• susheela.jpgNote :

    http://www.susheelaraman.com

    http://www.myspace.com/susheela.raman

    Origine du Groupe : U.K , India

    Style : World Music

    Sortie : 2007





      Attention cette jeune femme pése son pesant d'or si je puis dire !

    Susheela Raman anglaise d'origine indienne nous a offert un dernier album toujours aussi magiquement mystique . Toujours accompagner par ce fabuleux guitariste Sam Mills compagnon dans la vie et
    sur scène de cette diva a la voix envoutante .

    Le nouvel album " 33 1/3 " de Susheela expérimente des reprises de groupes et artistes bien connu tel que : Jimmy Hendrix avec un voodoo chile magnifique ou encore les Rolling Stones .

    Bref Susheela ne dénature pas ces musiques et leur redonne un esprit encore plus vivace grace à cette force mystérieuse qui la fait vibrer .

    Je vous conseille plus que vivement d'aller voir cette artiste en concert qui à coup sûr vous ravira , j'ai tester et j'ai approuvé !

    Merci Susheela that's very great music .

    by DJ DemonAngel







    Tracklist :

    1 · I'm Set Free

    2 · Yoo Doo Right

    3 · Where Did You Sleep Last Night

    4 · Like a Rolling Stone

    5 · Love Lies

    6 · Oh My Love

    7 · Voodoo Chile

    8 · Heart and Soul

    9 · Persuasion

    10 · Ruler of My Heart

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  • http://ecx.images-amazon.com/images/I/61VMpOZTZOL._SL500_AA300_.jpg

    Note :

    http://colored-inc.com

    http://www.myspace.com/doctorlmind

    Origine du Groupe : France , Ireland

    Style : Abstract Hip Hop , Psychedelic , Acid Jazz

    Sortie : 2006



    Liam Farrell est une espèce d'homme de l'ombre omnipotent dans le paysage musical français. Hip-hop, electro, jazz ou chanson, ses compétences s'exercent dans des domaines tellement éloignés
    qu'il devient difficile d'en isoler la signature. A tel point qu'à l'heure de parler de ce talentueux batteur et producteur, il est plutôt question de listes et de palmarès que de propos
    esthétiques. Au grand réconfort des non-initiés, on n'y résistera pas. Ecoutez plutôt : Après avoir tenu les baguettes pour Rita Mistousko, les Wampas  ou FFF, Doctor L s'est brillament
    illustré à la production pour Assassin, Rodolphe Burger, Bumcello, Bashung ou encore Tony Allen, avec qui il a monté le projet afrobeat Psycho on da Bus. Cela a certes de quoi impressionner, mais
    comme dirait l'autre, la vérité est "higher", dans l'identité musicale même de cet artiste-savant perfectionniste.



    Ce nouvel album solo en est l'illustration parfaite. Comme le titre vous l'aura déjà indiqué, tous les morceaux ici présents sont des ébauches oubliées sur un disque dur, et provenant donc
    d'époques, de collaborations ou de projets différents. On trouve par exemple des chutes des disques de Kactus Hunters ou Rare Moods, aux côtés des travaux individuels du docteur. Tout ce matériel
    a donc été repris, remixé et réagencé dans un mix de 70 minutes. Le tour de force résidant dans le pari, réussi, de faire sonner ce rapiéçage comme un ensemble cohérent. Et donc de dégager, de
    mettre en lumière, la marque de fabrique, le groove si particulier de Doctor L. Un son dense et clair aux séquences alambiquées. Des textures et un grain originaux que l'on peine à décrire. Une
    espèce de moiteur sèche, en quelque sorte, comme les émanations du bitume chauffé à blanc par le soleil estival (écoutez donc Kind of Dry, qui porte fort bien son nom). Craquements divers, voix
    soul vocodées, rhodes ou guitares distordus et flûtes fugitives constituent le principal de l'arsenal mélodique, évoluant au fil de décors downtempo.



    Une musique pas forcément évidente à assimiler de prime abord, de par sa richesse et sa relative complexité. Mais pour peu qu'on s'y engouffre, le voyage en vaut la peine. Sans se détacher du
    reste de sa discographie, en terme de qualité, Forgotten Tracks from the Hard Drive constitue une excellente porte d'entrée à l'univers de Doctor L, et saura tout autant séduire ses adeptes, déjà
    acquis à sa cause.



