• http://www2.o-bb.net/~antennasia/web/wp-content/uploads/2010/07/antennasia_quscus_600.jpg

    http://www.antennasia.com

    http://www.myspace.com/antennasia

    Origine du Groupe : Japan

    Style : Downtempo , Electro , Trip Hop , Ambient , Lounge

    Sortie : 2010



    by Wesley  from http://genrewhiplash.blogspot.com



    I'm forcing myself to post something. I think I need to take a break from getting nowhere on my short story. My brain is also telling me to post something not asian, since it seems like I've been
    writing only about Japanese artists lately, but whatever. This is easier to write about for me since I've already listened to it a billion times, I haven't posted any trip hop yet, and they're
    one of my favorites in the genre. Anyway, this is the newest antennasia album after four years without a proper release. It has a slightly different feel to it compared to their earlier albums,
    almost leaning more toward ambient music at times, while also toning down their earlier introspective and haunting beats. While their earlier style was a huge part of what made me love them, this
    new direction isn't necessarily a bad thing, this is still a great album. At the same time though, I still wish I could hear a little bit more of that minimalistic bass heavy production from
    their previous albums.



    Like I said earlier, this album has a much lighter and more mellow sound than, say 2006's 23 Bluebird Street, Velo-city, but it's still distinctively antennasia. San's vocals are as beautiful as
    ever, floating on top of nerve's melodies. Much like the production, her vocals also much lighter, used more like another instrument in the tracks (not sure if I can say that if I don't think
    instruments were really used, oh well). Often, such as in Goats in a Blue Sky, she sings in almost a lazy slurred style, with many vocal melodies layered smoothly over each other, like a
    continuous stream of consciousness. Listening to her is almost like floating in a dream, with the many melodies washing over you like waves.

     





    Tracklist :   

       1. You Draw, I Swim feat. Hybrid

       2. Metronome Wiper

       3. Female River ("On Your Radio" Version)

       4. noanoa

       5. Last Birds (CTANKEP)

       6. Goats in a Blue Sky

       7. Gynoid

       8. The Cat in the Mirror

       9. Passion Show

      10. Stareater

     

    mp3


  • http://publikart.net/wp-content/uploads/2011/01/Capture-d%E2%80%99%C3%A9cran-2011-01-31-%C3%A0-17.28.53.png

    http://susheelaraman.believeband.com

    http://www.myspace.com/susheela.raman

    Origine du Groupe : U.K , India

    Style : World Music

    Sortie : 2011



    Par Squaaly  pour mondomix.com



    Depuis la parution de Salt Rain, son premier long format, Susheela Raman n’a eu de cesse au fil de la décennie écoulée, d’inventer un son qui lui ressemble. Avec plus ou moins de bonheur,
    flirtant parfois avec les bornes normées d’une pop tiède, cette chanteuse à la beauté incontestable et à la voix souple et délicate comme les mouvements de mains d’une danseuse de kathak, a tissé
    des ponts de cordes entre les profondeurs extatiques de la spiritualité de l’Inde du Sud d’où est originaire sa famille et le son des mégapoles occidentales comme Londres où elle est née en
    1973.

    Apparaissant en torero moderne sur la photo de ce cinquième album ; vêtue d’un costume à l’anthracite sobriété, et tenant à la main une muleta grenat, elle semble jouer avec les énergies qui
    l’entourent pour mieux les organiser, pour mieux les amener à se frotter l’une à l’autre, à s’unir dans un tourbillon créatif. Parfois rock (Raise Up) ou blues (Vel Undu), parfois zen (Fools),
    souvent entre deux eaux (Daga Daga, Paal), Susheela Raman s’inscrit avec la grâce d’un dauphin dans le mouvement. Pour la chanteuse, cette posture est celle du musicien, l’essence de son art, la
    substantifique moelle de sa création. Cette aspiration transcendantale guide la chanteuse tamoule qui a donné à cet album le nom de l’un des attributs (à savoir le javelot) de l’un des dieux
    (Velan) les plus vénérés de l’hindouisme.

