son plus roots et des textes "conscients".



    L’album intitulé "Rasta Government" vient de sortir sur le label Village Roots et propose parmi ses 16 titres, une combinaison avec la rebelle Tanya Stephens ainsi qu’une autre accompagnée du
    singjay Turbulence.



    par Reggae.fr

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    Origine du Groupe : Jamaica

    Style : Reggae

    Sortie : 2009

        

    Tracklist :

    1. One love 4:04

    2. First class feat Turbulence 4:09

    3. War against the poor 4:23

    4. Rasta government 4:02

    5. Cry Africa 4:20

    6. Fight fight fight 3:42

    7. Bring it to them 4:37

    8. My world 4:28

    9. Rasta man 3:40

    10.Save me now Jah 3:01

    11.Take I away 3:42

    12.Show them father 3:21

    13.Don't mess with my brain 4:30

    14.Queen for life 3:52

    15.Show me 3:07

    16.Threes company feat Tanya 3:37

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  • http://www.1000recordings.com/images/artist-s/sangare-oumou-755-l.jpg

    Note :

    http://oumousangare.com

    http://www.myspace.com/oumousangare



    Comme toutes les stars véritables, dans n’importe quel style de musique, Oumou Sangaré doit sa place dans le panthéon ouest-africain à quelque chose qui dépasse largement la capacité de bien
    chanter.

    Elle écrit et compose ses chansons, critique la réalité sociale, défend les droits des femmes, représente publiquement sa génération et son sexe. Bref, Oumou est plus qu’une simple "chanteuse".
    C’est une sorte de phénomène, parce qu’elle incarne des valeurs et des luttes très importantes pour beaucoup de gens, parce que c’est une Africaine et surtout une femme africaine, qui dit sa
    façon de penser sans la moindre peur.



    Oumou Sangaré est née à Bamako en 1968, ses parents ayant émigré de la région-sud du fleuve Niger, le Wassoulou, vers la capitale du Mali en plein développement. Sa mère, Aminata Diakité,
    chanteuse également, devait, comme la plupart des femmes de sa génération, partager son mari avec deux autres épouses. Cette confrontation formatrice avec la polygamie et la souffrance qu’elle
    peut causer a beaucoup marqué la petite fille. Sa mère l’a poussée à travailler son précieux talent de chanteuse, lui murmurant par exemple au moment où, terrifiée, elle allait monter en scène au
    stade omnisports de Bamako, pour sa première apparition publique à l’âge de six ans, "Chante comme si tu étais à la maison, dans la cuisine." Après avoir été membre de l’Ensemble instrumental
    National du Mali, où se sont formés beaucoup de grands musiciens du pays, Oumou, à la demande du vétéran du Super Djata Band, Bamba Dembélé, est partie en 1986 accompagner sa troupe de
    percussions traditionnelles Djoliba en tournée en Europe. Après cette brève incursion dans la vie de musicien, elle est rentrée chez elle avec la détermination exceptionnelle de former son propre
    groupe et de créer sa propre musique basée sur les styles et les traditions de sa patrie ancestrale, le Wassoulou.



    Pour des raisons qu’elle-même a du mal à bien expliquer, la région du Wassoulou a produit un nombre remarquable de grandes chanteuses depuis l’indépendance du Mali, acquise au début des années
    soixante. Parmi celles qui l’ont fortement influencée, elle cite constamment les pionnières Coumba Sidibé, Sali Sidibe et Flan Saran qui, avec beaucoup d’autres, ont forgé un style de musique
    bien particulier à partir des danses et des rythmes régionaux comme le didadi, le bari, le sigui et surtout le sogonikun, une danse traditionnelle, masquée, exécutée principalement par des jeunes
    filles au moment de la moisson.

    Ce style, aujourd’hui connu comme ‘wassoulou’, marie le tambour djembé et le karignan (un grattoir en métal) et catapulte les rythmes des danses traditionnelles de la région avec le son nerveux
    mais vigoureux du kamalen n'goni (littéralement, ‘harpe des jeunes hommes’), instrument qui a joué un rôle-clé dans le développement du wassoulou.

