-
Note :
http://www.myspace.com/saravahsoul
Origine du Grouepe : U.K
Style : World Music , Afrobeat , Funk
Sortie : 2010
Quand des musiciens brésiliens, avec à leur tête Otto Nascarella, rencontrent à Londres des autochtones et décident de marier la musique brésilienne au funk, à la soul et à l’afrobeat, ça
donne Saravah Soul. Avec « Cultura Impura », le groupe réalise son 2ème album chez Tru Thoughts, deux ans après le 1er, en faisant exploser l’image qu’on peut avoir habituellement de la musique
brésilienne. Cet album dégage une énergie cuivrée issu d’un cross over inhabituel entre la musique traditionnelle brésilienne, celle des carnavals toute en percussions, ou celle plus
traditionnelle comme le bayo popularisé entre autre par Luiz Gonzaga, et la musique africaine, principalement l’afrobeat, ses cuivres et ses chœurs, mais aussi des petits airs d’inspiration
éthiopienne ici ou là. Mais il est inimaginable de parler de cet album sans évoquer le bon vieux funk à la James Brown tant cet album groove du début à la fin. C’est un peu comme si Seu Jorge se
retrouvait sur scène avec les JB’s et les Africa 70’s pour un répertoire bien loin de la douce mélancolie habituelle du crooner brésilien. Viva Brasil !
Par De la Lune on entend tout
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Tracklist :
1. Janaina
2. Funk De Umbigada
3. Cachorro De Igrejinha
4. Mussum
5. Milk And Mangoes
6. Alforria (Album Version)
7. Dá Ne Mim
8. Fire
9. Mestiço
10. Se Da Dó
11. Seu Problema
12. The Truth Is Hard To Come By
-
Note :
http://www.archive.org/details/enrmp248_spuntic_-_hybrid_source
http://spuntic.bandcamp.com/album/hybrid-source
Origine du Groupe : Iran
Style : Electro Ambient
Sortie : 2010
Wow,this is truly what I mean by ambient. Dreamscapes you 'll not forget but keep in mind.
After Amir Baghiri comes Spuntic, my second discovery from Iran yet. Expect high quality soundarchitexture and be surprised..
Ofcourse,the highest rating here and a personal thanks for extending my musical library with those kind of treasures.
by rumforskning
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Tracklist :
01 - Manifold
02 - Mineral Ages
03 - The Haze
04 - Winding
05 - Sings
06 - Outlined
07 - The Scene
08 - Orchid
09 - Composition
10 - Imagination
11 - Mouvement
-
Note :
http://www.myspace.com/wolfmother
Origine du Groupe : Australia
Style : Heavy Metal , Alternative Rock
Sortie : 2006
From Wikipedia :
Wolfmother is the debut studio album by Australian hard rock band Wolfmother, originally released on 31 October 2005 in Australia. The album was later released internationally at various dates in
2006, with the addition of "Love Train" and a rearranged track listing. Wolfmother peaked at number three on the Australian ARIA Albums Chart[1] and was certified five times platinum by the
Australian Recording Industry Association.[2] Six singles were released from Wolfmother's debut album: "Mind's Eye"/"Woman", "White Unicorn", "Dimension", "Woman", "Love Train" and "Joker
& the Thief", the latter of which charted the highest at number eight on the ARIA Singles Chart.[1] The album cover, which is taken from The Sea Witch by Frank Frazetta, shows a nymph
standing against a blue/orange sky, on a rock, though because it displays nudity the album is sold in Wal-Mart stores with an alternate cover featuring simply the band's white logo against a
black background. It is the only album to feature co-founding members Chris Ross and Myles Heskett, who left the band in August 2008.
Tracklist :
1. "Dimension" – 4:21
2. "White Unicorn" – 5:04
3. "Woman" – 2:56
4. "Where Eagles Have Been" – 5:33
5. "Apple Tree" – 3:30
6. "Joker & the Thief" – 4:40
7. "Colossal" – 5:04
8. "Mind's Eye" – 4:54
9. "Pyramid" – 4:28
10. "Witchcraft" – 3:25
11. "Tales" – 3:39
12. "Love Train" – 3:03
13. "Vagabond" – 3:50
-
Note :
http://www.myspace.com/rasnattybaby
Origine du Groupe : Ile Maurice
Style : Reggae
Sortie : 1999
De la Jamaïque à l'île Maurice, il y a presque quinze mille kilomètres. Pas assez pour que le reggae perde de sa force puisqu'il s'est fondu dans le séga de l'océan Indien pour resurgir sous une
nouvelle forme, le seggae. Un genre musical qui a déjà ses héros. Le plus populaire, Ras Natty Baby, vient de sortir son nouvel album, "Seggae Time"( (Déclic/Sony).