    En binôme avec son compagnon - le guitariste et compositeur Sam Mills - elle explose les cadres avec bonheur au fil des treize titres. Avec eux, c’est fromage et dessert, car ils ne veulent avoir
    à choisir ou plutôt, parce qu’ils savent que les alliages salés-sucrés sont parmi les plus fins, parce qu’ils se refusent à privilégier telle composante de sa personnalité au profit d’une autre,
    parce qu’ils sont intimement persuadés que c’est dans le dialogue entre chacune d’elles que naît son originalité, sa personnalité propre. Probablement, le plus imprégnés de la tradition musicale
    tamoule de tous ses albums, Vel est aussi celui au son le plus actuel, donnant naissance à un groove unique à même de d’irriguer, de régénérer les arcanes de la création contemporaine.

     





     

    Concerts Live 2011  : 16 shows/événements à venir

     

    Tracklist :   

    01 Zero City 00:49

    02 Raise Up 03:08

    03 Daga Daga 05:36

    04 Magdalene 05:08

    05 Eighteen Floors 02:13

    06 Paal 07:06

    07 Orfea 05:58

    08 Vel Undu 03:51

    09 Fools 03:38

    10 Muthu Kumar 03:21

    11 Ennapane 05:22

    12 Vanai Kavil 01:43

    13 Cargo 05:13

     

    mp3


  • http://www.rocknfrance.com/visuelsAlbums/12113_sta.jpg

    http://www.alaniche.fr

    http://www.myspace.com/tetesraidesofficiel

    Origine du Groupe : France

    Style : Alternative , French Touch

    Sortie : 2011



    Par Valérie Lehoux  pour http://www.telerama.fr



    Au premier titre, la chaleur de la voix et la sobriété de la ­guitare nous extraient immédiatement du brouhaha ambiant : les Têtes Raides chantent, et bien, dans la droite ligne d'une tradition
    littéraire et théâtrale un peu empruntée, façon Rive gauche, qui se contrefout des tendances du moment. Au deuxième titre, l'insistance de la batterie et le ballet des guitares électriques nous
    rappellent que le groupe s'est aussi nourri de rock - on perçoit même parfois un cousinage avec Noir ­Désir. Au troisième titre, on s'arrête, stupéfait : est-ce bien la voix de Jeanne Moreau qui
    croise celle du chanteur, Christian ­Olivier, dans ce tango joueur ? Oui. Trente et quelques années après son dernier disque, la voici, à 83 ans, qui se ­remet à chanter pour de vrai (et non à
    ­parler, comme sur l'album de Daho), avec le charme impertinent des vieilles dames jamais assagies.



    Il n'en faudrait (presque) pas plus pour nous convaincre que ce onzième opus des Têtes Raides est un bon cru. Et, en l'occurrence, il y a davantage : des textes politiques plus allégoriques que
    dogmatiques ; des craintes avouées, jamais plaintives ; des accélérations festives... Et un sautillant duo en anglais avec le Britannique Martyn Jacques (des Tiger Lillies), à la voix très haut
    perchée. Après vingt-cinq ans de musique, les Têtes ont gardé leur parfum de néoguinguette alternative aux rythmes martelés, mais ont aussi su retrouver une fraîcheur poétique, et même une
    douceur qu'on ne leur connaissait guère. Bonne année.

     







    Tracklist :

    01. L'an demain (3:22)

    02. Fulgurance (3:20)

    03. Emma (3:24)

    04. Angata (3:06)

    05. Marteau-piqueur (4:10)

    06. J'm'en fous (2:41)

    07. Météo (3:51)

    08. Gérard (3:57)

    09. So Free (2:54)

    10. Pas à pas (3:17)

    11. Olé (3:19)

    12. Maquis (3:12)

    13. Je voudrais (3:17)

     

    mp3


  • http://www.mayra-andrade.com/Publish/discographie/5/cover.jpg

    http://www.mayra-andrade.com

    http://www.myspace.com/mayraandrade

    Origine du Groupe : Cap Vert

    Style : World Music , Jazz World

    Sortie : 2010


    Par http://sites.radiofrance.fr/chaines/fip



    Fip suit depuis de longues années l'artiste capverdienne. Mayra Andrade, c'est une voix à faire chavirer les âmes et un sourire à faire chalouper les cœurs !



