• http://img.ozap.com/01185858-photo-pochette-always.jpg

    Note :

    http://www.azizamustafazadeh.de

    http://www.myspace.com/azizamustafazadeh

    Origine du Groupe : Azerbaïdjan

    Style : Jazz Fusion , Jazz World

    Sortie : 1993

    Tracklist :

    1. Always
    2. Heartbeat
    3. Crying Earth
    4. Ajd
    5. Yandi Ganim Daha
    6. I Dont Know
    7. Vagif
    8. Marriage Suite
    9. Kaukas Mountains
    10. Dangerous Piece

    00000000000000DOWNLOAD


    Always is the second album released by Azeri jazz artist Aziza Mustafa Zadeh. It was released in 1993. For it, she won the Echo Prize from Sony and the Phono Academy Award. Overall, 1.000.000 copies of this album was sold worldwide.

    from Wikipedia

     


  • http://mp3passion.net/uploads/posts/thumbs/1263474504_cover.jpg

    Note :

    http://www.minus123min.com

    http://www.myspace.com/minus123min

    Origine du Groupe : Czech Republic

    Style : Alternative Rock , Blues , Jazz , Groove , Funk

    Sortie : 2009

    Tracklist :

    01 - Subterranean Wonderground 03:54
    02 - Sea or Sure 03:46
    03 - Self-Implosion 03:19
    04 - You Can't Hide Love 03:38
    05 - Sol 05:54
    06 - Your Satellite 03:44
    07 - High Treason 06:39
    08 - Power Plant 03:29
    09 - Love and Sugar 05:39

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    The album released by Indies Scope is yet still in the form of a CD, but there is a classical vinyl LP-edition coming up in November 2009! The basic instrumental trio was recorded with the sound engineer Michal Pekárek in Studio Aristone (Prague), Matouš Godík carried out the rest of the recordings, mixing and mastering in his studio. The only guest is Michal Žáček on flutes. The art director of the album is Daniel Špaček, who also created our new website design.

    from Myspace




  • http://www.qobuz.com/images/jaquettes/0004/0004400375594_600.jpg
    Note :
    http://www.sadingding.co.uk/zh-hans
    http://www.myspace.com/dingdingsa
    Origine du Groupe : China
    Style : Electro World , Alternative
    Sortie : 2010
    Tracklist :
    1.Ha Ha Li Li
    2.Girl In A Green Dress
    3.Hua
    4.Pomegranate Woman
    5.Blue Horse
    6.Yun Yun Nan Nan
    7.Xi Carnival
    8.Little Tree/Big Tree
    9.Lucky Day
    10.Xi Ran Ning Po - Introspection
    11. Famous Friends (Ha Ha Lili Remix)
    12 Matta Dub (Ha Ha Lili Remix)
    13.Ha Ha Li Li - (Paul Oakenfold Remix)
    00000000000000DOWNLOAD Link Censored  DMCA request
    Une voix cristalline qui invite au voyage, des arrangements électroniques souvent réussis et subtils, et une large place laissée à des instruments traditionnels chinois qui y trouvent un nouvel espace d’expression. Voilà les ingrédients qui donnent toute sa saveur à la musique de Sa Dingding qui, pour ce deuxième album (天地合 – Harmony), affiche de véritables ambitions internationales. Et, clairement, elle a les moyens de ses ambitions. D’ailleurs, Ian Ashbridge, le patron du label Wrasse Records, ne s’y est pas trompé et s’est empressé de signer la jeune Chinoise pour le marché européen. Ce qui l’a attiré chez elle ? Ian Ashbridge : « Je pense qu’elle fait une musique unique. Elle a des influences tibétaines, chinoises, une vraie sensibilité orientale et en même temps, ses groupes préférés sont Nine Inch Nails et les Chemical Brothers » (Le Matin).
    Après un premier album (万物生 – Alive, paru fin 2007) plus intimiste mais qui indiquait déjà sa propension à rehausser une instrumentation traditionnelle de pulsions électroniques ainsi que sa faculté à varier les atmosphères et les registres (d’une folk ancestrale et profonde à une pop plus légère), Sa Dingding s’est offert cette fois les services du fameux producteur anglais Marius de Vries. Sans échapper, çà et là, à quelques  petits effets “variétoches” malheureux, cette collaboration aboutit à ce qui peut être considéré, dans l’ensemble, comme un des plus bels exemples de rencontre réussie de deux univers fort différents. Et on ne pense pas ici seulement à la rencontre entre Orient et Occident, mais aussi et avant tout au métissage d’une musique dite “du monde” avec une sensibilité pop-rock plus exacerbée, ou encore au dialogue savoureux entre instruments traditionnels et machines modernes. La grande force de Sa Dingding est de parvenir à maintenir ce délicat équilibre entre tradition et modernité.
    Celle que les médias ont rapidement surnommée la “Björk asiatique” (à tort, mais les journalistes ont toujours besoin de se raccrocher à ce qu’ils connaissent) représente l’archétype même de la rencontre des traditions. De sang à la fois han et mongol, elle chante en mandarin, en sanscrit, en tibétain, en anglais ainsi que dans un langage imaginaire. Elle maîtrise par ailleurs plusieurs instruments traditionnels d’origine chinoise, tels le guzheng (instrument à cordes pincées) et le matouqin (instrument à cordes frottées).
    Dansant par moments, plus posé à d’autres, voire presque méditatif, 天地合 – Harmony se distingue par la richesse de ses arrangements, richesse qui met particulièrement en valeur des mélodies addictives. L’oreille occidentale n’a aucune difficulté à pénétrer l’univers musical de Sa Dingding. En même temps, la prépondérance d’instruments traditionnels et l’usage des langues chinoise, sanscrite et tibétaine ajoutent une dimension de mystère et d’exotisme. À telle enseigne qu’il se dégage de ce très bel album un sentiment d’ “étrange familiarité”, ou un sentiment d’ “étrangeté familière”.
    par Sylvain Isaac