" Rodrigue, c'est la petite colonie de l'Ile Maurice ". Dès que Ras Natty Baby se met à parler de sa terre natale, on imagine un gros caillou, perdu au milieu de l'océan Indien. Aucune canne à
sucre à l'horizon, tout juste quelques troupeaux qui font vivre les habitants. Ces descendants d'esclaves n'ont pas eu droit aux fruits du développement économique A dix-neuf ans, Baby embarque
clandestinement pour Maurice et finit par trouver domicile à la cité Richelieu, dans les faubourgs de la capitale Port-Louis. Ses amis eux aussi sont créoles (la constitution mauricienne répartit
la population dans des catégories strictes). Ils se réunissent dans la case du GOST, le Groupement Ouvrier Sans Travail, font tourner des cassettes, se prêtent des instruments. Mais le séga, la
musique et la danse traditionnelle transmise par leurs aïeux africains déportés pendant la colonisation, ne correspond plus à leur rébellion. Le reggae, et plus spécialement son messager Bob
Marley, véhicule un nouvel espoir pour ces déracinés en quête d'identité : " émancipez-vous de l'esclavage mental ".
Ras Natty Baby et son groupe les " Natty Rebels " assimilent les rythmes jamaïcains et cherchent à faire connaître leur musique. Seulement, à Maurice, le reggae n'a pas droit de cité. La communauté
indienne, de loin la plus nombreuse sur l'île, profite de sa domination politique et économique pour imposer sa culture. La poignée de rastas ne se démobilise pas. Peu à peu, les concerts bricolés
sans grands moyens retiennent l'attention du public et de la presse locale car le séga et le reggae ont fusionné pour donner un nouveau style appelé seggae. Le phénomène prend une toute autre
ampleur quand Percy Yip Tong, un jeune sino-mauricien, décide en 1990 de produire l'album de Kaya, un chanteur ami et concurrent de Baby. " Seggae, Nou Lamizik ", enregistré pendant trois nuits
dans le studio d'une radio de l'île voisine La Réunion, marque la vraie naissance du seggae.
Quelques mois plus tard, Ras Natty Baby lui emboîte le pas en sortant "Nuvel Vizion". Record absolu de ventes : 200.000 cassettes vendues dans tout l'océan Indien. Deux autres albums finissent
d'établir sa notoriété régionale. Il joue aux Seychelles, à Madagascar lors du concours "Découverte RFI 94". L'association avec son groupe les "Natty Rebels " prend fin lorsqu'il décide de
poursuivre sa carrière en Europe. Le reggae y est assez populaire, le seggae a donc toutes ses chances. Principale difficulté : trouver en France des musiciens capables de maîtriser ce rythme
hybride.
Ce nouveau départ survient avec " Vibration Rasta Zom " en 1996. Depuis, Ras Natty Baby a eu le temps de se construire une équipe. Le temps aussi d'essuyer quelques déconvenues. "On ne tue pas un
vieux soldat comme moi", sourit-il. On le pousse à ne faire que du reggae classique, mais il résiste, soutenu par l'ancien clavier d'Alpha Blondy, Ibis "Romie" Lawrence, tombé amoureux du rythme
6/8 du seggae et venu donner un gros coup de main pour " Seggae Time ", le nouvel album de Baby. Douze chansons en créole, en français et en anglais (la langue officielle de Maurice) pour un
répertoire en triptyque : des textes revendicatifs, d'autres qui fonctionnent comme des sonnettes d'alarme à l'exemple de " Monde Virtuel ", et des morceaux plus légers, invitations à venir danser
sur les plages de l'océan Indien. Une ambiance qui permet à Ras Natty Baby d'oublier un instant le triste hiver européen.