    Sur les traces de Cesaria Evora, Mayra Andrade s'est fait connaître en 2006 avec son premier album " Navega ", déjà Sélection FIP, puis vint "storia storia".



    Avec "Studio 105", la jeune capverdienne choisit de faire pour l’occasion une véritable création. Enregistrée et captée en septembre 2010 au Studio 105 de la Maison de la Radio à Paris, avec un
    trio acoustique formé quelques jours avant la représentation, cette création donne lieu à la publication d’un cd / dvd.



    Un voyage du Brésil à l'Afrique qui nous entraine dans une variété de couleurs et de climats. Mayra revisite son répertoire avec Munir Hosen, Zé Luis Nascimento, Rafaël Paseiro et des invités de
    marque : Vincent Ségal et Hugh Coltman.



    « J’ai voulu aborder mon répertoire de façon plus sobre, dans une configuration acoustique comparable à celle de mes débuts, pour retrouver mes sensations premières de chanteuses »








    Tracklist :

    01. Kenha Ki Ben Ki Ta Bai (5:28)

    02. Tchapu Na Bandera (6:49)

    03. Dimokansa (4:34)

    04. Seu (5:38)

    05. Storia, Storia (4:28)

    06. Dispidida (5:23)

    07. La Javanaise (4:34)

    08. Odjus Fitchadu (4:29)

    09. Tunuka (4:26)

    10. Michelle (3:22)

    11. Lapidu Na Bo (5:52)


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  • http://ekladata.com/QDGvyFxo-eIyDKvxkDQpaWpZSMk.jpg

    http://www.earthlingmusic.co.uk

    Origine du Groupe : U.K

    Style : Trip Hop , Downtempo , Abstract Hip Hop , Alternative

    Sortie : 2010



    Par  Elnorton  pour http://www.indierockmag.com



    George Cockcroft n’est pas le seul homme à avoir été ivre. Sans doute pas le seul non plus à avoir alors laissé le hasard guider l’une de ses décisions. Il est en revanche le seul à avoir poussé
    le paroxysme aussi loin...



    L’histoire d’Earthling est étroitement liée à celle de George Cockcroft. Docteur en psychiatrie, l’histoire de ce dernier commença véritablement lorsque ivre, il laissa un dé guider l’une de ses
    décisions. Et là où n’importe quel autre individu aurait, dès le lendemain, abandonné cette grotesque idée, l’américain étend ce rituel à chacun de ses choix.



    Attribuant une humeur à chaque résultat possible, il est alors branché sur courant alternatif, tantôt taciturne, tantôt prolixe selon la volonté du dé. Cette méthode lui sert également à l’heure
    d’effectuer ses diagnostics (rappelons que l’individu est psychiatre) ou dans ses choix de couple. Un jour, les dés lui dicteront même d’écrire son autobiographie. L’Homme-Dé sera ainsi publié en
    1971 sous le pseudonyme de Luke Rhinehart (un nom qu’on imagine dicté par le cube).



    Vingt ans plus tard, au début des années 90, Tim Saul est un jeune musicien qui a appris à jongler avec les sons au côté d’un certain Geoff Barrow, fils d’amis de la famille. Désireux de voir
    plus grand, il passe une annonce où il indique chercher un rappeur imaginatif. Mau, se définissant lui-même comme "un gosse de la bourgeoisie noire" et vivant comme un ermite (ses parents lui
    interdisaient l’accès aux cités ouvrières) répond, pessimiste, à l’annonce. "Depuis des mois, je ne rencontrais que des musiciens idiots" explique-t-il. Ce ne sera pas le cas cette fois-ci.
    Censés parler musique, c’est autour de L’Homme-Dé de Luke Rhinehart que la conversation tourne. Les deux jeunes anglais ont tous les deux adoré le roman, se trouvent ainsi un premier point commun
    et quand arrive le petit matin, le duo a déjà enregistré son premier titre...