    Adapté par les jeunes de Yanfolila, au cœur du Wassoulou, à partir du donso n'goni, une harpe ancienne utilisée dans les rituels des chasseurs forestiers de la région, le kamalen n'goni symbolise
    à plusieurs égards la jeunesse et peut-être la rébellion dans le sens rock‘n’roll du terme, mais au moins la notion de plaisir et de liberté.



    En 1986, peu après son retour d’Europe, Oumou a commencé à travailler auprès de l’illustre arrangeur Amadou Ba Guindo. Avec un excellent groupe de musiciens qui comprenait Boubacar Diallo à la
    guitare et Aliou Traoré au violon, Oumou et Amadou Ba se sont attelés à la création d’un son précis et très personnel, ancré dans la tradition tout en étant à la fois original et moderne. Oumou a
    remplacé le violon traditionnel à cordes en crin de cheval, dit soku, par un violon moderne qui n’avait pas encore été utilisé dans une formation wassoulou et a introduit la calebasse ou fle
    comme instrument de percussion.

    Après deux ans de dur labeur et d’expérimentation, le groupe a obtenu un contrat d’enregistrement. Oumou et compagnie sont donc partis pour Abidjan, en Côte-d’Ivoire, où ils ont gravé
    ‘Moussolou’, six compositions originales d’Oumou, en sept jours aux légendaires studios JBZ.

    A sa sortie en 1989, la cassette s’est vendue à plus de 200.000 exemplaires, le public et les pirates sont devenus fous et à vingt-et-un ans, Oumou s’est retrouvée star.



    ‘Moussolou’ (Femmes) est un classique de la pop africaine moderne. A sa manière, il représentait une sorte de révolution dans la manière d’enregistrer et de produire la musique africaine. Avec
    leurs sonorités magnifiquement claires et rares, reposant sur des instruments traditionnels et en général acoustiques, Oumou et Amadou Ba avaient concocté une alternative viable à ce que l’on
    percevait auparavant comme les seules options possibles : la ‘modernité’ marchant au synthé et à la boîte à rythmes ou l’inécoutable ‘obscurité’ du traditionnel bricolé en basse-fidélité. Cette
    approche de la musique faisait également écho au combat plus profond de ses pairs pour une identité culturelle dans laquelle la tradition n’est pas éjectée, mais modernisée en gardant son essence
    et sa force intactes. Oumou insiste sur le fait que, même si elle condamne les abus des coutumes traditionnelles comme la polygamie, elle n’est pas contre la tradition. "Regardez les vêtements
    que je porte, dit-elle, est-ce qu’ils ne sont pas traditionnels ?"



    Bien que l’incroyable succès de ‘Moussolou’ ait mis Oumou sur l’échiquier musical ouest-africain, ce n’est qu’après en avoir entendu parler, par hasard, par le légendaire guitariste malien Ali
    Farka Touré en 1991 que le label britannique World Circuit a repris les droits de l’album hors d’Afrique et a commencé à construire la carrière internationale de la chanteuse. ‘Moussolou’ a été
    extrêmement bien accueilli partout lors de sa sortie mondiale et Oumou, jamais à court d’inspiration, s’est mise à travailler sur les chansons de son second album ‘Ko Sira’ (Mariage aujourd’hui),
    enregistré à Berlin et publié par World Circuit en 1993. ‘Ko Sira’ comprend ‘Saa Magni’, un émouvant hommage à Amadou Ba, disparu dans un accident de voiture. "La mort a foudroyé Amadou Ba
    Guindo, chante-t-elle, la mort n’épargne aucun être, rien ne peut l’arrêter, même pas la célébrité."



    Avec ‘Ko Sira’, Oumou a mis un deuxième succès à son palmarès et a consolidé sa renommée. Dans son pays les hommes politiques se sont précipités pour s’associer à ses opinions lucides sur la
    moralité contemporaine, mais elle reste ostensiblement non-alignée. Elle a remporté de nombreux prix au Mali et ‘Ko Sira’ a été élu Album world music de l’année (1993) en Europe. Malgré la
    naissance de son premier enfant, elle a entrepris d’épuisantes tournées en Afrique et en Europe et a fait sa deuxième visite aux USA en 1994 dans le cadre de la tournée collective d’Africa Fête,
    jouant devant un public extasié au Summer Stage de Central Park, à New York.