par Bertrand Lavaine
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Tracklist :
01 Leve Zenes
02 Seggae Time [Kreyol]
03 Don't Say No
04 Monde Virtuel [Reggae]
05 Let It Be Love
06 Tout Va Mal
07 Rasta Man
08 Seggae Time [Français]
09 Monde Virtuel [Reggae]
10 Globe Trotteur
11 Seggae Time [Anglais]
12 Ki Solision
-
Note :
http://www.myspace.com/truffaz
Origine du Groupe :
France
Style : New Jazz , Fusion Electro Jazz , Rap Fusion
Sortie : 2001
Ce cd est le fruit même du mélange du jazz et de toutes autres sortes de musiques."Eric Truffaz revisité" est un remix des anciennes musiques des précédents albums avec toujours cette
extraordinaire mélange de Jungle,drum&bass,jazz classic,moderne,rap,bass.MAIS en plus de ceci,des spécialistes de l'électronique se sont associés au quartet(Mobile in motion,Pierre
Audetat,goo,Alex Gopher,...) Ce cd vous pationnera très certainement.Ecoutez ces vrais artistes qui vous emmèneront dans un voyage au coeur des rencontres musicales.
Par wassin
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Tracklist :
1. Mobile In Motion - The Dawn Part I
2. Pierre Audétat - Less
3. Alex Gopher - Bending New Corners
4. Pierre Henry - More
5. Goo - Siegfried
6. Bugge Weisseltoft - Sweet Mercy
7. Mobile In Motion - The Dawn Part II
-
Note :
http://www.myspace.com/likemadd
Origine du Groupe : North America
Style : Alternative , Rap Fusion , Spoken Word , Punk , Breakcore
Sortie : 2010
Ultime volet d’une épique trilogie, Bedford Park met fin à une aventure humaine et artistique unique en son genre. The Infesticons reprennent les armes pour la dernière fois et nous les avons
suivi dans les décombres d’une ville en proie à la torpeur. Mais laissons donc aux Mcs ce qui leur appartient, à vous la rédaction …
A l’origine du mythe, il y a Mike Ladd, mc prolifique et producteur de son état, fer de lance d’un mouvement que l’on appelle le « Spoken Word » qui consiste en une sorte de poésie orale proche
du slam. C’est après quelques albums bien accueillis qu’il entreprend de créer sur le label Big Dada, une trilogie musicale mettant en scène une guerre sans merci que livrent les gentils
Infesticons à l’encontre des vils Majesticons. Ces derniers projettent de conquérir un New York alternatif situé dans une dimension parallèle. c’est donc à nos héros qu’il reviendra la dure tache
de botter l’arrière train de ces envahisseurs mal intentionnés dans un joyeux bordel sonore mélangeant sans vergogne punk, funk ou encore Hip-Hop.
Bedford Park situe l’action tout juste après la bataille, et Blokin’ Door Anthem ouvre ce dernier acte sur une ville fumante d’où résonnent un vieux morceau punk, une voix s’élève, éraillée par
les épreuves, encore sous le choc des combats.
On reprend vite du terrain, on arpente les débris où l’on retrouve quelque personnage fantasque comme ce Dirty Ol’ Man Athem qui semble plutôt remonté … une majorette défile les genoux écorchés
lançant très haut son bâton sale sur ce Plan Anthem à l’instru festive et forcément décalée …
Puis subitement un parc se présente à nous, intact encore préservé du tulmulte par un immeuble qui jadis lui faisait de l’ombre … Forever Anthem sera le seul titre réellemnt optimiste de ce
témoignage héroique … court moment de répis car il faut déjà repartir !
Les scènes et les protagonistes se suivent, le Hip-Hop se fait de plus en plus expérimental et les frontières entre les mouvement musicaux vollent en éclat. Le combat final fut difficile mais la
victoire est bonne.
Les gentils ont encore sauvé le monde, non sans faire de dégats mais l’histoire se souvriendra surtout de cette poigné d’hommes libres qui ont bravés les styles pour défendre leur idéaux … Une
excellente fusion tirant partie de chaque univers musical, du pain bénit pour les curieux !
par Williams
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Tracklist :
1 - Blockin' Door Anthem
2 - Gonna Anthem
3 - Dirty Ol' Men Anthem
4 - Plane Anthem
5 - Forever Anthem
6 - Kick Anthem
7 - Hang It Up Anthem
8 - Word Sin Anthem
9 - Give Em Anthem
10 - Bombs Anthem
11 - Get Along Anthem
12 - Sky's Anthem
13 - Outro
-
Note :
http://www.myspace.com/sleepysun
Origine du Groupe : North America
Style : Alternative Rock Fusion
Sortie : 2010
Avant-propos : cette critique n’est absolument pas objective et n’a pas pour vocation de l’être de toute façon. Je donne mon avis sur un album qui m’a plu. C’est pourquoi il serait de bon ton
lorsque le cœur vous en dit et avec une argumentation correcte d’en discuter dans les commentaires, c’est beaucoup plus enrichissant.