    Chroniqué par Rafiralfiro

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    Tracklist :

    01/ Dancing with Joy

    02/ Hold on

    03/ Dreaming with no future

    04/ Ghost in my head

    05/ The grain

    06/ Industrial zone

    07/ Acoustic lane

    08/ Hands up!

    09/ The night ride

    10/ The world

    11/ In the way of my mind

    12/ Born too fight

    13/ In Another Time

    14/ Kind of Dry

    15/ The Green Walk

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  • http://www.8bitpeoples.com/images/albums/large/8BP092.gif?1238272050

    Note :

    http://www.8bitpeoples.com/discography/8BP092

    http://www.youcoova.com

    http://www.myspace.com/coova

    http://www.budmelvin.com

    http://www.myspace.com/budmelvin

     

    Origine du Groupe : Japan , North America

    Style : Alternative Fusion , 8-Bits , Country

    Sortie : 2009

    Creative Commons License





    La musique 8 bit n’en finit pas de me surprendre. Si on la savait capable de produire des titres pop d’une incroyable efficacité (écoutez Disasterpeace "Ensis"), on la sait désormais aussi capable
    de jouer avec les codes et les styles musicaux comme c’est le cas sur ce magnifique Ep signé Coova & Bud Melvin. Un Ep dans lesquel la 8bit rencontre la country/western music, ou comment le
    banjo et les sonorités numériques basiques se marient à merveille sur 4 titres totalement bluffants. Et plus je les écoute, plus je me dis qu’il a quelque chose de vraiment unique dans la musiquedu
    duo Coova and Bud Melvin



    par Netlabels Revue

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    Tracklist :

    1 - Karioto

    2 - Reuben

    3 - Yourmachi

    4 - Sjutton

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  • http://cdon.dk/media-dynamic/images/product/00/04/05/08/30/3/8f293914-6af0-497a-9318-688340985ad9.jpg

    Note :

    http://www.myspace.com/ohlandmusic

    Origine du Groupe : Danemark

    Style : Electro , Alternative , Experimental , Vocal

    Sortie : 2008





    Vous trouvez pas que ça manque un peu de grâce par ici ? Il y a un peu trop d'artistes masculins pour ainsi dire pas très gracieux. Mais ne vous en faîtes pas, votre fidèle serviteur à la
    solution pour parer le taux de testostérone un peu trop élevé de ce blog. J'invoque la sublime Oh Land (de son vrai nom Nanna Øland Fabricius) chanteuse Pop déguisée derrière de la musique
    Électronique/Expérimentale.



    Cette jeune Danoise a commencé dans le domaine de la danse mais une blessure au dos l'a contrainte à changer de cap, et à se diriger comme par magie vers la musique. Elle a mis 4 ans à élaborer
    son premier opus : "Fauna", album hybride aux limites des genres. On est dans un premier temps intrigué par la couverture .



    Magnifique n'est-ce pas ? En tout cas elle donne envie d'écouter l'album et d'en apprendre un peu plus sur ce qui caractérise sa musique. Cet album a été entièrement composé par la demoiselle,
    elle y joue du piano, du violon. Bien entendu elle a aussi reçu de l'aide de musiciens plus ou moins célèbres comme Dorit Chrysle ou encore Davide Rossi. L'album commence par le morceau "Numb"
    (oui, oui comme le magnifique morceau du groupe Portishead) où l'on entend Oh Land fredonner un air envoûtant pendant une trentaine de secondes avant que les premiers mots ne sortent de sa bouche
    et que le kick drum puissant ne fasse son apparition. Une belle entrée en la matière donc pour cet album qui nous réserve de nombreuses surprises. Parmi ces surprises il y a le morceau "Heavy
    Eyes" qui est tout simplement sublime et le premier single "Audition Day". "Heavy Eyes" et ses percus à vous rendre fou, la mélodie entraînante portée par la voix de Oh Land et quelques coeurs
    par-ci par-là, et l'utilisation de glitch sur les percus connote le côté expé du morceau. Ca déboite. "Audition Day" et son "Pom Pom Pom", que vous ne manquerez pas de répéter, ainsi que sa
    bassline violente aux allures de dubstep.



