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Origine du Groupe : North America
Style : Reggae , Ska
Sortie : 2010
By http://www.cdbaby.com
By less! Talk about intimate! It's the closest you can get to having a King Django Quintet concert in your living room! The sound quality on this release is so excellent that many listeners
continue to ask if this is really a live recording.
For die-hard fans this is a rare and tasty treat full of ska, rocksteady, reggae and dancehall nuggets, while for those unfamiliar with the King it serves as a great introduction. Django was one
of the pioneers of the New York Ska scene way back in the 1980’s. Since that time, as bandleader, singer, songwriter, arranger and trombonist of Skinnerbox and The Stubborn All-Stars, through
sideman stints touring and recording with the likes of Murphy’s Law, Rancid, The Slackers and The Toasters, touring with his own groups and countless pickup bands, hosting the monthly Version
City party in NYC, and as a very in-demand producer/engineer working out of his own Version City Studio, he has continually built on his reputation as one of the most influential and driving
forces of Jamaican-inspired music in America and throughout the world.
Tracklist :
01. Does He Love You
02. Rise To Find You
03. Tired Of Struggling
04. Hey, Bartender
05. Take Your Chances
06. As Tears Go By
07. Crop No Drop
08. Avenue A
09. Move Like Ya Gone
10. A Single Thread
11. Not Like A Star
12. Precipice
13. Trying To Be Something
14. Fistful A Riddim
15. Nex Finga
16. Jump Dung
17. Reason
18. LKO
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Origine du Groupe : U.K
Style : Abstract Trip Hop , Electronic
Sortie : 1998
Par Mag pour http://www.trip-hop.net
UNKLE est un collectif d'abstract / trip-hop créé en 94 à l'initiative du producteur James Lavelle, également fondateur du label Mo Wax. Le collectif, qui se veut expérimental et éclectique,
commence par sortir jusqu'en 98 une série de singles fourmillant de featurings alléchants... C'est dire que Psyence Fiction était attendu. Pour l'occasion James Lavelle s'est entouré de Josh
Davis alias DJ Shadow (excusez du peu), et de plusieurs vocalistes des scènes pop et hip-hop du moment.
D'où un véritable patchwork sonore qui navigue entre trip-hop et abstract, sans se priver pour autant d'instruments.
Sans transition, on passe du très hip-hop Guns Blazing, featuring le flow insistant de l'américain Kool G sur des beats très jazzy, à l'électro-pop U.N.K.L.E Main Title Theme et ses notes de
guitare, ses samples et ses touches de violon, en passant par l'abstract Unreal et ses relents de guitare new wave, mélange assez inédit et diablement efficace ! Entre deux, on aura apprécié
l'apparition d'Alice Temple à la voix sur le tourmenté downtempo Bloodstain.
Difficile de pas accrocher sur Lonely Soul qui, malgré son format somme toute assez pop (Richard Arshcroft à la voix), compose un hymne sombre sur fond de sonorités tant abstract (beats)
qu'électro (samples). Nursery Rhyme et ses guitares énervées présente l'intérêt d'une rupture de style, mais je lui préfère (de loin) le trip-hop symphonique de Celestial Annihilation qui
s'enrichit progressivement de samples et beats électros très marqués.
Retour au hip-hop avec le flow de Mike D (Beastie Boys) sur The Knock et son petit côté décalé un peu crade, avant d'enchaîner sur Rabbit In Your Headlights avec Thom Yorke à la voix et ses softs
accords de piano..
On l'aura compris, Psyence Fiction est un album hétéroclite et contrasté, et c'est ce qui fait tant son intérêt que le plaisir de son écoute, malgré peut-être un aspect inégal : mais ce petit
côté baroque reste un régal.
Au final on en retiendra surtout les titres phares U.N.K.L.E Main Title Theme, Unreal et Celestial Annihilation, mais après, c'est selon les affinités.. Et c'est toute la richesse des collectifs
: au fil des featurings, embarquement pour un voyage sonore aux destinations multiples. Un concept encore novateur en ces années 90.
On apprécie particulièrement l'artwork de l'album designé par le street-artiste new-yorkais Futura 2000 et ses célébrissimes Pointmen (Ah ! les heureux détenteurs de la pochette vinyle !...)