  • http://i39.tinypic.com/fu9qqh.jpg

    Note : +

    http://www.ohmresistance.com

    http://www.myspace.com/realbloodofheroes

    Origine du Groupe : North America

    Style : Alternative Fusion , Indus , Post Rock , Drum & Bass

    Sortie : 2010

    Tracklist :

    01. Blinded [04:15]
    02. Chains [04:36]
    03. Salute To The Jugger [03:31]
    04. Breakaway [06:19]
    05. Transcendant [04:08]
    06. Repositioned [05:49]
    07. Remain [03:33]
    08. Wounds Against Wounds [03:08]
    09. Descend Destroy [08:48]
    10. Bound [07:30]
    11. Drift [04:01]

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    Somewhere between the chaos of the most extreme metal on the planet and the trippiest ambient electronica and chill-hop lies a musical netherworld ripe for exploration. Genre-testing Brooklyn experimentalist extraordinaire Bill Laswell has made a life of testing these waters, whether bringing together funk keyboard titan Bernie Worrell and guitarist Buckethead, remixing Ozzy Osbourne and Herbie Hancock, or collaborating with artists as varied as DJ Krush and Serj Tankian. On this project, he joins with guitarist Justin Broadrick of industrial pioneers Godflesh and more recently Jesu, electronic artists End.user and Submerged, vocalist Dr. Israel and others for a case study in unrestrained musical beat mining. Prong and Fear Factory, as well as ’90s acts like Scorn and Ultraviolence have explored these musical chasms by remixing metal or combining digital and analog extremes to craft unique and eclectic forms of electronica. But these 11 tracks are new testaments to the power of true crossover experimentalism. Songs like “Remain” and “Descend Destroy” reveal the raw, groove-laden possibilities of what can happen when technology collides with open-minded artists unafraid to combine punk, metal, industrial, ambient, hip-hop, dub and other musical hybrids. It’s heady stuff that’ll please the musical intelligentsia but avoids falling into the noise trap, remaining accessible enough to pass as artsy cocktail music.
    By Dave Wedge

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  • http://img12.nnm.ru/d/8/b/f/6/8b76519d258c809d5e060f829a0.jpg

