•  


    Portishead dévoile dans cette vidéo, sept chansons de leur nouvel album « Third » attendu pour le 28 avril. Les scratchs et l’orchestre symphonique du live au Roseland de New York ont laissaient place à une musique plus électronique, parfois plus rock mais Portishead n’a rien perdu de ce petit quelque chose si étrange qui semble planer au-dessus des notes.
    permalink

  • http://www.smooth-jazz.de/images/gallery2/Khumalo.jpg

    Notes : +

    Origine du Groupe : South Africa

    Style : Jazz World , Smooth Jazz

    Sortie : 2002

    Tracklist :

    01 - Ngwana Wa Mme
    02 - Hymn for Taiwa
    03 - He Said
    04 - Township Tempo
    05 - Celebrate Mzansi
    06 - African Mood
    07 - Song for Leonard
    08 - Vat My Huis Toe
    09 - Kgotso Africa
    10 - Mntungwa

    00000000000000DOWNLOAD


    From wikipedia :

    Moses Khumalo (born Soweto January 30, 1979 — died September 4, 2006) was a South African jazz saxophonist. He studied at Manu Technical College from 1994-1998 after graduating from community college. He started with the piano but switched to the saxophone in February, 1995.

    He first performed publicly at the Grahamstown National Arts Festival in 1995, and gained attention in the jazz world as a member of Moses Taiwa Molelekwa's band. In the following years he played with Hugh Masekela, Sibongile Khumalo, and Paul Hanmer. Khumalo had been dubbed "one of South Africa's most promising young saxophonists."[1]

    Moses Khumalo died of an apparent suicide by hanging on September 4, 2006.



  • http://www.slowbreakdown.com/disc/i/dust.jpg

    Note :

    http://www.petermurphy.info

    http://www.myspace.com/officialpetermurphyspace

    http://www.mercandede.com

    http://www.myspace.com/mercandede

    Origine du Groupe : Turkey

    Style : Altenative Fusion World

    Sortie : 2002

    Tracklist :
    1. Things To Remember
    2. Fake Sparkle Or Golden Dust?
    3. No Home Without Its Sire
    4. Just For Love
    5. Girlchild Aglow
    6. Your Face
    7. Jungle Haze
    8. My Last Two Weeks
    9. Subway (Epilogue)

    00000000000000DOWNLOAD


    Plonger dans Dust, c'est comme glisser sa langue dans l'antre des plaisirs, se laisser envahir par une chaleur moite, goûter le sel et l'amertume, chercher une forme de jouissance sans relâcher l'effort et l'attention, toucher du doigt le divin.

    Peter Murphy, emblématique personnage et ex-leader de Bauhaus nous emmène dans un autre monde, aux frontières du passé et du présent, dans un monde où la confrontation entre l'Orient et l'Occident ressemble à une fusion, une communion entre la beauté des musiques traditionnelles turques, emplies de frénésie, de chaleur et la sublime froideur mélancolique de "feu" Bauhaus.
    Pour obtenir une telle authenticité, chose non aisée lorsqu'il s'agit de mélanger des musiques telles que le "soufi" et la musique électronique, Murphy a fait appel a Dede Mercan, qui lui aussi expérimente les brassages de cultures, une rencontre hasardeuse entre les deux hommes mais qui change une oeuvre géniale en oeuvre sacrée.
    Il me manque les mots pour donner une description exacte de ce disque, la voix de Peter Murphy n'a jamais semblé si irréelle et puissante, comme venue de l'au-delà, résonnante de façon plus spirituelle que viscérale, ce qui marque une nette fracture avec l'époque Bauhaus, où la douleur était prédominante.

    Chef-d'oeuvre moderne, Dust porte bien son nom, il renaît des cendres de Bauhaus, la poussière cache bien souvent une incroyable beauté, comme pour la protéger, il est nécessaire de la mériter, comme le Graal.
    Si j'ose établir un lien entre Dust et le "Graal", c'est simplement pour souligner que ce disque est l'aboutissement d'un artiste parti pour une quête d'absolu, comme touché par une sagesse divine, Murphy a des allures de messager parti en mission, celle qui consiste à composer l'album ultime, l'œuvre intemporelle, comme "La divine comédie" ou "les chants de Maldoror".
    Il est si rare de retrouver dans la musique tant de richesses qui laissent admiratives, tant au niveau des structures musicales que de l'interprétation, tout est juste, tout est beau, spontané et enivrant.
    Blessé autrefois et endolori par les plaies et les souffrances de l'adolescence, Peter Murphy a depuis cicatrisé mais pas guéri, rares sont les artistes qui parviennent à atteindre ce niveau de plénitude et d'évolution,la majorité d'entre eux préférant se complaire dans l'éternelle stagnation, artistique, culturelle, spirituelle ou humaine tout simplement ; Murphy ne semble pas connaître cette équation et c'est tant mieux, sur son site on peut notament lire ceci: "Souviens-toi que tu es poussière et que tu redeviendras poussière...".