    A l'écoute de cet album on est frappé par les ressemblances que Oh Land partage avec une scandinave bien connue, la bien dénommée Björk. Leur style sont plutôt proches, la musique est
    expérimentale, truffée d'électronique. Mais les points communs ne s'arrêtent pas là, Oh Land, tout comme Björk, a développé un style visuel très particulier et très travaillé. Ses apparitions
    scéniques sont truffés de costumes et autres accessoires en tout genre. Si l'on peut les comparer, souhaitons lui de suivre le même chemin que Björk.



    par Tiago

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    #1 Oh Land / Singing in a suitcase from Sabine Storm

     



    Still Here - Music Video from Rikke Otte

     



    Tracklist :

    1. Numb 4:38

    2. Still Here 3:16

    3. Frostbite 4:49

    4. Heavy Eyes 3:47

    5. Postbone The Bad 3:23

    6. Koo Koo 1:53

    7. Audition Day 3:55

    8. I Found You 3:27

    9. Release Me 4:38

    10. Namazu 3:05

    11. Alive/Awake 3:42

    12. Deep-Sea 3:32

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  • http://www.bobtjeblues.com/files/images/Eric-Sardinas-and-Big-Motor---Selftitled-copy.jpg

    Note :

    http://ericsardinas.com

    http://www.myspace.com/ericsardinasband



    Origine du Groupe : North America

    Style : Rock , Blues

    Sortie : 2008



    Eric Sardinas is a bit of an enigma. The long-haired, tattooed guitarslinger would seem more at home cranking out scorched-earth heavy metal rather than playing in the energetic blues-rock style
    that he's perfected. One might expect Sardinas to strap on an oddly-shaped B.C. Rich Warlock, or even a Dean Dimebag tribute guitar instead of the custom-made Dobro resonator guitars that he
    prefers. No matter your expectations, you can always depend on Eric Sardinas to surprise and entertain.

    Learning The Blues At 78rpm



    Sardinas discovered the Delta blues at the unbelievably young age of six, when he first picked up a guitar. Spinning ancient 78s, he developed his unique style of playing listening to Charley
    Patton, Son House, and Robert Johnson before moving on to modern-era blues guitarists like Muddy Waters, Elmore James, and Otis Rush. Throw in a dash of British blues-rock, hard rock, and more
    than a little Jimi Hendrix and Stevie Ray Vaughan influence, and you'll have the unique, electrifying, exhilarating sound of Eric Sardinas.

    Street Corner Blues



    After a bit of wandering, Sardinas landed in Los Angeles in 1990. At first he survived much like his early country-blues idols, performing with an acoustic guitar on the street corner for spare
    change. He later put together a band, the Eric Sardinas Project (ESP), honing his sound by performing 300 nights a year for nearly six years. The band's hard work paid off, earning ESP a gig
    touring with Johnny Winter. Sardinas and crew recorded their debut, Treat Me Right, in 1999 for the respected jazz/blues label Evidence. Sardinas subsequently released albums in 2001 and 2003,
    and has since performed with bluesmen like Hubert Sumlin and David "Honeyboy" Edwards.



    With his fourth album, the generically-titled Eric Sardinas and Big Motor, the enigmatic guitarist manages to turn the humble Dobro into a true musical weapon of mass destruction. Although Delta
    blues players would often use acoustic resonator guitars to play louder, and be heard above the juke-joint crowd, Sardinas wields his electrified Dobro as a samurai sword, slashing-and-crashing
    through these songs like some screaming bird of prey swooping down on dinner.

    Eric Sardinas And Big Motor



    With Eric Sardinas and Big Motor, Sardinas further refines his trademark sonic fury, mixing in bits and pieces of 1960s-styled British blooze-rock, John Lee-inspired boogie, Southern soul, old
    school Delta blues, even a bit of twangy, country-tinged blues (think early-1970s Johnny Winter). Bass guitarist Levell Price and drummer Patrick Caccia provide a locomotive beat behind Sardinas'
    six-string pyrotechnics; together, the trio raises a lot of joyful noise for three guys.



    The album-opening "All I Need" is a 120mph raver, built upon an unrelenting rhythm, embroidered with taut, barbed-wire fretwork. The infectious, melodic "Ride" hides its pop overtones beneath a
    soaring guitar line, a Gospel-tinged chorus, and a Hendrix heartbeat...kind of reminds me of Clapton-era Delaney & Bonnie. The up-tempo "Gone To Memphis" is a soulful, uplifting tune with
    some finely-engraved Dobro work and warm vocal harmonies.