    Note :

    http://www.21hz.org

    http://www.myspace.com/21hertz

    Origine du Groupe : Sweden

    Style : Trip Hop

    Sortie : 2005

    Tracklist::

    1. Outside
    2. Sparrow
    3. Wave of time
    4. Ever
    5. My time
    6. Silence
    7. Still I do
    8. Tired
    9. Ocean

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    Envoûtement et mélancolie sont de rigueur dans ce premier album d'un quatuor moitié français moitié suédois. La voix féminine, c'est celle de Karin Steneby qui n'a pas grand chose à envier à Beth Gibbons et aura tôt fait de vous faire vibrer. Une seule écoute de l'album suffira pour s'en convaincre. Le morceau "Ever" justifie à lui seul la nécessité de se procurer ce disque. Une balade digne de figurer sur le premier album de Zero 7 par sa mélodie envoûtante et son chant ensorcelant. Et dire que certains s'exclament que le trip-hop est mort...
    Bénéficiant d'une qualité sonore remarquable on s'étonne de découvrir que ce disque est auto-produit. Il ne devrait pas le rester très longtemps. Vous l'aurez compris, Ocean of time est un album qui s'inscrit directement dans la lignée du trip-hop de Bristol et qui ne manquera pas de satisfaire tous les impatients du prochain Portishead.

    par Thibaut

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  • http://www.tightenup.fr/_emission/archives/images/Zion%20Train%20Live%20as%20One.jpg

    Note : ++

    http://www.wobblyweb.com

    http://www.myspace.com/ziontrainindub

    Origine du Groupe : United Kingdom

    Style : Reggae , Electro Dub

    Sortie : 2007

    Tracklist :

    1) Boxes and Amps feat Dubdadda(perch/fullwood/johnson)
    2) Audrey and June (perch/fullwood)
    3) Life That I Choose feat YT (perch/hull/fullwood)
    4) What A Situation feat Raiz and Tippa Irie(perch/harzmann/henry/della volpe)
    5) Moha (perch/fullwood)
    6) Tribute To Keng Keng (perch/fullwood)
    7) Forward ever feat Lua (perch/berk/fullwood)
    8) Edelweiss Piraten (perch/fullwood)
    9) Give Me Good Sensi feat Earl 16 (perch/fullwood/daley)
    10) Terror Talk feat Dubdadda (perch/fullwood/johnson)
    11) Animus Mundi (perch/fullwood)
    12) Live As One feat Lua (perch/fullwood/berk)
    13) Why feat Marlene Johnson (perch/fullwood/johnson)
    14) Hibakusha song (perch/fullwood)
    15) Baby Father feat YT (perch/hull/fullwood)
    16) Bloodlines feat Dubdadda (perch/fullwood/johnson)

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    Live As One marque plusieurs renouveaux pour Zion Train, déjà il s'avère être le premier disque du groupe entièrement produit et arrangé par Neil Perch seul, au Zion Train studio de Cologne (en Allemagne) et tranche définitivement avec les précédents métissages sonores en proposant essentiellement des morceaux dub et new roots.
    On retrouve à travers les textes des chansons les thèmes et inspirations habituels de Zion Train, soulignant l'influence et le désordre générés par les sociétés occidentales, invitant chacun à mieux se responsabiliser et assumer ses choix, délivrer plus d'amour et de compassion.
    Un livret accompagne d'ailleurs le digipack du CD, y figurent le discours de commémoration de la déclaration de paix prononcé en 2006 par le maire d'Hiroshima - Tadatoshi Akiba, des extraits d'articles de quotidiens de presse du Times, Daily Mail...Mais aussi un texte plus obscur sur les caractéristiques de plusieurs espèces de grenouilles (??).
    Le discours militant de Zion Train est plus que jamais présent et sera énoncé au cours de l'album par les voix de sept chanteurs/singjays dont le meilleur viendra certainement des participations féminines.
    Sur le conscient Live As One c'est le chant de Lua que l'on a déjà entendue sur Bass Matters des Radikal Dub Kolektiv qui nous transporte mais on retiendra surtout le splendide Why où la délicieuse voix soul de Marlene Johnson nous provoque les frissons ultimes de l'album.
    Dubdadda et YT animent de leur flow énergique les tubes Boxes And Amps, Life That I Choose et Baby Father, trois déflagrations sismiques aux lignes de basses percutantes conçues pour embraser les live sets du groupe.
    La seule petite déception vient à l'écoute de Give Me Good Sensi entonné par Earl 16, curieux morceau car malgré sa bonne qualité, le sens du texte (ôde à la sinsemilia) diffère un peu de la tendance générale des titres et aurait probablement plus sa place sur un album d'Abassi All Stars (le side project de Neil Perch).