    Le Paradis et l'Enfer n'existent pas, il n'y a que des Hommes et des Magiciens.

    Rock'n'roll !

    par Interpolian

    permalink


  • http://ekladata.com/Pz1Pt0KLqniNRkZH-7J-0nqdZRA.jpg

    Note :

    http://www.myspace.com/omarperrynodirectionhome

    Origine du Groupe : Jamaica , France

    Style : Reggae

    Sortie : 2009

    Tracklist :

    1. We wah
    2. Bless them
    3. Can’t stop us
    4. Woman I love you
    5. Beat down babylon
    6. Right right left
    7. 911
    8. Fighting for a cause
    9. Boom Town
    10. Bring me joy feat. Cleo
    11. Do you love me
    12. Save the earth
    13. Tide of the times feat. Tippa irie
    14. I’m rebel
    15. The ghostmakers
    16. Spiritually

    00000000000000DOWNLOAD


    Le fils de Lee « Scratch » Perry revient avec un second album toujours appuyé par une production française très soignée. A l’oeuvre cette fois, l’ensemble du Homegrown Band.
    C’est dire que la qualité musicale est au rendez-vous tout au long des 16 titres, grâce à l’apport de musiciens tels Guillaume « Stepper » Briard au sax ou Jérémie « Bim » Dessus à la guitare, pour les plus connus. On pouvait s’attendre à une tonalité générale new roots, cet album offre au contraire une bonne leçon de versatilité, autant chez Perry que chez ses producteurs : il grouille de références et empreinte à presque tous les styles de reggae… ce qui explique aussi ses déséquilibres.

    L’album s’ouvre ainsi avec We wah et ses arrangements riches très réussis, façon années 70. Emballé par le sautillant Bless them et surtout par Can’t stop us, avec son flow ravageur sur le riddim Youthman, choisi judicieusement pour titrer l’album, la chanson d’amour Woman I love you, bien servie par le mélodique Soprano riddim, passe toute seule.
    Cerise sur le gâteau, l’album contient plusieurs références aux productions de papa « Scratch » : Beat down Babylon, la reprise du hit de Junior Byles, avec son couplet mixé en « one drop », le riddim de Chase the devil, reproduit fidèlement pour un très bon Save the earth. Référence aussi à Studio One avec Tides of the time au riddim délicieusement rétro, parfait pour inviter le deejay anglais Tippa irie.
    Fighting for a cause au style plus hybride ou Boom town, bon mais sur un World a music riddim, déjà bien exploité, sont moins convaincants.

    Quant au dancehall, c’est un peu le talon d’Achille de l’album, défaut déjà pointé sur le premier opus. S'il faut saluer l'effort, force est de constater que Perry est moins bon dans ce domaine : le Right right left, au riddim inspiré pèle-mêle par The mission ou les productions Mc Gregor, manque d’originalité et le titre Bring me joy, avec la chanteuse Cleo, donne l’impression d’avoir fait rentrer un peu de hype au chausse-pied. C’est un peu mieux avec Do you love me, certes vocodé, mais dansant, et qui fait penser à un Night nurse boosté au hip-hop.
    Bonne surprise en revanche sur les tempos plus cool, comme le nyabinghi 911 et Spiritually, balade produite par le Tune In Crew qui clôt l’album, après une ultime référence, cette fois au dub, avec The ghostmakers.

    Quant aux textes, si nous n’en parlons pas c’est qu’ils sont fidèlement reproduits dans le livret, qui complète intelligemment le packaging soigné, spécialité de la maison Makasound.

    par Benoit Georges

    permalink



  • http://farm3.static.flickr.com/2405/2176209265_bc9c78f92d.jpg

    Note :

    http://www.davieallan.com

    Origine du Groupe : North America

    Style : Rock , Garage , Fuzz , Soundtrack

    Sortie : 1967

    Tracklist :

       1. Blues theme (from the film "The Wild Angels")
       2. King Fuzz
       3. William Tell 1967
       4. Theme from Thunderball
       5. Action on the street
       6. Theme from The Wild Angels
       7. Theme from the Unknown
       8. Fuzz Theme
       9. Sorry 'bout that
      10. Ghost riders in the sky
      11. Runaway
      12. High noon
      13. Theme from A summer place 