Je ne connaissais absolument pas ce groupe avant d’entendre parler de cet album, Fever, qui sort aujourd’hui en Grande-Bretagne et le 1er juin aux Etats-Unis. C’est pourtant bien leur deuxième
album, successeur d’Embrace. Et apparemment, il est sur la même lignée. Sorti seulement quelques mois après ce premier, Fever a pour moi deux caractéristiques très importantes et prédominantes :
la guitare et les voix.
Les deux sont très présents sur leur single Open Eyes, et reflètent vraiment leur place au sein de l’album. Tout comme le premier titre d’ailleurs, « Marina », qui est une démonstration d’emblée
de l’esprit du groupe avec les gros riffs de guitare et de l’aisance vocale de la chanteuse. Une voix par moment extrêmement grave ou anodine, puis cristalline à vous en coller des frissons,
d’une seconde à l’autre. Comme ça, comme si c’était pas la même fille. Elle enveloppera ainsi toutes les chansons, mettant une véritable empreinte sur ce qu’est « Sleepy Sun ». Les guitares,
elles, sont sublimes. Rapides, électriques sans être agressives, parfois lentes et suaves. Elles savent tout faire. Les autres femmes de ce groupe.
Un autre gros atout de l’album est sa tenue. Aucune dérive, aucun impact extérieur : ils se tiennent à ce qu’ils savent bien faire. Passant des sons rock (Wild Machines) à la folk (Rigamaroo) et
parfois même à la country clichée mais qui marche bien (Desert God), ils savent garder une cohérence dans la progression de leur disque. Attention, cela n’empêche pas la présence de titres plus
surprenants, comme le duo essentiellement instrumental Acid Love/Desert God en plein milieu de l’album. Il y a une envie de faire voyager qui est évidente, voyager à travers les plaines arides,
au milieu des dunes et des grands canyons, dans leurs régions qu’ils décrivent si bien. Accompagnés de la Sandstorm Woman et de son harmonica, pourquoi pas.
En fait le single Open Eyes n’est pas du tout représentatif de Fever. Je m’attendais à un groupe de New-wave un peu lo-fi, et puis en fait non. C’est vraiment un ensemble amusant à cerner, des
ambiances très variées et envoutantes, par leur réelle simplicité. Tout un univers entre le désert et les machines (du point de vue des thèmes, mais aussi des instruments). Un album qui n’a pas
d’intérêt à être analysé piste par piste, puisqu’elles sont tellement différentes les unes des autres, formant un tout qui est Fever. Lorsque l’on arrive au bout de l’album et qu’on croit
comprendre la cohérence de l’ensemble, on n’en est en fait qu’au début du voyage. Alors on relance, encore une fois. Pour voir comment ça fait, quand on connait déjà. Et évidemment, c’est jamais
pareil.
Par Quentin
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Tracklist :
* 1. Marina
* 2. Rigamaroo
* 3. Wild Machines
* 4. Ooh Boy
* 5. Acid Love
* 6. Desert God
* 7. Open Eyes
* 8. Freedom Line
* 9. Sandstorm Woman
-
Note :
http://www.myspace.com/quanticmusic
Origine du Groupe : Colombia
Style : Reggae , Dub , World Music
Sortie : 2010
Qui pouvait imaginer il y a encore quelques années Quantic aux commandes d’un accordéon de cumbia ? Depuis qu’il a posé ses valises en Colombie en 2007, ce producteur prolifique, figure clé de la
scène funk londonienne et infatigable globe- trotter, joue les trublions en défendant les couleurs musicales de son pays d’adoption. A contre-courant de la vague électro qui secoue la planète
latine, les aventures colombiennes de cet archéologue du groove suivent la voie du tout analogique. En version latin-soul avec le Combo Bárbaro - en tournée chez nous cet été -, ou dans son
alternative reggae/dub baptisée Flowering Inferno, dont le deuxième opus sort ces jours-ci.