    Perch nous fait une fois encore la démonstration de ses talents d'arrangeur à travers des dubs épurés, mêlant instruments live aux basses et rythmes digitaux. Il s'amuse aussi à reprendre certains riddims des débuts de Zion Train, nottamment de Passage To Indica, pour en livrer des versions boostées à la sauce steppa actuelle.
    L'influence des Radikal Dub Kolektiv se fait clairement sentir sur Tribute To Keng Keng, leur batteur Vedran Meniga a d'ailleurs participé à l'élaboration du disque et est à n'en pas douter un des initiateurs de ce dub imparable.
    C'est aussi l'ombre des Vibronics que l'on voit également se dessiner sur quelques de pistes, nottament Edelweiss Piraten et Baby Father. Pas étonnant que ces derniers aient remixé le titre Boxes & Amps à l'occasion d'une sortie en vinyl 10'' au mois de Mai (Zion Train Remix EP – EGGY025) tellement les sonorités des deux formations trouvent des points de convergeance.
    David Fullwood (trompette) et Bigga Harzmann (trombonne) forment un excellent contre-point instrumental roots aux skanks et basses digitales de Perch. Tout le monde n'appréciera pas forcément la présence systématique de cuivres sur toutes les compos mais on ne peut pas nier qu'ils font partie de l'empreinte musicale de Zion Train.
    Un des gros point fort de Live As One est également d'alterner entre tracks new roots et dub instrumentaux, ne décevant ainsi aucun amateur des deux styles et conférant un bon rythme à l'ensemble.
    ziontrainlive.jpg Neil Perch et MC DubDadda (photo : Derek Djons)

    Parmis les disques attendus au tournant de la rentrée 2007, Live As One est de ceux hautement recommandables pour tout fan du groupe qui se respecte (ayant patienté plus de cinq ans avant de voir l'émergence d'un nouveau LP) et les amateurs de dub steppa cuivré à la Abassi All Stars.
    Même s'il n'atteint pas des sommets d'originalité, faisant plutôt figure d'évolution, il est la preuve qu'au bout de quinze ans Zion Train ont gagné en maturité et ont finalement pris peu de rides. L'énergie est bel et bien au rendez-vous et pour vous en convaincre, allez faire un de leurs concerts et quand vous verrez Dubdadda sauter à plus d'un mètre du sol entre deux refrains de Terror Talk vous comprendrez vite que la vibe UK n'est pas prête de s'éteindre !

    par Mill3k

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  • http://www.soulculture.co.uk/wp-content/uploads/2010/01/jose-james-blackmagic.jpg

    Note :

    http://josejamesmusic.com

    http://www.myspace.com/josejamesquartet

    REVIEW CONNECT

    Origine : du Groupe : North America

    Style : Jazz , New Jazz

    Sortie : 2010

    Tracklist :

    1 – Code
    2 – Touch
    3 – Lay you down
    4 – Promise in love
    5 – Warrior
    6 – Made for love
    7 – Save your love for me
    8 – The greater good
    9 – Blackmagic
    10 – Detroit loveletter
    11 – Love conversation feat. Jordana de Lovely
    12 – Beauty
    13 – No tellin’ (I need you)