    Après avoir travaillé sur Dummy aux côtés des membres de Portishead, T Saul reprend son travail de création. Et Radar, le premier album d’Earthling, sortira en 1995. Andy Keep a alors rejoint le
    groupe, et Geoff Barrow, avec sa guitare et ses scratchs, s’invite sur quelques titres. Le deuxième album se prépare tranquillement, Mau confie d’ailleurs que l’ambiance en studio est au beau
    fixe ("Nous avons tellement d’idées en stock qu’il est facile d’écarter un morceau dont l’un de nous ne serait pas heureux. Ça interdit les luttes d’ego.").



    Humandust est ainsi finalisé en 1997, mais la maison de disques du groupe refuse de sortir l’album. L’avenir d’Earthling se joue alors sur un coup de dé (en espérant que les membres du label
    n’aient pas usé des mêmes méthodes que celles prônées par Luke Rhinehart) puisque cette décision entraîne la rupture du groupe. Humandust, plus froid et mature que son prédécesseur, finira par
    sortir en 2004. A cette époque, Andy Keep était totalement impliqué dans Ming, projet trip-hop avec la chanteuse Jo-Kate Benson, tandis que T Saul s’était lancé dans la création de musiques pour
    documentaires. Mau, de son côté, apportait ici et là sa contribution vocale, que ce soit pour le compte de Cuba, 2 Square, Télépopmusik ou Dirty Beatniks...



    L’étonnante reformation d’Earthling (sans Andy Keep, au début du mois de décembre 2010 devait donc être l’occasion de rendre hommage à ce groupe qui, sans une décision hasardeuse de son label,
    figurerait sans doute au panthéon des groupes bristoliens, aux côtés de Massive Attack, Tricky ou Portishead. Mais Insomniacs’ Ball, le nouvel album du groupe, nous offre la certitude qu’il ne
    s’agit pas là d’un coup médiatique, ni commercial. Earthling a encore des choses à dire, le flow de Mau (rappelant parfois celui de Tricky en moins nonchalant) est toujours aussi efficace, tandis
    que l’escapade du côté du film documentaire a permis à T Saul d’étoffer son registre.



    Pourtant, alors que Portishead s’exprime dans une veine plus industrielle et que les compositions de Massive Attack n’ont, depuis Mezzanine, plus grand chose à voir avec le trip-hop initial,
    Earthling persiste dans la même veine. Et si le retour aux sources de certains piliers du mouvement, comme celui de Morcheeba sur Blood Like Lemonade n’innove en rien, les compositions de Tim
    Saul abritent quelques bruits et rythmes difficilement identifiables.



    En vérité, Insomniacs’ Ball reprend les choses où elles s’étaient arrêtées sur Humandust. L’album est froid et crépusculaire. Le flow de Mau contribue également à le rendre dynamique. Et ceci
    accouche de quelques sommets rarement égalés dans la discographie du groupe (A Great Year for Shadows, Bobby X, Harp for Bats, Peepholes...). Difficile de ne pas citer la totalité de l’album, en
    fin de compte, une fois celui-ci appréhendé.



    Car Insomniacs’ Ball est un disque intelligent, qui se bonifie au gré des écoutes. Tim Saul n’apprécie guère ces histoires de "son de Bristol", justifiant la similitude entre son groupe et
    Portishead par l’emploi commun d’accords mineurs. Paradoxalement, c’est pourtant son groupe qui, aujourd’hui, réhabilite totalement ce son...



    Quand à Andy Keep, troisième membre de la formation, il est désormais enseignant à l’Université de Bath Spa où il se fait appeler "Docteur Andy Keep". Docteur, comme Luke Rhinehart...