Tracklist :
1. Guns blazing (Drums of death Part1)
2. Unkle (Main title theme)
3. Bloodstain
4. Unreal
5. Lonely soul
6. Getting ahead in the lucrative field of artist
7. Nursery rhyme
8. Celestial annihilation
9. The knock (Drums of death Part 2)
10. Chaos
11. Rabbit in the headlights
12. Outro
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http://www.theambassadorsofsorrow.com
http://www.myspace.com/theambassadorsofsorrow
Origine du Groupe : U.K
Style : Alternative , Folk Pop
Sortie : 2011
From http://theambassadorsofsorrow.bandcamp.com
Recorded over four ridiculously hot days in April, There Is No Ending is the second album from The Ambassadors of Sorrow. They continue to weave their tales of love, loss and longing, but this
time it's peppered with darker and more literary references.
credits
released 19 June 2011
Written & produced by Angeline Morrison. Vocals, bontempi, autoharp, glockenspiel: Angeline Morrison. Guitar, saxophone, Hammond organ: Nigel Bispham. Guitar: Nick Radford. Bass Guitar: Craig
Waite. Drums: Al Hudson. Trumpet: Jonathon Xavier Coudrille. Flute: Sally Pyner. Cello: Lukas Drinkwater. Engineered by Daniel Harvey at The Ruin, Trink, Cornwall, and also by Ryan Jones at
SaveTheOrphanage.com
Tracklist :
01 - It's Been Hell (2:45)
02 - The Well Of Wisdom (3:03)
03 - The Centre Cannot Hold (2:50)
04 - Red Around The Eyes (3:19)
05 - Sweet Tooth (2:28)
06 - Everybody's Looking (3:01)
07 - Got To Move (2:48)
08 - Out Of Matter (3:12)
09 - You Really Should Be Mine (2:17)
10 - Are You The One For Me (2:11)
11 - So Far Away (3:55)
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http://www.frompandamountains.com
http://www.myspace.com/listentococoon
Origine du Groupe : France
Style : Alternative Pop
Sortie : 2011
Par Aicha pour http://www.jozemagazine.com
Cet album hommage aurait pu être un pari douteux et discréditer Cocoon, mais la touche si personnelle de ce duo, s’insinuant dans chacune des notes de ces tubes donnent l’alchimie Cocoon et fait
sonner ces hits au plus juste !
On retrouve dans l’interprétation de ces tubes internationaux, la toute douceur et la toute mélancolie qu’on reconnait bien comme la touche perso de Cocoon. Vous savez, ce sentiment d’être bercé
par une mélodie dont les paroles peuvent s’avérer dures et trash, mais cela fait des chansons toutes douces et particulières!
Ainsi vous reconnaitrez en écoutant cet EP, les chansons suivantes : « American Boy » et « Say my Name » pour n’en citer que deux, on vous laisse découvrir le reste.
Tracklist :
1 - American boy 3:37
2 - Say my name 3:17
3 - Chase the devil 3:11
4 - Hey ya 2:26
5 - To be alone with you 2:44
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http://www.myspace.com/skunkanansiemusic
Origine du Groupe : U.K
Style : Alternative Rock
Sortie : 2010
Par Ëklir pour http://www.obskure.com
Commençons par pourfendre le lieu commun : "Wonderlustre" sera dans l'œuvre de Skunk Anansie l'album de l'immaturité, la salvatrice immaturité, celle qui inspire les péripéties de l'adolescence
et souffle sur les braises de l'ardeur insurrectionnelle de nos jeunesses. Celle enfin qui confirme aujourd'hui aux trentenaires initiés au son rock des nineties que jadis, ils n'écoutaient pas
de la m... et qu'ils n'ont pas trop mal vieilli, au même titre que la bande originale de leurs primes années.
Il ne faut en contrepartie s'attendre à aucune révolution. Le travail du combo britannique ne tend véritablement vers aucun élément nouveau, aucune prise de risque majeure, les fans de la
première heure peuvent être rassurés. Et, mine de rien, tout en finesse derrière les structures directes, tubesques, FM, tous ces vilains compromis du commerce musical, ce britrock-là, ressuscité
à l'aube de nos années dix, est en mesure de conquérir un public nouveau, né dans la décennie du succès passé de Skunk Anansie. Faut-il y voir l'expression d'une excellence atemporelle ? Ou bien
le quatuor avait-il quinze ans d'avance sur son époque à l'heure du bénéfique "Hedonism", tandis que leur talent serait aujourd'hui enfin d'actualité ?
Ne nous emballons pas. Ce n'est sans doute rien de tout cela. Les recettes concoctées dans les années quatre-vingt dix avaient de tels ingrédients si bien arrangés que la sauce à pu tenir
jusque-là. Citons Foo Fighters et Placebo comme des commis inventifs, qui savent nous servir toujours de la bonne soupe. Nous ne les insulterons pas si nous affirmons qu'il ne s'agit pas pour
autant de grande cuisine.