    Lest listeners think that Sardinas has gone soft, the rollicking boogie-based "It's Nothing New" turns the amp up a notch, and by the time that ES and Big Motor kick into the juke-joint stomp
    "Just Like That," you'll be turning over chairs and dancing on the table. Sardinas' showcases some nasty, menacing slide-playing here as the band bashes-and-crashes behind his switchblade
    fretwork. A relatively straight-forward cover of the Elvis gem "Burning Love" displays Sardinas' playful side, while a cover of Tony Joe White's "As The Crow Flies" offers up a true 180-proof
    Delta gumbo with a soulful vocal turn and imaginative six-string solos.

    The Reverend's Bottom Line



    Sardinas has too often been dismissed as a mere Stevie Ray clone or Hendrix acolyte, both comparisons sadly missing the mark. As shown by Eric Sardinas and Big Motor, there's a lot more going on
    here than meets the eye (or ear). There are many shades and textures to the songs here, and if Sardinas primarily mines nuggets of musical gold from an overworked blues-rock idiom, he's done so
    in his own unique style. Falling firmly on the harder-rocking side of the blues-rock equation, Eric Sardinas nevertheless plays a Dobro like nobody's business, and the songs here showcase an
    artist still having fun and exploring the limits of his talents and the music. (Favored Nations Records)



    by 

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    Tracklist :

       1. All I Need

       2. Ride

       3. Find My Heart

       4. Gone To Memphis

       5. It's Nothin' New

       6. This Time

       7. Just Like That

       8. Burning Love

       9. Wonderin' Blues

      10. Door To Diamonds

      11. As The Crow Flies

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  • http://musicoogle.com/uploads/posts/2010-06/1277765027_127zkayu.jpeg

    Note :

    http://snowandvoices.com

    http://www.myspace.com/snowandvoices



    Origine du Groupe : North America

    Style : Alternative Rock , Indie , Psychedelic Pop

    Sortie : 2010



    Beat Surrender gets an increasing amount of emails these days, not all the music "fits" the blog and by definition my personal taste but time permitting I always try to take a listen to
    everything that drops into my inbox and there are occasions where something on the fringes catches my attention and Snow & Voices new album Anything That Moves was one of them, the promo
    track that got my attention was Maybe Finland and straight of I was captivated by the vocal of Lauri Kranz.



    Kranz' has a talented song-writing partner, multi-instrumentalist / producer Jebin Bruni (Aimee Mann, Fiona Apple) and together with a supporting cast of LA musicians they've come up with a nine
    track album of LA dream pop described as "a multi-layered aural landscape", not a bad summary. Without prior knowledge of the band I'd convinced myself they were from Scandinavia and not
    California (thrown off the scent by the first track title and band name maybe?), there's no L.A. sunshine to be found here and listening between dusk and darkness is recommended - Kranz' vocal
    and the albums melancholy fit that time of day perfectly. The album is released independently on the bands own label on May 25th.



    by simon230

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    Tracklist :

    1. Maybe Finland (3:56)

    2. Everything Coming Apart (4:39)

    3. Blue (5:19)

    4. I Am a Storm (2:54)

    5. The Letting Go (5:27)

    6. Swallow Me (5:00)

    7. Mistress (4:19)

    8. Liar (7:27)

    9. Please Be My Lover (4:07)

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  • http://ekladata.com/XX-TAqDncaKKMOY54_CbFZs4xxE.jpg

    Note :

    http://www.roots-archives.com/artist/5650

    Origine du Groupe : U.K

    Style : Dub , Reggae

    Sortie : 1978



    DUBWISEEEEEEEEEEE !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!



    Tracklist :

    01 - A1 - Penny For Your Song Dub

    02 - A2 - Shocking Love Dub

    03 - A3 - In This World Dub

    04 - A4 - Help Me Make It Through The Night Dub

    05 - B1 - Love Story Liberty Dub

    06 - B2 - Talking Love Dub

    07 - B3 - Three Times A Lady Dub

    08 - B4 - Grove Me Dub

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  • http://ekladata.com/QwpewhTWtLdgcyZnRx1ecRzdgxE.jpg

    Note :

    http://www.myspace.com/cacique97

    Origine du Groupe : Portugal , Mozambic

    Style : Afrobeat , World Music

    Sortie : 2009



    From Official Myspace :

    Lisbon has always been a stage for the meeting of several cultures, mostly due to the past of the city as the capital of a colonial empire in Africa and Latin America. Nowadays it is a huge pot
    of creativity which attracts artists from all over the world and it is a privileged space where musicians find each other, share ideas and mix rhythms. It is from this mixture that, in 2005,
    afrobeat collective Cacique..97 was born.