    Pour son troisième album, ‘Worotan’ (Dix noix de cola… c’est-à-dire le traditionnel prix d’une mariée au Mali), sorti en 1996, elle a travaillé avec Pee Wee Ellis, ancien saxophoniste de James
    Brown et fidèle des Horny Horns, qui a apporté sa contribution enthousiaste mais respectueuse à la création de Sangaré. Nitin Sawhney, l’as anglo-indien de la guitare, a également prêté son
    concours à l’album, surtout dans la dernière chanson, ’Djôrôlen’, l’une des compositions les plus touchantes d’Oumou à ce jour.



    La raison essentielle de la popularité nationale, puis internationale, du wassoulou vient de ce qu’il offre, surtout aux jeunes, une alternative appréciable à la tradition ancienne et
    principalement malienne des griots ou djélis, ou chanteurs de louanges. Tandis que les djélis font l’éloge des hommes importants et vantent la gloire de leurs ancêtres, les chanteurs wassoulou
    abordent les soucis quotidiens dans leurs chansons. Les djélis adressent leurs louanges à un individu particulier (généralement un pilier de la société et de la communauté) dans l’espoir d’une
    belle récompense, alors que les chanteurs de wassoulou chantent pour tout un chacun, sans penser à une quelconque rétribution financière. Le public reste assis pendant le concert d’un djéli en
    l’écoutant calmement et respectueusement, les chanteurs de wassoulou s’attendent au contraire à ce que leur auditoire se mette debout et danse.



    Imprégnée de cette perspective du wassoulou, Oumou Sangaré est assurément la star féminine des gens qui réfléchissent. Quand il s’agit de parler vrai, elle n’essaie jamais de se dérober à sa
    tâche. Les mêmes thèmes reviennent dans tous ses disques : les combats des femmes dans une société musulmane dominée par les hommes, le conflit entre tradition et modernité, les joies et les
    peines incompréhensibles de la vie et de la mort. Avec sa stature imposante, sa beauté provocatrice, son intelligence courageuse et sa voix extraordinaire, elle réussit à impressionner et à
    étonner presque partout, que ce soit dans les rues de Bamako, les boutiques de Paris ou sur les scènes de concert internationales. Lorsqu’elle chante avec l’aisance et la puissance expressive
    d’une Aretha Franklin ou d’une Patsy Cline, puis vous regarde droit dans les yeux en vous disant, "Je me battrais jusqu’à la mort pour les droits des femmes africaines et des femmes du monde
    entier", vous vous rendez compte que vous avez affaire à quelqu’un de très spécial.



    Si Oumou a quelque peu délaissé l’Europe ces dernières années, elle a occupé le devant de la scène en Afrique. Trois mois après sa parution en mars 2001 (uniquement en Afrique), son quatrième
    album, ‘Laban’, était déjà disque d’or au Mali, avec plus de 100.000 cassettes officielles vendues.



    En novembre 2001, elle a reçu le Prix de la musique 2001 de l’UNESCO/Conseil international de la musique pour sa contribution à "l’enrichissement et au développement de la musique, ainsi qu’à la
    cause de la paix, de la compréhension entre les peuples et de la coopération internationale". En dehors de ses multiples tournées en Afrique de l’Ouest, elle vient d’ouvrir un hôtel à Bamako, au
    printemps 2002.



    Suite à une prestation époustouflante au Festival d’Essaouira en juin 2002, Oumou est de nouveau prête à remonter sur les scènes internationales. Durant l’été 2003, elle doit se produire dans
    plusieurs grands festivals européens, dont Jazz à Vienne (en France), le festival Paleo (en Suisse) et le Womad (au Royaume-Uni).



    En septembre 2003, World Circuit publie un CD-compilation des meilleurs titres, anciens et nouveaux, d’Oumou Sangaré, qui sera suivi d’une grande tournée internationale.



    par Andy Morgan

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    Origine du Groupe : Mali

    Style : world Music

    Sortie : 1993



    Tracklist :

    1. Kayini Wura

    2. Sigi Kuruni

    3. Mani Djindala

    4. Saa Magi

    5. Dugu Kamelenba

    6. Bi Furu

    7. Nawo Nawo

    8. Ko Sira

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