    Tracklist :

    1.Lab Baby 03:20

    2.A Great Year for Shadows 03:34

    3.Poems,Prayers & Pills 03:03

    4.Gri Gri 03:37

    5.Fly Away 05:07

    6.Bobby X 03:46

    7.Harp for Bats 03:46

    8.In the Sky 03:00

    9.Peepholes 03:20   

    10.Branded Youth 03:04



    released 01 January 2011

    All Words & Vocals by Mau, except Fly Away by Julee Cruise.

    All tracks Mixed by Kosi & T.Saul in Studio Koslik, Berlin & Produced by T.Saul.

    Rik Dowding was the engineer at S.O.A.Studios, Bristol.

     

    mp3


  • http://www.lemellotron.com/wp-content/uploads/joan_as_police_woman-the_deep_field-300x300.jpg

    http://www.joanaspolicewoman.com

    http://www.myspace.com/joanaspolicewoman

    Origine du Groupe : U.K

    Style : Indie , Alternative , Alternative Rock

    Sortie : 2011



    From Official Site :



    JOAN AS POLICE WOMAN is Joan Wasser. A musician since she picked up a violin in the third grade, Joan began playing professionally immediately upon escape from her parents house. After the death
    of her boyfriend Jeff Buckley, she began to sing and write songs with some of Jeff's band mates in a project called Black Beetle.



    Since assuming her current moniker in 2002 - a reference to the 70's cop show, Joan has toured and collaborated with legendary musicians including Rufus Wainwright and Antony and the Johnsons.
    She has toured extensively throughout Europe and the United States and has received extraordinary critical acclaim for her three studio albums REAL LIFE (2006), TO SURVIVE (2008) and a
    compilation of covers aptly titled COVER (2009).



    She continues to tour the world and wow audiences with her unique blend of open and outspoken irreverent in-between song banter, launching in to an intimate love song that leaves the crowd in
    tears. She has made her most brilliant and revealing record yet, THE DEEP FIELD, which will drop on January 24, 2011. Be sure to catch her before she speeds away in her cop car, sirens blaring.









    Tracklist :   

    01 Nervous 06:02

    02 The Magic 04:10

    03 The Action Man 05:08

    04 Flash 07:52

    05 Run For Love 05:37

    06 Human Condition 05:33

    07 Kiss The Specifics 04:30

    08 Chemmie 04:47

    09 Forever And A Year 05:56

    10 I Was Everyone 06:06

    mp3


  • http://www.jayfan.com/uploadimg/201101/27/060201105.jpeg

    http://www.shawnlee.net

    http://www.myspace.com/shawnleemusic

    Origine du Groupe : U.K

    Style : Funk , Alternative

    Sortie : 2011



    From http://www.parisdjs.com



    Here's the first listen to a new Shawn Lee record, set for release in Feb 2011. Lee says he lives in a World of Funk, and invited friends from around the globe to make his point; Brazilian
    singer-multi instrumentalist Curumin (Hailing from Sao Paulo, and of Japanese/Spanish Brazilian background,) British/Egyptian singer Natacha Atlas, Chhom Nimol - singer with the band Dengue
    Fever, Bardo of Chicano Batman and Cava, from LA, plus Truth and Soul Recording artist Michael Leonhart, NOMO bandleader Elliot Bergman, and Lee's mother-in-law (aka Nanny Jee)!



    Info :

    Multicultural and multi-talented composer and performer Shawn Lee lives in what he calls a “World of Funk.” His mother is half Lebanese and a quarter Native American Indian. His wife is Indian,
    born in London from parents who are from Tanzania, East Africa. Their daughters (Mela & Seela) are half British/Asian and half American with the family roots to American Indian and Lebanese.
    As an American living in London he has his ears open to sounds from around the world, and all the spin-offs, mash-ups and fusions that pop-up. “Turkish Psych, Thai Funk, African Disco, Cambodian
    rock, Brazilian soul,” lists Lee. “If you can say it, it exists.”



