-
http://en.wikipedia.org/wiki/Bi_Kidude
Origine du Groupe : Zanzibar
Style : World Music
Sortie : 1999
<script type="text/javascript">// <![CDATA[ aR_BgColor=""; aR_FgColor=""; aR_url=location.href; aR_title=document.title; aR_StarType ='3';document.write('<\/div>');document.write('<scr'+'ipt type="text/JavaScript" src="http://addratings.com/aR_BootStrap.js"><\/scr'+'ipt>');// ]]></script>La mémoire de Zanzibar
Connue en Europe pour sa participation au Culture Musical Club, Bi Fatuma Binti Baraka, dite Bi Kidudé, est la doyenne des chanteuses de Zanzibar. « Madame (bi) petite chose(Kidudé)» tient son
surnom swahili de sa petite taille et sa réputation de son grand talent.
Si son âge reste flou, probablement autour de 90 ans, sa carrière a démarré dans les années 20 elle apprit son art auprès de la chanteuse Siti bint Saad. Pour échapper à un mariage forcé à 13 ans
elles s’est un temps tenu éloignée de Zanzibar. Elle a vécut en Tanzanie et en Egypte où elle fut la chanteuse de plusieurs orchestre de danses. Toute sa vie, elle pratique deux styles très
distincts, chantant au sein de taarab, ces grands orchestres festifs surgis à la fin du 19e siècle, après l’arrivée de musiciens égyptiens sur l’île de Zanzibar. Les orchestres de taraab
comprennent des violons, un oud, un qanun, mais aussi des percussions venues d’Asie et des claviers occidentaux. Ils pratiquent une musique métissée qui incorpore des éléments de culture
typiquement swahilis, arabes africaines et asiatiques. En qualité de chanteuse percussionniste et guérisseuse, Bi Kidudé participe depuis toujours aux rites d’initiations Unyago pour le passage
des femmes à la puberté et "henna" pour l’initiation des futures épouses.
En 1999, lors du festival du film de Zanzibar, elle a reçu un award d’honneur pour sa vie passée au service de l’art. En novembre 2005 le Womex lui remet un award pour célèbrer sa carrière qui
est sa première consécration au niveau international.
par Benjamin MiNiMuM
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Tracklist :
1. Bomwanzani Wa Mahaba
[with Twinkling Stars] 10.02
2. Machozi Ya Huba
[with Twinkling Stars] 6.57
3. Unyago(A)
[with Unyago troupe] 6.30
4. Muhogo Wa Jang'ombe
[with Twinkling Stars] 4.36
5. Arebaba Pakistan
[with Twinkling Stars] 4.52
6. Unyago(B)
[with Twinkling Stars] 2.39
7. Arebaba Pakistan
[with Taarab All Stars] 6.32
8. Muhogo Wa Jang'ombe
[with Shikamoo Jazz & Twinkling Stars] 7.11
9. Beru
[with Shikamoo Jazz] 7.49
10. Kijiti
[with Shikamoo Jazz] 6.46
-
http://www.lkjrecords.com
Origine du Groupe : U.K
Style : Reggae , Dub
Sortie : 1999
<script type="text/javascript">// <![CDATA[ aR_BgColor=""; aR_FgColor=""; aR_url=location.href; aR_title=document.title; aR_StarType ='3';document.write('<\/div>');document.write('<scr'+'ipt type="text/JavaScript" src="http://addratings.com/aR_BootStrap.js"><\/scr'+'ipt>');// ]]></script>
From Wikipedia :
Linton Kwesi Johnson (alias LKJ) est un Dub poet (poète Dub) britannique et musicien de reggae
né le 24 août 1952 à Chapelton en Jamaïque. "Kwesi", prénom Ashanti signifiant "Né un dimanche" est le surnom qu'il prit au début de sa carrière poétique.
<script type="text/javascript">// <![CDATA[//<![CDATA[if (window.showTocToggle) { var tocShowText = "afficher"; var tocHideText = "masquer"; showTocToggle(); }// ]]></script>Sommaire
Biographie
En 1963, il part rejoindre sa famille à Londres. Bien qu'étant étudiant, il adhère au mouvement anglais des Black Panthers. Il organise par exemple un atelier poésie et participe au groupe de reggae Rasta Love.
Il commence en 1973 des études de sociologie au Goldsmiths College de Londres. Pendant ces années, il publie son premier texte dans un journal du
groupe Race Today Collective, qui publie en 1974 son premier recueil de poésie Voices of the Living and the Dead.