    With musicians with Mozambican and Portuguese origins, this collective incorporates members from groups such as Cool Hipnoise, Philharmonic Weed and The Most Wanted, well known projects in the
    areas of funk, reggae and the afro sound.



    The passion for the music of Fela Kuti and Tony Allen has united these musicians for the pursuance of a common goal: to create a collective that mirrored the Lisbon mixture, by crossing the
    characteristic urban Nigerian rhythm which is afrobeat, with the musical tradition of the Portuguese-speaking African countries and of Brazil, whom has always been very present in the Portuguese
    capital.



    Cacique..97 intend to give birth to a global soundtrack of the new times without losing the activist approach and the promotion of social awareness so fond to afrobeat.







    Tracklist :

    01. Jorge da Capadócia 5:55

    02. Eu Quero Tudo 4:16

    03. Mifolo 5:05

    04. Sr.Diplomata 5:07

    05. Get No Stronger 5:25

    06. Come From Nigeria 6:23

    07. 13 4:32

    08. Dragão 6:06

    09. Kodé 5:28

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  • http://www.nonesuch.com/sites/nonesuch/files/imagecache/section-albums-coverart/albums/coverart/explorer-caribbean-bahamas-the-real_0.jpg

    Note :

    http://www.nonesuch.com/albums/the-bahamas-the-real-bahamas-in-music-and-song

    Origine du Groupe : V.A Bahamas

    Style : World Music

    Sortie : 2003 (1965)



    Most of the major Bahama Islands lie no further than 200 miles off the Florida coast. The United States has had generally a greater influence on the history and development of this British colony
    than did the Spanish-speaking Caribbean islands to its south and east. This is also true for most of the music of the Bahamas; certainly it is true in the case of the music presented in this
    album—the religious vocal music of “rhyming spirituals” and anthems.



    The songs and the style heard here are the result of alternate periods of contact with and isolation from the United States mainland. The Bahama colony was established at about the same time as
    the Carolina colony: around 1670. Africans from many tribes—Ibos, Ijos, Yorubas, Mandingoes, Ashantis—were imported as slaves to both places, as well as to other British settlements in the New
    World. Whereas tribal identity quickly vanished in the mainland colonies, one’s awareness of a particular African heritage remained intact to a great extent in many of the European-colonized
    islands. This was so in the Bahamas, where the surrounding waters provided temporary insulation against outside influences; there is still an awareness of tribal distinction in some parts of the
    Bahamas. During the Revolution in the mainland colonies, a group of Loyalists left the Carolinas with their many slaves and settled on Abaco Cays in the Bahamas, where a number of freed slaves
    also had come to live. A vital new music had been developing in the Carolinas, as well as throughout the whole of the Southern plantation area. This music was now brought to the Bahamas, where a
    similar development may have been taking place. Here, the very old songs were preserved (and are in fact still sung), and a distinctly Bahamian style of singing developed simultaneously with the
    further development of the American Negro spiritual.



    Emancipation came to the Bahamas in 1838; escaped slaves from the southern American states sought refuge in the free islands, particularly Andros, largest of the Bahamas. Until the end of the
    Civil War, there was a steady inflow of African-Americans to Andros and, with them, their songs. Isolation and poverty insured the preservation of these songs, so that Bahamian music today
    reflects many of the developments in mainland music that occurred over a very long period. We can hear in the older music of the Bahamas something that may be close to the very early plantation
    slave music.



    The “rhyming spiritual” is the distinctive Bahamian type of religious song. “Rhyming” simply means intoning couplets against a melodic background of voices. (“Rhyme” here means “verse”—not
    necessarily coinciding final syllables.) The rhymer—the lead singer—sings a memorized or improvised rhythmic narrative part that continues to build in intensity while the other singers repeat a
    chorus behind him—that is, they sing the song. The rhyming style reached its greatest heights during the sponge fishing in the 1930s.