Si les similitudes entre reggae et cumbia ont motivé de nombreuses tentatives de fusion, rarement la rencontre entre ces deux traditions n’avait abouti à un résultat aussi convaincant. Une
réussite dont le secret repose d’abord sur un rapport nostalgique au son des années 1960-70, pour beaucoup l’âge d’or des musiques caribéennes. Dans le studio Sonido del Valle qu’il s’est bricolé
à Cali, Quantic s’applique à en reproduire la texture pour provoquer de nouvelles alchimies. Et rassembler, autour d’un magnétophone Ampex 4 pistes et de ses propres talents de
multi-instrumentiste, une encyclopédie du piano salsa et latin-jazz (le vétéran Alfredo Linares), une représentante de la nouvelle génération du folklore afro-colombien (la chanteuse Nidia
Góngora) et un champion de l’orthodoxie rythmique jamaïcaine (le batteur Conrad Kelly), entre autres. Matière première de ce soundclash tropical avec ses basses vrombissantes, sa profusion de
réverb et de delay, voire ses versions explicitement dub de titres vocaux, l’héritage de King Tubby permet à Quantic d’extraire l’essence des saveurs musicales de la Colombie. Celle de
l’accordéon donc (" Swing Easy ", " No soy del Valle "), mais aussi d’une fanfare de la côte pacifique (" Te picó el Yaibí ") ou de cette salsa qui fait le bonheur des chaudes nuits de Cali ("
Dub y guaguancó ", " Echate pa’lla "). Un hymne à la collision des cultures sereinement calibré pour affoler le baromètre de vos soirées.
Par Yannis Ruel
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Tracklist :
1. Dog With A Rope
2. Dub Y Guaguanco
3. Swing Easy
4. Echate Pa'lla (Version)
5. Portada Del Mar
6. Cumbia Sobre El Mar
7. Te PicoΜo El YaibiΜo (Version)
8. No Soy Del Valle
9. Echate Pa'lla
10. Te PicoΜo El YaibiΜo
-
Note :
http://membres.multimania.fr/trauma/rbb
Origine du Groupe : France
Style : Punk Rock Ska
Sortie : 1992
From : http://www.crashdisques.org
Première sortie, et fondateurs historiques du label, les champions du "trashamuffin" peuvent être considérés comme le dernier groupe d’importance du "mouvement alternatif" originel. Revendicatifs
en diable, ces redoutables écumeurs de planches développèrent, six années durant (90-96), une fusion originale propre à crever le mur du son, expérimentant toujours plus loin le bétonnage de la
pulsion reggae, des rythmiques dévastatrices, des guitares irradiées et des éructations toastées
Tracklist :
1. Alerte
2. Méfie-toi
3. C'est Normal
4. Ne Nommons Personne
5. Fonctionnaire
6. Assoifé de Sang
7. Attention la Tension
8. Regards Lunaires
9. Raymonde
10. Bomba Atomica
11. Paris Doit Bruler
12. Zinzin
13. Phacochere
14. Débile Bonus Hydrocéphale Surboum
-
Note :
http://www.myspace.com/habanotnechama
Origine du Groupe : Israel
Style : Reggae , Acoustic , Vocals
Sortie : 2007
Habanot Nechama is made up of three beautiful, experienced singers, Karolina , Dana Adini and Yael Deckelbaum. Habanot Nechama is a live band in the deepest sense, having built a huge and very
dedicated following before ever releasing even one single.
No one could possibly have predicted the enormous success HaBanot Nechama found with their eponymous debut album. The August 2007 release went gold after only three weeks, and platinum
immediately afterwards. All concerts on the first Israeli tour were quickly sold-out with an unprecedented demand by European summer festivals.
The girls received great media exposure, topping the radio charts for several weeks, and eventually receiving a nomination for the "Best New Act" award at the Israeli Music Channel Annual Awards.
And was named "Act of the Year" in DJ Ha'ir magazine. Reggae influences, soul-folk melodies, one of a kind harmonies and impeccable song-craft are highlights of this perfect showcase of how
English and Hebrew can co-exist.
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Tracklist :
01. Lovers 4:01
02. Boi 2:33
03. Liyot 3:49
04. Ever 3:21
05. Ya 4:04
06. Flowers 1:51
07. Ze Ma SheYesh 4:34
08. No War 3:38
09. Mea Ahuz Or 4:59
10. Lies 3:09
11. Hakol' Keshura 3:42
12. I Love You 4:13
13. Ein Ze Meshane 4:01