Tous les genres musicaux ne sont pas, c'est une lapalissade, de même nature, et n'ont ainsi pas les mêmes fonctions, du moins n'ont-ils pas les mêmes effets. "Wonderlustre" se veut ainsi entêtant
("Over the Love", "My ugly Boy"), subtil ("Talk too Much"), mélancolique ("You saved me"), lumineux ("The sweetest Thing"), entraînant. Succession d'approches rythmiques et catalogue de
sentiments pour un but unique et simple. Plaire. Au plus grand nombre, plaire. Sans vice ni mépris mais parce qu'il est plus confortable de tout mettre en œuvre pour se faire aimer. Qui a dit que
le Britrock n'était pas autre chose que de la Pop ? Motus, gardons le secret pour nous.
Et si tout cela ne tenait au fond qu'à l'incroyable charisme de Skin ? A cette voix chaude et singulière ? A ce physique aussi sec et dépouillé que le sont ses chansons (je dis "ses" tant elle
porte le groupe sur ses graciles épaules) ? A cette bouche mythique, à cette boule à zéro culte ? Pas seulement sans doute, ses albums solos n'ayant pas fracassé les charts ces dix dernières
années. Pourtant quelle présence, quelle gueule ! Et si tout cela n'était qu'une mystification de plus élaborée dans nos esprits mortels en mal de figures héroïques éternelles ? Peut-être, tant
les compositions du combo restent d'un point de vue strictement musical plutôt anecdotiques. Il n'empêche que Skunk Anansie, sans doute à travers l'aura de Skin, demeurera pour toujours (nous
parlons aux trentenaires) un groupe de légende.
Tracklist :
01. God loves only You
02. My ugly Boy
03. Over the Love
04. Talk too much
05. The sweetest Thing
06. It doesn't matter
07. You're too expensive for Me
08. My Love will fall
09. You saved Me
10. Feeling the Itch
11. You can't always do what You like
12. I Will Stay But You Should Leave
13. Would You ? [digital bonus track]
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Origine du Groupe : Hongria
Style : Abstract Electro , Downtempo , Electronic
Sortie : 2011
From http://kreislauf.tumblr.com
Ein im Schmelztiegel von Budapest gefangener Produzent. Nichts von sich preisgeben wollend und doch so viel mit seiner Musik mitteilend.
Werden wir eines Tages erfahren wer er wirklich ist? Oder gibt es ihn gar nicht? Vielleicht ist er auch ein Gesandter aus einer anderen Dimension?
Auf Bump Foot, Error Broadcast und Jamendo finden wir noch mehr Musik von ihm…
Tracklist :
01 The Hero Is Dead
02 Vandykes
03 Get Bogged Down
04 Sobersides
05 Slubber
06 Beatitude
07 Swing Swift
08 Zonked Out
09 Waste My Life
10 Termination
11 Royal Jelly
12 Quick To Anger
13 Protein Factory
14 Power Strip
15 Sweet Sorrow
16 Binary Exponents
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http://www.myspace.com/fatoumatadiawara
Origine du Groupe : Mali , France
Style : World Music
Sortie : 2011
Par Lara Beswick pour http://owni.fr
Quand elle évoque son projet personnel, elle parle de musique et de chant. Elle parle de jouer quand elle évoque les rôles qui lui ont été confiés. Fatoumata est considérée comme une artiste
émergente. Pourtant sa carrière scénique est déjà bien remplie.
D’abord comédienne et actrice, elle est repérée en 1996 par le grand cinéaste Cheick Oumar Sissoko qui l’engage dans le film La Genèse (prix Un certain regard à Cannes). Elle enchaîne ensuite sur
Sia : le rêve du Python (Prix spécial du jury au Fespaco) et deux ans plus tard, à Paris, elle travaille sur l’adaptation de Jean-Louis Sagot Duvauroux de la pièce Antigone.
En 2002, sa vie de femme et d’artiste prend un nouveau tournant quand elle répond à une offre pour intégrer la plus grande compagnie de théâtre de rue au monde, Royal de Luxe. Elle est engagée
sur-le-champ et devient la chanteuse de la troupe. En mai 2007, elle sera appelée à interpréter le rôle de Karaba dans la comédie musicale Kirikou et Karaba. S’ensuivent une multitude de
rencontres qui lui donneront l’opportunité de participer aux projets d’illustres artistes tels Dee Dee Bridgewater, Herbie Hancock, Hank Jones ou encore Cheik Tidiane Seick.