    00000000000000DOWNLOAD


    "Blues Theme" is arguably the most famous track by Davie Allan & the Arrows. It was recorded quickly on Mike Curb's Tower label for the soundtrack to the move Wild Angels -- Peter Fonda's first biker flick and just before Easy Rider. With wild, screaming fuzz guitar and a surf beat, it signifies the sound of the L.A. Strip in 1967 and embodies -- in its two-minutes-and-ten-seconds -- all the cultural elements of its soundtrack -- the waning surf scene that traveled it, the muscle cars that roared through its lanes, the dawn of acid-crazed hippies floating down it, and the speed-drenched outlaw biker tribes who haunted it. The rest of the album is a literal pastiche of tracks that were issued under other names, slightly doctored for and from other soundtracks -- there were seven between the Arrows' first album, Apache '65, and Blues Theme -- or simply renamed. These include "King Fuzz," an instrumental remake of "The Twirl" by Harley Hatcher; "Theme From the Unknown," which had several names in earlier releases on 45 rpm's, and "Fuzz Theme," that was later re-titled "The Young World," for the soundtrack to Teen Rebellion. The CD reissue contains the album's original ten cuts, plus three bonus tracks, all of which are previously unissued -- with a smoking read of Del Shannon's "Runaway." The set is brief, but it is all killer, no filler. Sundazed does it again.

    by Thom Jurek

    permalink



  • http://ekladata.com/8yntZcFsdLqK7ayH9tKl8iGeI3k.jpg

    Note :

    http://www.lagbaja.com

    http://www.myspace.com/lagbajatide

    Origine du Groupe : Nigeria

    Style : World Music , Alternative Fusion , Jazz World , Afrobeat

    Sortie : 2005

    Tracklist :

       1.  Drum Affirmation
       2. Africalypso
       3. Who Man?
       4. Mammoney Homs
       5. Mammoney
       6. Rock Me Gentle
       7. Never Far Away
       8. Aisan
       9. Dream Come True
      10. Scream
      11. Skentele Skontolo
      12. Emi Mimo 

    00000000000000DOWNLOAD


    Formidable musicien nigérian, Lagbaja représente avant tout un concept musical et politique ; il n'apparaît que masqué et en Yoruba. "Lagbaja" signifie tout à la fois "personne", "quelqu'un", "qui que ce soit " et "tout le monde". Sorte de soldat inconnu de l'afro-beat, il est la voix des opprimés sans visage particulier, des hommes et des femmes qui forment la masse multicolore du peuple africain.

    permalink

     






  • http://ekladata.com/z93iU4pQkJPiLH8DJkylfQfKkhI.png

    Note : ++

    Origine du Groupe : Jamaica

    Style : Dub , Reggae Roots

    Sortie : 1975

    Tracklist :

    A1* Jah Jah Dub
    A2* Peace Pipe Dub
    A3* Underworld Rock
    B1* Suzuki Shuffle
    B2* Mellow Dub
    B3* Roots Dub

    00000000000000DOWNLOAD


    No comment Just Listen !!! JAH !!!


  • http://img04.shop-pro.jp/PA01014/149/product/20191023.jpg

    Note :

    http://www.myspace.com/nomakofficial

    Origine : Du Groupe : Japan

    Style : Electro , Abstract Hip Hop , Downtempo

    Sortie : 2010

    Tracklist :

    1. Next Dimension
    2. Soarer
    3. Feel it All
    4. Open Out
    5. Never Lost Control
    6. Rise Up
    7. High Grade Standard
    8. The Universe
    9. Fluffy Cloud
    10. Heartful Memories
    00000000000000DOWNLOAD


    Trop à la recherche de beats qui dégueulent, j’avais laissé de côté ces derniers temps la musique façon méditation sous un cerisier en fleur dont les beatmakers japonais ont le secret. Enfin pas tant que cela finalement car je ne suis pas passée à côté du nouvel album de Nomak, sorti le 30 avril.

    “Dynamic Meditation” est un album instrumental allant du hip hop au jazz en passant par l’abstract, histoire de faire dans la musique contemplative. Et là, je me dis : “putain mais qu’est-ce qu’on fait chier !”. Finalement, il n’y a que le “about” de son site internet qui me fait kiffer. Juste de mots : “terre, naturel, piano, forêt, ciel, musique, cœur”… Pour résumer, musique trop lisse à l’image de la feng shui attitude. Mais de temps en temps, c’est mignon à écouter.

    par IkI

    permalink


  • http://www.voir.ca/blogs/nouvelles_musique/Dead%20Weather%202010.JPG

    Note : ++

    http://www.thedeadweather.com

    http://www.myspace.com/thedeadweather

    REVIEW CONNECT

    Origine du Groupe : North America

    Style : Alternative Rock , Blues

    Sortie : 2010

    Tracklist :