    A West African tradition of singing sermons has been carried on, and further developed, in the New World. We can hear it in church services conducted by preachers who bring their congregations to
    heights of religious fervor by the gradual transition during the sermon from speech to song—song of tremendous intensity and power. Rhyming seems to be the combination of the traditions of
    singing sermons and African drum and bell rhythms. The rhythmic patterns in rhyming are also found in West African music. While there is still some drumming in the Bahamas, it had been forbidden
    in the mainland colonies and had to go underground. The intricate handclapping that developed in the Carolina and Georgia Sea Islands may be a compensation for lost bells and drums. In the
    Bahamas, where there is little handclapping, the singing sermon became the means for utilizing this and other rhythms. Other features of African music, such as the call-and-response vocal
    pattern, also found their way into Bahamian song.



    JODY STECHER, 1966

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    Tracklist :

    01. We Will Understand It Better By and By 3:54

    02. Sheep Know When Thy Shepherd Calling 2:08

    03. I Told You People Judgment Coming 0:53

    04. Don’t Take Everybody to Be Your Friend 2:18

    05. Sailboat Malarkey 2:18

    06. Up in the Heaven Shouting 1:33

    07. Won’t That Be a Happy Time 2:24

    08. Out on the Rolling Sea 3:12

    09. I Am So Glad 1:40

    10. Come for Your Dinner 1:28

    11. God Locked the Lion’s Jaw 4:01

    12. Great Dream from Heaven 2:39

    13. My Lord Help Me to Pray 1:42

    14. Numberless As the Sands on the Seashore 4:15

    15. I Ain’t Got Long 1:21

    16. I Bid You Goodnight 2:48

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  • http://www.substance-m.net/wp-content/uploads/2010/06/1000names2.jpeg

    Note :

    http://1000names.tumblr.com

    http://www.myspace.com/1000names

    Origine du Groupe : Bulgaria

    Style : Electro , Electronique

    Sortie : 2010



    A n’en pas douter, le duo 1000names  représente l’une des seules, si ce n’est la seule, manifestation musicale contemporaine originaire de Sofia que la plupart des curieux de cette « beat
    scene » virtuelle, européenne et mondiale, serait capable de citer après un temps de réflexion. Encore faut-il que les curieux en question aient suffisamment poussé leurs recherches pour tomber
    sur les premières armes discographiques de Casio Blaster et 99 Mistakes (Margarit Alekseiev et Nikolay Todorov) chez le petit label normand Eklektik Records.



    Il y a deux ans de ça, c’est de cette manière que je tombai sur le premier maxi de 1000names, l’obsédant « Monobinate / Run! Don’t Walk », qui en l’espace de deux faces laissait déjà entrevoir un
    potentiel intéressant chez les deux DJs bulgares en matière de composition, de découpage de micro-samples et de confection de morceaux aux effets épileptiques assumés. Il n’en fallait pas plus
    pour me convaincre d’investir dans le suivant, « Worth Making A Noise About! » avant d’attendre avec impatience le LP qui viendrait co-signer sans détours les débuts prometteurs du duo.
    L’histoire est belle car ce fut chose faite dés 2009 via la publication de l’excellent « Toys Room Combat » chez Eklektik; soit 25 morceaux qui parvenait à surnager sans mal parmi les productions
    environnantes pour s’affirmer comme l’une des franches réussites de ce hip-hop instrumental décomplexé explorant, sans rien laisser au hasard, la formule mise au point par 99 et Casio. Tout y
    était haché, sur-haché, pré-maché puis patiemment réassemblé dans un ordre qui favorisait alors le bruit, l’inflexion rythmique, le caractère anguleux et épileptique des morceaux poussé à son
    paroxysme dans un exercice de style savamment maitrisé par le duo. Comme 1000names avait décidé de bien faire les choses, le duo évitait même l’intoxication (de peu) en contrôlant tranquillement
    son débit pour simplement proposer ce qu’il savait faire, « breaking the beat ».