Suit ensuite en 1975 son deuxième recueil Dread Beat An' Blood. Sa dub poetry est alors sa première reconnaissance, il reçoit en 1977 la bourse d'études "Cecil-Day-Lewis". Le
label Island publie en 1978 son premier disque, également nommé Dread Beat
An' Blood. En 1979 et 1980 suivent les albums suivants : Forces of Victory et Bass Culture, qui, avec son recueil Inglan Is A Bitch publié en même temps,
consolide sa renommée de voix lyrique la plus importante du reggae britannique.
En même temps, le travail musical, à son avis, apporte beaucoup à son travail social et politique et malgré son grand succès et l'offre d'un important contrat de disques, il prend un moment de
repos. Cependant en 1984 il publie Making History, qui est pour beaucoup son meilleur album. Il sort ensuite les deux albums suivants : Tings An' Times en 1991 et More
Time en 1998. En 1991, il publie un album de textes titré également Tings an' Times. Il ne fait plus de grandes tournées depuis 1985.
LKJ fonde en 1981 son propre label, LKJ Records, et produit ainsi l'important poète dub jamaïcain Michal Smith. Ses propres disques sortent
également généralement sous son propre label.
Il fut accompagné lors d'un de ses concerts en France par la formation de reggae français Bass
Culture.
Style, poésie et politique
Sa poésie évolue de la récitation de ses propres poèmes en créole jamaïcain au reggae dub, en général écrite en collaboration avec le producteur/artiste britannique Dennis Bovell.
Bien qu'il emploie l'anglais dans ses discours aux étudiants et aux politiciens, la poésie de LKJ est écrite en créole jamaïcain.
La plupart de sa poésie est politique, abordant les thèmes de l'oppression policière, des conditions de vie et de l'expérience d'être noir en Grande-Bretagne.
Il s'est notamment investi dans les manifestations faisant suite à l'emprisonnement de George Lindo, un homme inculpé pour vol dont la culpabilité n'avait pas été prouvée. La photographie de
Linton Kwesi Johnson récitant un poème au mégaphone devant les manifestants venus réclamer la libération de ce dernier fit la couverture de "Dread Beat An' Blood", son premier album.
Œuvres
Voices of the Living and the Dead, Londres, 1974
Dread Beat an' Blood, Londres, 1975
Inglan Is A Bitch, Londres, 1975
Tings An' Times, Newcastle upon Tyne and London, 1991
Mi Revalueshanary Fren, Penguin, 2002
Discographie
- 1978 : Dread Beat An' Blood - Island
- 1979 : Forces of Victory - Island
- 1980 : Bass Culture - Island
- 1981 : LKJ in Dub - Island
- 1983 : Making History - Island
- 1985 : LKJ Live in Concert with the Dub Band - LKJ Records
- 1991 : Tings An' Times - LKJ Records
- 1992 : LKJ in Dub: Volume 2 - LKJ Records
- 1996 : LKJ Presents - LKJ Records
- 1996 : LKJ A Cappella Live - LKJ Records
- 1998 : More Time - LKJ Records
- 1998 : Independant Intavenshan - Island
- 2002 : LKJ in Dub: Volume 3 - LKJ Records
- 2003 : LKJ Live in Paris, with the Dennis Bowell Dub Band - LKJ Records
-
http://www.myspace.com/aramakiband
Origine du Groupe : Lettonie
Style : Electro , IDM , Glitch , Experimental
Sortie : 2008
<script type="text/javascript">// <![CDATA[ aR_BgColor=""; aR_FgColor=""; aR_url=location.href; aR_title=document.title; aR_StarType ='3';document.write('<\/div>');document.write('<scr'+'ipt type="text/JavaScript" src="http://addratings.com/aR_BootStrap.js"><\/scr'+'ipt>');// ]]></script>
From Official Myspace :
Aramaki, whose real name is Arthur Damlamayan was born in Riga in 1986. Started making experimental music in 2004. Since 2004 Aramaki released two albums at net-lable Proc-Records.