C’est alors qu’elle décide de travailler sur un projet musical qui sera le sien. Aujourd’hui, après de longues années de travail et de réflexion, Fatoumata nous offre un EP de musique
traditionnelle africaine teintée d’influences jazz et blues, calme mais dansant. Le tout en touchant des sujets graves avec un charme et une douceur parfois déstabilisants.
Lors de notre rencontre avec Fatoumata Diawara, nous découvrons une femme au charisme imposant qui prend le temps de s’exprimer en choisissant chaque mot.
Une artiste émergente déjà très expérimentée
“Kanou” est ton premier EP en studio, combien de temps as-tu mis pour l’enregistrer ?
Depuis 2006, je me rends régulièrement au studio pour enregistrer. Mon producteur Nick Gold a donc récupéré tout le matériel pour faire des arrangements, des mix. Comme ce sont des
enregistrements voix/guitare, il fallait ajouter quelques basses, percus, piano…
Sorties le 9 mai 2011, 5 ans donc après avoir commencé à travailler, est-ce que tes compositions te semblaient toujours d’actualité ? Quel effet ça fait de sortir cet EP que tu as mis si
longtemps à réaliser ?
J’étais très contente avec mes compos et ça fait du bien de l’avoir sorti. J’avais un peu l’habitude, ayant déjà participé à plusieurs enregistrements pour d’autres artistes dont celui de Dee Dee
Bridgewater, Oumou Sangaré ou Polirytmo. Mais c’est vrai que c’est différent quand il s’agit de son propre album.
Entre la scène et le studio, qu’est-ce que tu préfères ?
Je n’ai pas de préférence, ce sont deux énergies très différentes. La seule chose, c’est que j’ai toujours joué des rôles très sévères, très durs sur scène, toujours des rôles dramatiques,
jusqu’à Karaba dans Kirikou et Karaba. Depuis l’Afrique, j’ai toujours joué des rôles de jeunes filles violées, battues, maltraitées. Karaba est le comble de la jeune femme malheureuse, violée et
battue. Aussi, quand je chante, c’est une autre façade de moi, c’est plutôt moi en fait, je n’interprète pas un autre personnage. Là, je suis en phase avec mon âme et je m’impose. J’ai mis du
temps à sortir ce projet parce que ça prend du temps de trouver son style, son genre, sa voix et être à l’aise.
Le travail d’interprète est différent de celui d’auteur-compositeur. Est-ce plus difficile à assumer ?
Assumer de sortir un album n’est pas difficile, c’est s’imposer finalement qui l’est. Tu décides que ce que tu as écrit dans l’intimité, ce que tu as écrit seule, avec tes réflexions, tes moments
de solitude, tu le partages avec le monde. C’est ça la petite différence. C’est ça la sensation qui est inexplicable. C’est que tu t’imposes, que tu signes un contrat, que tu acceptes de
rencontrer le monde. C’est une forme de générosité qui est énorme mais il faut être forte, il faut être capable de l’assumer, d’accepter les critiques. Il ne faut pas s’attendre aux retours, il
faut donner.
L’album qui va suivre cet EP et qui sortira en septembre raconte-t-il une histoire ?
Pas vraiment une seule histoire. Ça raconte le parcours d’une jeune fille africaine, qui a décidé d’être une femme, de faire sa vie, qui a décidé d’être libre, de vivre de ses choix, de prendre
des risques, de comprendre et d’apprendre la vie telle qu’elle est, à l’état brut sans que les gens te disent ce que tu dois faire et de comprendre la vie par toi-même. Donc c’est plutôt moi et,
comme j’ai 29 ans, ça raconte mon parcours, ce chemin-là. Il reste plein de choses à découvrir encore, plein d’histoires à vivre. Cet album c’est le goût de mes expériences.
Tracklist :
01. Kanou
02. Bakonoba
03. Nayan
04. Clandestin (Live)
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http://www.myspace.com/radikalgurumasterplan
Origine du Groupe : Poland
Style : Dubstep Reggae
Sortie : 2011
From Official Myspace :
Radikal Guru aka Mateusz Miller is a producer and dj born in northern Poland well known in dubstep scene for his reggae-dubstep mash ups and unique sound influenced by dub originators such as
King Tubby, Lee Scratch Perry or Scientist. He gained popularity after releasing a series of vinyl singles on Dubbed Out records (UK) in 2008. Radikal started developing his production skills in
Poland making trip-hop and jungle beats in 2004. Fascinated by sounds of Asian Underground in 2005 he put's out a demo album called "The East-West connection" which started spreading around
internet community. In 2005 he moved to Cork (IE) where he continued expanding his production techniques and started getting more attention by dropping his dj mixes in clubs around Ireland.