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    José James a été révélé au public français en 2008, grâce à son premier album, « The Dreamer ». Un album très Jazz, presque sans concession, si ce n’est à la modernité. « The Dreamer » ne réunit que des instruments Jazz. La formation réunie était composée d’une batterie, d’un piano classique, et d’une contrebasse. Cela aurait pu tomber dans le « déjà vu ». C’eut été sans compter sur le talent extraordinaire de José James, qui mêle les inspirations Jazz les plus pures -Coltrane, Miles Davis, Betty Carter -, Soul – Marvin Gaye -, et Hip-hop – A Tribe Called Quest. Le résultat de ce mélange : un premier album capturant l’essence du Jazz, enrichi de la chaleur de la Soul, et capturant l’air du temps comme un tube hip-hop. Ce n’était que le début, peut-être déjà l’évènement le plus marquant dans le monde du Jazz depuis « Kind Of Blue », de Miles Davis. José James nous livrera, le 10 février, son deuxième album : « Black Magic ». Voici une présentation de ce nouvel album.

    A la différence de « The Dreamer », résolument Jazz, « Black Magic » est un charmant petit monstre, très hétérogène, qui mêle des pruductions electro, groovy, soul. Jazz, toujours, avec la reprise de « Save your love for me », un classique. Groovy, « Code », « Lay you down », Black Magic ». L’album est plus urbain. Plus Soul que Jazzy. Difficile à classer, en fait. C’est comme son prédécesseur un album qui mêle beaucoup d’influence, et un album à ne pas rater.


  • http://www.imageyenation.com/images/blog-gallery/fineprint-fineprint(mp3).jpg

    Note : +

    http://fineprintmusic.com

    http://www.myspace.com/fineprintmusic

    Origine du Groupe : Canada

    Style : Rap Fusion

    Sortie : 2007

    Tracklist :

    1. Repeat This
    2. What The
    3. Wicked
    4. Puerto Rico
    5. Peace by piece
    6. Tied Up
    7. Ashby
    8. For Reel
    9. Raw Deal
    10. Untitled

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    Gritty but fun-loving live band Rap from Canada has a name, and it's name is Fineprint! The Toronto-based trio, comprised of Astonish, San Miguel, and Stutter, get stupid-soulful on their debut self-titled album, with live instrumentation, dirty beats, lo-fi recording techniques and witty raps. "Repeat This" gives me a sort of Madvillian type of vibe, while hearkening back to the days of Biz Markie's most dusted joints, and the sweet Soul of Stax Records.

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  • http://lunkiandsika.files.wordpress.com/2009/10/seasick_steve_-_man_from_another_time_packshot_lowres_medium.jpg

    Note : ++

    http://www.seasicksteve.com

    http://www.myspace.com/seasicksteve

    Origine du Groupe : North America

    Style : Blues Rock , Country , Boogie

    Sortie : 2009

    Tracklist :

    1. Diddley Bo (3:51)
    2. Big Green And Yeller (4:15)
    3. Happy (To Have A Job) (3:06)
    4. The Banjo Song (3:30)
    5. Man From Another Time (3:14)
    6. That’s All (4:39)
    7. Just Because I Can (CSX) (3:40)
    8. Never Go West (3:30)
    9. Dark (3:55)
    10. Wenatchee (3:54)
    11. My Home (Blue Eyes) (2:29)
    12. Seasick Boogie (10:30)

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    « My name is Steve and I’m your walking man »

     

     

     Seasick Steve a grandi dans la rue. A 13 ans, il claque la porte de la maison et se dépatouille à coups de petits boulots. Ses séjours en prison, il a arrêté de les compter. Par contre, il se souvient que la vie en tournée, c'est un peu comme le paradis sur terre. Il a longtemps travaillé dans les studios d'enregistrement en tant que technicien ou homme à tout faire. Au début des années 90, il embarque tout son équipement et quitte le Tennessee pour Seattle. Il y créé un studio qui sera fréquenté par des groupes indie comme Modest Mouse et Bikini Kill. Et puis, bien sûr, les groupes grunge. C'est ainsi qu'il rencontre Kurt Cobain, son voisin du dessus lorsqu'il monte son propre studio, Moon Studios, à l’arrière d’un magasin de musique à Seattle et commence à enregistrer les jeunes groupes du coin. 80 disques au total. C’est ainsi qu’il collabore avec Murder City Devils et autres Bikini Kill… et, en 1996, enregistre et produit le premier album de Modest Mouse « This Is A Long Drive For Someone With Nothing To Think About ».