Tracklist :
01 Why 74 (4:18)
02 Cousticuitar (5:05)
03 Kert (5:43)
04 Tryhivol (5:01)
05 Flipped Pot (4:10)
06 Hallo (5:28)
07 Fybi (2:32)
08 Clever Lever (4:32)
09 Lu G-GD (4:26)
10 Brain Defuse (5:01)
11 Nervee (3:26)
12 Ferris Wheel (6:55)
13 Bitch Boy (4:21)
14 Mechanical Plant (3:55)
15 Estimate (3:36)
-
http://fr.wikipedia.org/wiki/Harry_Belafonte
Origine du Groupe : North America
Style : Jazz , Soul , Blues
Sortie : 1958
<script type="text/javascript">// <![CDATA[ aR_BgColor=""; aR_FgColor=""; aR_url=location.href; aR_title=document.title; aR_StarType ='3';document.write('<\/div>');document.write('<scr'+'ipt type="text/JavaScript" src="http://addratings.com/aR_BootStrap.js"><\/scr'+'ipt>');// ]]></script>From Wikipedia :
Belafonte Sings the Blues is an album by Harry Belafonte, released by RCA Victor (LPM-1972) in 1958. It was recorded in New York on January 29 (with Alan Greene as leader) and March 29 (with Bob
Corman as leader), and in Hollywood on June 5 and 7 (with Dennis Farnon as leader).
Tracklist :
1. "A Fool for You" (Ray Charles)
2. "Losing Hand" (Charles Calhoun (Jesse Stone)
3. "One For My Baby" (Johnny Mercer, Harold Arlen)
4. "In the Evenin' Mama" (C. C. Carter)
5. "Hallelujah I Love Her So" (Ray Charles)
6. "The Way That I Feel" (Fred Brooks)
7. "Cotton Fields" (C. C. Carter)
8. "God Bless the Child" (Billie Holliday. Arthur Herzog Jr.)
9. "Mary Ann" (Ray Charles)
10. "Sinner's Prayer" (Lowell Fulson)
11. "Fare Thee Well" (Fred Brooks)
-
http://www.myspace.com/fatfreddysdropnz
Origine du Groupe : New Zeland
Style : Reggae , Alternative
Sortie : 2010
<script type="text/javascript">// <![CDATA[ aR_BgColor=""; aR_FgColor=""; aR_url=location.href; aR_title=document.title; aR_StarType ='3';document.write('<\/div>');document.write('<scr'+'ipt type="text/JavaScript" src="http://addratings.com/aR_BootStrap.js"><\/scr'+'ipt>');// ]]></script>
Official Site :
LIVE AT ROUNDHOUSE documents an epic night of music at London's legendary Roundhouse in December 2008, playing to a packed out audience at the end of a six-week European tour. Fat Freddy's Drop
live & direct.
Tracklist :
1. The Camel (13:29)
2. The Raft (16:11)
3. Flashback (12:15)
4. Pull The Catch (10:53)
5. The Nod (10:16)
6. Shiverman (15:57)
-
Note :
http://www.myspace.com/haegumplus
Origine du Groupe : South Corea
Style : World Music , Ambient , Instrumental , Classical
Sortie : 2003
Kang Eun Il is one of the world's most acclaimed Haegum artists and is regarded as the forerunner of crossover music, combining traditional Korean music with non-traditional genres. Ancient
Futures, her debut album, combines various musical genres: traditional, classical, jazz and improvisation (used for soundtrack of Kim Ki-Duk’s movie “Hwal” - "The Bow"). She has greatly broadened
the scope of her instrument, playing with famous musicians and orchestras both at home and abroad. Kang has long been interested in the possibility of bringing her instrument to a wider audience
by experimenting with crossover music and this has led to her collaborative work on popular songs with a number of famous jazz musicians. Really beautiful, emotional music !
by slow-riot
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Tracklist :
1. 웽이자랑 Wongijarang (Cheju Lullaby)
2. 비상 Soaring
3. 초수대엽 Chosudaeyeop
4. 헤이 야 Hey Ya!
5. 오래된 미래 Ancient Futures
6. 비에 젖은 해금 A Wet Haegum With Rain
7. 라다끄의 여인 Ladakh’s Women
8. 낡은 마루 Old Floor
9. Fade Out
-
Note :
Origine du Groupe : North America
Style : Blues Soul , Blues Rock , Delta Blues
Sortie : 2010
The fifth album from the all-star blues collective, The Mannish Boys, once again reaches the high standards we have come to expect from Randy Chortkoff’s California-based Delta Groove and Eclecto
Groove labels, indeed he formed Delta Groove as a vehicle to put out music by The Mannish Boys – whilst keeping to the pure roots values of the music, performed by a group of musicians in the top
division of the blues.
The core of the band on “Shake For Me” comprises Finis Tasby, Bobby Jones, Kirk Fletcher, Frank Goldwasser and Chortkoff himself, with a new rhythm section in the shape of Willie J.