During that time Radikal Guru sound is progressing further when he starts experimenting with dub and wide variety of sub genres including dubstep. In October 2008 he's getting his first tunes
released by Z-Audio's sister label Dubbed Out records and only after few months he's getting a lot of attention from listeners around the globe and his music is being played in radio stations
like BBC Asian Network, Sub FM, Rinse FM, Sensimedia Network and many more. From 2009 Radikal Guru is delivering his sound around Europe playing in clubs and festivals in UK, Ireland, Holland,
Poland, Czech Rep, Slovakia, Croatia and Slovenia and continues his quest to this day with some big plans for upcoming years, so stay locked for more info soon!
Radikal Guru & Cian Finn live Polish National Radio Czworka, Jak Maken Zasial show, 19-09-2011 from Maken
Tracklist :
1. Dread Commandments
2. Fire feat. Brother Culture
3. King Kong
4. Wisdom Dub
5. Babylon Sky feat. Cian Finn
6. The Rootstepa
7. Eu Ja Lhe Disse feat. Monkey Jhayam
8. Tundra Dub
9. Kali
10. Ethnic
11. This Applies feat. Cian Finn
12. Conquering Dub
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http://www.myspace.com/moriartylands
Origine du Groupe : France
Style : Alternative
Sortie : 2011
Pour http://liveweb.arte.tv
Il n’est pas si courant qu’un album devienne matière théâtrale. Désormais, il y a The Missing Room de Moriarty et les «souvenirs » (memories) tirés de ses récits et sous-récits par Marc Lainé. La
pièce « absente » (missing), est-elle dans le blanc délibéré qui divise l’album, un pli, un vertige, la chambre d’un écho absent, ou dans chacun des treize morceaux ? Marc Lainé reprend l’énigme
à son compte, en parcourt les plages dans ses pages, en adaptant, ou plutôt en adoptant, l’imaginaire de Moriarty. Il partage avec eux nombre de références culturelles anglo-saxonnes, populaires
planétaires, dans lesquelles le chiffre 13 est celui de l’horreur attendue, et la chambre d’hôtel anonyme son contenant d’évidence. Trois personnages (deux hommes et une femme) y distillent
l’amour et la mort en une combinatoire de treize histoires, où la scénographie, comme toujours chez Marc Lainé, joue un rôle premier. Murs, sols et rideaux sont les surfaces où vient se boucler
le sens, dans les dessins fantastiques live de Philippe Dupuy, dans les apparitions-disparitions de Moriarty, diables en boîte, à la fois in et off, en chair et en sons.
Artistes : Moriarty (chant, guitare, basse, batterie, harmonica) • Réalisateur : Sébastien Lefebvre • Mise en scène : Marc Lainé, assisté de Tünde Deak • Décors : Philippe Dupuy (dessins) •
Cadreurs : Olivier Audige, Thierry Auge, Olivier Cahn, Mariana Poole, Josepha Pelpel • Son : Jeremie Sananes • Production : ARTE France • Henri Leroi (lumières)
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http://www.myspace.com/gotanproject
Origine du Groupe : France
Style : Electro Tango , Electronic , Alternative
Sortie : 2011
Pour http://liveweb.arte.tv
Initié à la fin des années 1990 par le programmateur français Philippe Cohen Solal et les musiciens Christop H. Müller (Suisse) et Eduardo Makaroff (Argentine), le Gotan (comprendre « tango », en
verlan comme en « vesre », son équivalent argentin) Project propose un crossover inédit qui mêle le tango traditionnel argentin à une musique électronique typée lounge.
Gotan Project connait depuis la parution de son premier album La Revancha del Tango en 2001, un succès planétaire retentissant, au point de figurer dans les bandes sons de nombreuses productions
audio-visuelles américaine à succès.
Tango 3.0, le dernier disque du groupe, publié en 2010, accroit encore la palette de base du trio pour des mélanges plus riches encore. On y retrouve des rythmes venus du Brésil, et une présence
plus affirmée des cuivres.
Artistes : Philippe Cohen Solal (Guitares électriques, acoutiques, basse, mandoline, sifflet, sampler & dub fx), Eduardo Makaroff (guitares électriques et acoustiques,
chant), Christoph H. Müller (claviers, vocoder, tenori-on, manette wii, percussions & fx), Claudia Pannone (chant principal), Facundo Torres (bandonéon), Lalo Zanelli (piano), Ananta Roosens
(violon, trompette, violon à pavillon, chant) • Réalisateur : Fabien Raymond • Production : Séquence SDP Vidéocité