    Un premier très bon LP en poche qui les différenciait nettement de la masse laborieuse clonée à tour de bras au détour de chaque plateforme « sociale » et/ou participative, il ne restait au duo
    plus qu’à confirmer, explorer de nouvelles voies, bifurquer sur un chemin annexe, tout faire péter pour remettre les choses à plat ou envisager d’en rester là. Une liberté totale, quoi. Le pied.
    Sans aucun doute profond , le duo décide de remettre le couvert et repart à l’aventure discographique en abordant les périlleux récifs du second long-jeu, celui qui catalogue et/ou confirme,
    celui qui  déçoit ou fait craindre le pire pour la suite. Pour cette occasion, 1000names se rapproche du petit label britannique The Black Acre et s’en va publier de l’autre côté de la
    Manche un maxi inédit, « Paradise Rings / Saturn Race », petit échauffement incontournable avant de lancer dans le grand bain début juin la deuxième mouture chiadée comme il faut baptisée «
    Illuminated Man ».



    Formellement parlant, le changement est de taille. Plus allégé que son prédécesseur, le nouveau LP a mis de côté les incursions musicales les plus étranges, celles qui sortaient d’un cadre
    structurel classique, pour faire la place, justement, à un nombre limité de compositions pour une durée avoisinant la demi-heure, pas plus. Un choix judicieux, en ce qui me concerne, tant la
    tentation est grande aujourd’hui, lorsque le digital et les formats physiques actuels le permettent, de gaver les disques jusqu’à rendre une partie du contenu dispensable ou gangrénant le reste
    de l’album pour ne faire retenir à l’auditeur, in fine, que la lourdeur de l’ensemble en oubliant les subtilités alentours. Ainsi, dix morceaux (+1 « caché » derrière 3 minutes 30 de « silence »)
    composent « Illuminated Man » et viennent présenter 1000names sous un visage pas réellement nouveau mais qui tranche néanmoins avec « Toys Room Combat ».



    Casio Blaster et 99 Mistakes ont mis de côté, partiellement, leur approche chirurgicale, ces rythmiques ultra anguleuses composées d’une myriade de petits éléments électroniques, de
    mini-mini-breakbeats ou de bouts de samples collés ensemble pour former un tout volontairement hétérogène qui venait gratter le tympan et le cerveau sans discontinuer. « Illuminated Man »
    consacre une approche, là aussi, plus classique de la production, même s’il continue d’exister ici et là quelques témoignages des anciennes techniques du duo. ‘Telephone 2000′ (l’une des
    meilleurs réalisations de l’album) et son rythme horloger en est la preuve flagrante, même si ça n’a plus rien à voir avec ce que pouvait proposer le premier LP . Si ça n’est pas forcément pour
    déplaire, l’auditeur averti pourra craindre un gommage un peu maladroit des caractéristiques essentielles des deux DJs/producteurs pour s’adapter à des exigences extra-artistiques qu’il faut
    prendre en compte (envie du musicien, attente des auditeurs, besoins du label…). Ainsi, aborder « Illuminated Man » ne se fait pas sans une pointe de circonspection, quelques soupirs pour une
    déception passagère et un doute qui s’installe insidieusement de l’intérêt d’un deuxième album de cet acabit.



    La faute, essentiellement, à cette ouverture via un ‘Long Early Morning’ pour le moins standard qui ne rassure pas quant au soin apporté à la composition et à ses éléments les plus accrocheurs.
    Ici, un morceau entendu huit cent fois au bas mot, rythmique doublée d’un handclap, une mélodie jouée au synth-bass, quelques éléments électroniques en guise de papier-peint et un head-noding pas
    franchement arraché mais pas non plus réalisé avec la plus grande implication de la part de l’auditeur. Car la crainte de se trouver face à du quelconque semble peser sur le disque, aborder la
    suite de l’album est un investissement qui, fort heureusement, n’ira pas sans quelques récompenses ne tardant pas à prendre leurs quartiers pour ne laisser que quelques recoins exigües aux
    profondes déceptions.



    On retrouve ainsi avec plaisir les rythmiques hypnotiques et incessantes qu’affectionne 1000names, que ce soit sur ‘Pocket Calculators’ où elles accompagnent un semblant d’approche mélodique pas
    franchement indispensable mais soit…., ou le savoureux ‘Secondary Fauna’ et sa nappe de sons cutée à chaque manifestation du tempo du morceau, en symbiose avec le mouvement quasi inaltérable de
    l’ensemble. Entre, ce sont des bouts de voix qui prennent le devant de la scène pour disparaître aussi vite, le tout constamment soutenu par cet ensemble rythmique imperturbable qui semble relier
    à un mécanisme au mouvement millimétré et inépuisable. Pas étonnant pour celui qui sait que Casio Blaster était auparavant batteur au sein de différentes formations de jazz et de funk.