Campbell (bass) and Jimi Bott (drums). The guest list here is truly mouthwatering, most from the Delta Groove roster, and, deep breath required, are . . . Rod Piazza, Johnny Dyer, Mitch Kashmar,
Lynwood Slim, Arthur Adams, Kid Ramos, Nick Curran, Mike Zito, Fred Kaplan, Rob Rio, Andy Kaulkin, and European representation in the shape of The Backbones frontman, singer and harmonica player,
Pieter ‘Big Pete’ van der Pluijm . . . phew!
The music itself, over a generous 16 tracks, is a joy from the opening guitar salvo from Nick Curran on “Too Tired” to the closing “Way Down South”, a song from the late Lester Butler of The Red
Devils, admirably covered by Big Pete. Most of the vocals are taken by the ‘elder statesmen’ Finis Tasby and Bobby Jones, with Johnny Dyer pitching in as well.
As mentioned, the album gets off to a rollicking start with a rousing “Too Tired”, highlighting Finis Tasby’s great voice and the sparkling guitar work of Nick Curran. Fast-rising Mike Zito
shares the vocals and guitar duties on a medley of “Mona” and “Willie And The Hand Jive” leading into a sublime take on Lowell Fulson’s classic “Reconsider Baby” – with just a great feel and
groove, and another Tasby vocal and Fred Kaplan’s tinkling ivories.
Two personal favourites feature just duos – the Jimmy Oden / Otis Spann tune “Half Ain’t Been Told”, with just Bobby Jones impassioned vocal and the piano of Rob Rio, emulating the Otis Spann
lines; and the kick-ass “Number 9 Train”, with some plain dirty downhome guitar tones from Frank Goldwasser, who takes the vocal, and Jimi Bott’s driving drums – superb stuff indeed. West Coast
harmonica legend Rod Piazza is on top form on a classy “Last Night”, one of the best known Little Walter songs.
The horns of David ‘Woody’ Woodford and Lee Thornburg swing on Ray Charles “Hey Now”, another sterling Bobby Jones vocal here and more piano magic from Fred Kaplan and killer guitar solo from
Kirk Fletcher. Nick Curran and Fletcher tear it up on the swinging instrumental “The Bullet”, with the two guitarists sharing the solos with Kaplan, and it’s driven along by the top notch rhythm
section of Willie J. Campbell and Jimi Bott.
The pace is taken down on the long, rambling slow blues, penned by Randy Chortkoff, and featuring his own harmonica and some dynamite chromatic work from Lynwood Slim; Arthur Adams dominates his
own “Raunchy”, taking the lead vocal and two guitar solos on this funky blues, leading into the Muddy Waters classic “Champagne & Reefer” – another harmonica ace, Mitch Kashmar, impressing
here, with Johnny Dyer sound authentically Muddy-like on the vocal.
This cracking release ends in fine style with Holland’s own Pieter ‘Big Pete’ van der Pluijm doffing his cap to his hero Lester Butler on “Way Down South” – his big voice and harmonica ably
assisted by Kid Ramos’s customary brilliant guitar and Andy Kaulkin’s piano. Hopefully we’ll hear more of him on the next album!
As ever with Delta Groove / Eclecto Groove releases, this fairly burst out of the speakers – a beautiful sounding album as ever, with Jeff Scott Fleenor handling production duties on his own for
the first time, well done to him! I would love to see this project hit our shores, come on festival promoters, get to it for next year!
by GRAHAME RHODES
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Tracklist :
01. Too Tired
02. Mona/Willie and the Hand Jive
03. Reconsider Baby
04. Educated Ways
05. Half Ain't Been Told
06. Number 9 Train
07. Last Night
08. Hey Now
09. You Can't Be Beat
10. Black Nights
11. The Bullet
12. Those Worries
13. Raunchy
14. Champagne & Reefer
15. You've Got Bad Intentions
16. Way Down South
-
Tracklist
Version de 1972 (60')
Echoes, première partie
Careful with That Axe,
Eugene
A Saucerful of
Secrets
One of These Days (I'm Going to Cut You into Little
Pieces)
Set the Controls
for the Heart of the Sun
Mademoiselle Nobs
Echoes, seconde partie
Ajouts dans le director's cut
From Wikipedia
:
Pink Floyd: Live at Pompeii est un film musical d'Adrian Maben, sorti initialement en 1972.