    Lee has as an uncanny ability to pick-up and play any instrument he can lay his hands on (his studio is like a candy-store for curious musicians) and for World of Funk he went global playing
    sitar, ektar, Balaphone, Tanpura, kalimba, Steel drum, Guitarron, Moroccan castanets, Cithare, vibraphone, Xylophone, Bulbul tarang, Charango, Bouzouki, talking drum, and Udu.



    But it wasn’t just geography, family roots, and a well-stocked studio that fueled this album. Lee is a massive fan of worldly-funk. The Turkish psych of Selda and Ersen, early 1970s Bollywood
    soundtracks by RD Burman and Asha Bhosle, the Brazilian soul and disco of Tim Maia, Ethiopian Jazz great Mulatu Astatke and the Afro funk of Pat Thomas and Marijata were all big influences on
    World of Funk.



    “Like many western musicians, my ears have been seduced by the exotic sounds of the East and beyond.

    By the same token, many musicians from around the world have been inspired by the music of America

    and England as well. What we've got here is a universal language,” says Lee. “When we bastardize each other’s sounds/ music and get it wrong - we get it so right. It mutates and becomes
    something

    extraordinary. Now that is funky!”



    Adding to Lees melting pot of sounds are guests from around the world. Brazilian singer-multi instrumentalist Curumin (Hailing from Sao Paulo, and of Japanese/Spanish Brazilian background) and
    British/Egyptian singer Natacha Atlas completely embody the spirit of World of Funk. While on-tour in Los Angeles this Summer Lee locked down three very special collaborations. The first was with
    Chhom Nimol the LA based Cambodian singer with the band Dengue Fever. Lee made an instrumental track with Clutchy Hopkins (which includes the sound of a 1960's Smith and Corona typewriter!) for
    Dengue Fever member Paul Smith who recorded Chhoms haunting vocal. A chance meeting with Bardo of Chicano Batman on Sunset Boulevard led to some garage-y flavored West Coast Latino-funk. And then
    both Willie McNeal and Money Mark suggested Lee work with Cava.



    The album also features Truth and Soul Recording artist Michael Leonhart, NOMO bandleader Elliot Bergman, and Lee’s mother-in-law (aka Nanny Jee)!

     





    Tracklist :

    01. Bina

    02. Ghost In The Rain feat. Clutchy Hopkins & Chhom Nimol

    03. Ethio feat. Michael Leonhart

    04. Cairo Cairo feat. Natacha Atlas

    05. Nao Vacila feat. Curumin

    06. La Eterna Felicidad feat. Bardo Martinez

    07. Nanny Jee feat. Nanny G

    08. Iceberg feat. Elliot Bergman of NOMO

    09. Booya feat. Michael Leonhart

    10. The Mighty Atlas feat. Natacha Atlas

    11. Mi Ilusion feat. Cava

    12. Accelerate

    13. Tablacadabra

    14. Hairy Krishner

    mp3


  • http://ekladata.com/UsqYSnUf2tLbvMq2Qkg9GP9o8ZQ.jpg

    http://www.petertosh.com

    http://www.myspace.com/petertoshspace

    Origine du Groupe : Jamaica

    Style : Reggae

    Sortie : 2002

    Durée : 60min


    Par  "loyl" pour http://www.amazon.fr



    Un grand écran, un son sur 4 enceintes, voilà les ingrédients qu'il vous faut pour passer un moment inoubliable en compagnie d'un des plus grands reggaeman du monde.

    Vous ne pourrez pas passer à coté du charisme "mystique" d'un Peter TOSH impressionnant, du style à la Hendrix du guitariste,du batteur en trance, du bassiste super excité ni des percussions qui
    ajoutent au raggae de TOSH tout son attrait.

    A noter un public un peu mou(subjugués par le talent de Peter dira-t-on ...)

    A passer en boucle !!



    Tracklist :

    01. Intro / Creation

    02. Pick Myself Up

    03. African

    04. Coming In Hot

    04. Not Gonna Give It Up

    06. Rastafari Is

    07. Where You Gonna Run

    08. Glass House

    09. Equal Rights / Downpressor Man

    10. Johnny B. Goode

    11. Get Up, Stand Up

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