    Dans les failles et les creux, 1000names s’adonne à quelques approches ambient fusionnées avec cette syncope propre aux racines hip-hop que les deux producteurs revendiquent clairement. Sur «
    Illuminated Man », l’auditeur évolue dans un espace plus éthéré où les contours s’abandonnent au flou artistique consciemment provoqué sans jamais tomber, non plus, du breakbeat travaillé par les
    deux protagonistes. C’est le cas d’ ‘Ephemeral & Slippery’, ‘Haunted Landscape’ ou l’intro ‘Talking To The Postmaster Before Leaving’ qui restent tous des formats courts où s’ébattent
    davantage les manipulations sonores, les effets en tous genres et où le temps semblent s’écouler de manière beaucoup moins mathématique, chronomètre en main. Une approche différentielle qui offre
    à « Illuminated Man » un nouveau point d’ancrage, un visage plus nuancé que son prédécesseur, une nouvelle dimension à prendre en compte pour celui qui voudra se plonger dans ce nouveau LP du
    duo.



    Pour quels résultats? A proprement parler, il ne s’agit pas réellement d’un coup d’éclat retentissant. « Illuminated Man » se trimballe les quelques clichés du genre, forcément, et souffre de ce
    statut de producteur qui tentent de toucher à tout pour saisir un public un peu différent au risque de perdre une identité qui leur était propre. Aussi, on retrouve souvent les mêmes manières de
    traiter le son, ces mêmes types de synthés programmés entendus des milliards de fois et qui ne font plus lever une oreille qu’aux néophytes du genre. Dans les couleurs du son elles-même, on passe
    ici et là par quelques phases bien trop familières qui donnent envie de lâcher un puissant « Encore?! » avant de soupirer et de se désintéresser temporairement de l’album.



    Par endroits, pourtant, on retiendra quelque chose qui tient à l’effort réalisé par 1000names pour toujours mettre en avant un « scénario » musical jamais réellement trahi et qui conduit
    l’auditeur jusqu’au bout du LP en passant par toutes sortes d’émotions bien diverses. On retrouve ici et là, par ailleurs, les quelques incursions propres au duo, ce travail des breakbeats, ces
    compositions qui donnent davantage dans le trop-plein pour créer l’addiction plutôt que dans l’énergie brute, pure et primitive. Mais sur la durée, cela semble pourtant pas toujours suffisant
    pour retenir ce « Illuminated Man » comme un LP à l’ambition claire et nette. D’autant que 1000names avait été coupable, un an auparavant, d’un premier long-format qui tranchait net avec les
    consensuels de tous poils et qui apportait une fraîcheur bienvenue au milieu des producteurs d’albums instrumentaux lorgnant résolument vers les franges les plus hip-hop de la musique.



    Sans être une cuvée fantastique, « Illuminated Man » demeure un LP appréciable qui plaira aux amateurs du genre et qui offrira quelques portes d’entrées sympathiques à ceux qui ne connaissent pas
    le duo. Mais il ne devra demeurer qu’une étape dans une voie d’exploration plus globale. Comme un point-relais par lequel il apparaît nécessaire de passer mais dont on n’éprouve pas forcément le
    besoin de connaître en détail les moindres gestes de sa confection, les moindres petits bouts d’idée qu’il évoque durant les 30 minutes de musique proposées. Gageons que 1000names reprendra, pour
    ses prochaines sorties, une direction plus affirmée et renouera plus nettement, au moins en partie, avec ce qui les a fait apprécier des aficionados aujourd’hui pendus aux productions des deux
    DJs bulgares.

     

    par Digital Mojo

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    Tracklist :

    01 Talking To The Postman Before Leaving 01:16

    02 Long Early Morning 03:13

    03 Ill(U)Minated Man 03:07

    04 Private Hero 01:58

    05 Pocket Calculators 03:33

    06 Telephony 2000 04:56

    07 Haunted Landscape 02:24

    08 Logarithmic Spirals 02:55

    09 Secondary Fauna 04:09

    10 Ephermeral & Slippery 02:05

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