     

    Lors de concerts avec le bluesman R.L. Burnside, Steve prend conscience que son boogie blues et sa technique de slide peuvent plaire, (R.L. Burnside a entre autres enregistré l’album « A Ass Pocket Of Whisky », en 1996, avec l’aide du Jon Spencer Blues Explosion). Mais c’est surtout l’intérêt initial du label Fat Possum Records pour les bluesmen du nord du Mississippi qui le convainc pour de bon de se remettre à jouer.

     

    En 2001, Steve quitte les États-Unis pour la Norvège (le pays d’origine de sa femme) et emmène avec lui famille et studio. Sur place, il continue d’enregistrer, et crée son label : There’s A Dead Skunk Records. Mais quand il se décide enfin à enregistrer son premier album « Cheap », en 2004, avec le groupe suédois The Level Devils, il essuie de lourds revers de fortune : la faillite de son label et une attaque cardiaque… Malgré tout, il se remet à la tâche deux ans plus tard, seul cette fois, dans sa cuisine, sur un enregistreur 4-pistes. Le résultat attire l’attention du label indépendant britannique Bronzerat qui produira son deuxième album, « Dog House Music ».

     

    C’est le début de la notoriété : on l’invite à jouer dans des festivals, et à faire les premières parties de gros groupes.

    Il rencontre notamment Nick Cave de cette façon et celui-ci, avec son groupe Grinderman, participe à l’enregistrement du troisième album de Steve au titre éloquent : « I Started Out With Nothin’ And I Still Got Most Of It Left » (2008).

    Sur cet album, enregistré avec le batteur Dan Magnusson – un ancien membre de The Level Devils, qui l’accompagne aussi en tournée – il utilise les guitares de bric et de broc et aux noms invraisemblables qu’il fait défiler lors de ses concerts, et qui rendent son personnage encore plus rocambolesque et attachant.

     

    Car sur scène Seasick Steve communique son plaisir d’être apprécié à sa juste valeur et à 68 ans, il partage ses histoires et son boogie avec énergie et bonhomie : que cela dure encore longtemps !

    Par Tonton

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  • http://www.gubemusic.com/static/pub/thumbnail/medium/MEDIA-ELEMENT-404.jpg

    Note :

    http://www.rimbanna.com

    http://www.myspace.com/4rimbanna

    Origine du Groupe : Palestine , Syria

    Style : Alternative Fusion World , Pop

    Sortie : 2009

    Tracklist :
    1 April blossoms     
    2 New moon     
    3 The sheperd     
    4 Silver fountain     
    5 The kitten didi     
    6 Sleep, Dolly, sleep     
    7 Raindrops on my window     
    8 Today is my birthday     
    9 The clock     
    10 In our orchard     
    12 Our donkey     
    13 When we become a little bigger     
    14 Kul kbeibeh     
    15 Mum, you are the dearest     
    16 Happy lesser bairam feast     
    17 Christmas feast     
    18 Baylassan     
    19 A sand house     
    20 Nura

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    Rim Banna, a Palestinian singer from Nazareth, presents poignant and humorous children's songs on April Blossoms. Rim's voice is aided with bass guitar, acoustic guitar, drums, keyboards, bansuri flute, duduk, and oud. All the songs are sung in Arabic. However, song translations are provided from Arabic to English in the liner notes. The songs are so enjoyable that you need not be a child to appreciate it's musical intricacies. Overall, the melodies and vocalizations are reminiscent of North African singers, in particular, Mauritania's Malouma. A children's choir accents some of the songs. Perhaps, the Arabic songs take on a life of their own and instill in the listener a deep level of appreciation. Also, Russian and Turkic elements appear from time to time throughout the album. This is an ideal collection of songs to listen to while relaxing, or spending time with family. April Blossoms is as sweet as it sounds, and it gets sweeter with every listen.

    ~ Matthew Forss

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