    01 - Blue Blood Blues
    02 - Hussle and Cuss
    03 - The Difference Between Us
    04 - I'm Mad
    05 - Die By The Drop
    06 - I Can't Hear You
    07 - Gasoline
    08 - No Horse
    09 - Looking at the Invisible Man
    10 - Jawbreaker
    11 - Old Mary

    00000000000000DOWNLOAD


    Soyons clairs et attaquons avec la même puissance que Jack White (The White Stripes et mille projets), Alison Mosshart (The Kills), Dean Fertita (Queens Of The Stone Age) et Jack Lawrence (The Raconteurs) emploient dans les morceaux de leur troupe : publié moins d’un an après Horehound, son successeur, Sea of Cowards, ne réinvente pas le fil à démarrer la tondeuse rouillée.

    Mêmes tons, entre blues encre de chine et crasse de centrale à charbon, mêmes évidentes influences 70’s, efficaces, bouillantes et cracheuses comme un volcan islandais. N’empêche. Pendant les quelques mois qui ont séparé les deux albums, The Dead Weather n’est pas demeuré totalement immobile. Le premier disque n’était que la jam initiale, l’enregistrement presque involontaire de trois surdoués musculeux et d’une fille salace contents de se rouler avec une innocence gamine dans le fioul lourd.

    Les trois garçons et la fille ont, depuis, appris à démultiplier et à affiner les possibilités. A aller un peu plus loin, dans chaque domaine. Comme annoncé par White, Sea of Cowards est plus lourd – le massif et méchant Blue Blood Blues ou le formidable premier single Die by the Drop n’annoncent de toute façon pas un poids plume. Plus rugueux, plus abrasif, plus puissant. Plus sobre quand il joue la rêche austérité. Mais bien plus joueur quand le groupe se pique de sortir des microsillons du rock diesel ; on dirait même que des ordinateurs, des Minitel au minimum, ont parfois servi à sa conception.

    Il fait des blagues, il fait danser : The Difference Between Us va très carrément chercher sa petite ligne de synthé tubesque chez Smells Like Teen Spirit. Il multiplie les effets étranges sur les voix (la très bizarre Looking at the Invisible Man), tente des rythmiques plus osées, roule des grosses mécaniques plus démentes (I’m Mad).

    Plus abouti, mieux conceptualisé, il est enfin encore plus démonstratif sexuellement. Du péché en barre, de la luxure en bouteille, un cauchemar pour le Vatican, trois garçons aux corps caverneux gonflés jusqu’à la rupture jouant aux durs autour de la bombe charnelle Alison. Non, Sea of Cowards n’est pas radicalement différent de Horehound. Il est juste plus. Et c’est déjà pas mal.

     

    Par Thomas Burgel


  • http://www.urb.com/uploads/reviews/cd_reviews/Ror-Shak_Deep_Daredo.jpg

    Note :

    http://www.myspace.com/r0rshak

    Origine du Groupe : North America

    Style : Electro , Drum & Bass , Downtempo

    Sortie : 2007

    Tracklist :

    1. Lisa's Song - Feat. Lisa Shaw
    2. Fate or Faith - Feat. Julee Cruise
    3. A Forest - Feat. Chantel Claret
    4. Golden Cage - Feat. Julee Cruise
    5. Rescue Me - Feat. Wendy Starland
    6. Interlude # 1
    7. Be There
    8. Love & Pride - Feat. Wendy Starland
    9. Heist
    10. I Don't Want (A Remake) - Feat. Julee Cruise
    11. Window Pain - Feat. Julee Cruise
    12. Trust (Alternative Mix) - Feat. Mark Holmes

    00000000000000DOWNLOAD


    While Kosheen took drum'n'bass to the mainstream club and Pendulum twisted it into something approaching fist-pumping, arena rock, Ror-Shak want to become the Zero 7 or Röyksopp of drum'n'bass. Members DJ DB and Shaun Morris bring the genre into the lounge on their debut album, Deep, a laid-back and often spacy effort that works best in the background thanks to some cringe-worthy words. Luckily, these producers have great taste in vocalists with Naked Music veteran Lisa Shaw supplying the soul while David Lynch's muse Julee Cruise supplies the previously mentioned spaciness. Morningwood frontwoman Chantal Claret does an excellent job on this slowly building cover of the Cure's "A Forest," but it's the lesser known Wendy Starland who comes in first with her jazzy, Billie Holiday inspired voice gracing two cuts. Ror-Shak's rich, warm soundscapes and their infectious drum'n'bass rhythms would be just as listenable as instrumentals, so even with all the beautiful voices, Deep would be better off stripped of some hippy, trippy, and trite words.

    by David Jeffries

    permalink