À l'origine, il s'agissait d'un projet de télévisions européennes prévoyant de filmer Pink Floyd interprétant certains de
ses morceaux dans l'univers minéral de Pompéi et du Vésuve. La première version sortie en salle dure 60 minutes, et on n'y voit que les scènes de Pompéi et Paris. Cette version contenait une
introduction ressemblant à Echoes avec de l'air, un sifflement et un petit air de guitare joué par David Gilmour.
Une seconde version sort en 1974 : elle ajoute vingt minutes de reportage sur Pink Floyd, alors en pleine élaboration de l'album The Dark Side of the Moon (on assiste ainsi à l'élaboration d’On the Run, d’Us and Them et de Brain Damage), ainsi que des extraits d'entretiens des quatre membres du groupe avec Adrian Maben.
Cette version, de même que le director's cut, ont pour introduction un battement de coeur comme sur Speak to Me.
Seules Echoes, A Saucerful of Secrets et One
of These Days apparaissent tournées sur place. Le reste a été enregistré en studio à Paris, avec des images de Pompéi projetées derrière les musiciens. Malgré les apparences, certaines
scènes des titres tournés a Pompéi ont été reprises a Paris, hormis pour One of These Days. La
majorité des plans concernant cette dernière chanson ont été perdus, si bien que l'on ne voit quasiment que le batteur Nick
Mason sur cette séquence (il perd d'ailleurs une baguette, mais réussit à en sortir une autre tout en conservant le rythme).
Bien qu'on lui ait proposé de jouer en play-back, le groupe a préféré se produire en direct. L'acoustique de l'amphithéâtre de Pompéi est remarquable, et le cadre antique du site donne une dimension supplémentaire à la musique du
groupe.
Contrairement à la très grande majorité des albums live qui sont le plus souvent enregistrés pendant des concerts, le Live at Pompeii de Pink Floyd est joué devant un théâtre
vide de ses spectateurs. Ceci renforce encore l'impression d'un son totalement pur, idée récurrente chez Pink Floyd. Le film s'avère donc être « une sorte d'anti-Woodstock » (Adrian Maben), où le but serait de se focaliser sur la musique, et rien que sur la musique,
laissant de côté « les réactions du public ».
En 2003 sort une version DVD dite « director's cut », qui dure 92 minutes : y ont été ajoutées des séquences en images
de synthèse représentant l'espace, Pompéi et sa destruction par les laves du Vésuve, ainsi que des images provenant d'Abbey Road et des missions Apollo. Le DVD contient également le film de 1972 (60 minutes), mais avec comme générique le battement de coeur,
comme la version longue de 1973.
Fiche technique
- Titre original : Pink Floyd: Live at Pompeii
- Réalisation : Adrian Maben
- Photographie : Willy Kurant et Gábor Pogány
- Montage : Nino DiFonzo, Marie-Claire Perret et José Pinheiro
- Production : Bayerischer Rundfunk (Allemagne), ORTF (France), RTBF (Belgique)
- Format : Couleurs - 1,37:1 - 35mm
- Durée : 60 minutes (durée du director's cut : 91 minutes)
- Date de tournage à Pompéi : octobre 1971
- Date de sortie : printemps 1973 (France)
Liens externes
-
Note :
http://www.myspace.com/costorico
Origine du Groupe : Spain
Style : Reggae , World Music
Sortie : 2005
Fin 1999, à Barcelone, une dizaine de jeunes répètent au coeur du quartier de Sants. Peu à peu, les idées et les mélodies s'affinent et le groupe Costo Rico émerge des fêtes de quartiers et des
concerts dans les maisons de la jeunesse. Son style se précise, entre rumba et reggae, avec de nombreux emprunts à l'Amérique Latine. Depuis, Costo Rico s'est fait un nom bien au delà de
Barcelone et s'est produit quasiment partout, de la Bosnie au Panama.
par Mondomix
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Tracklist :
01 Siendo Ni±o (3:33)
02 Son de la Cabeza (4:39)
03 Cosas Ricas (4:22)
04 La Primavera (3:25)
05 Maneras (5:05)
06 Blancos Vampiros (3:15)
07 Buena Estrella (4:28)
08 O Fluxo (3:08)
09 El Tejado (4:18)
10 Marea (2:36)
11 Inane (3:38)
12 La Semilla (6:43)
13 Coraz≤n I (5:17)
14 Coraz≤n II (2:23)
-
Note :
http://www.elpucherodelhortelano.com
http://www.myspace.com/elpucherodelhortelanooficial
Origine du Groupe : Spain
Style : World Music , Gitan Music
Sortie : 2005
Nace en 1998 formado por un grupo de amigos estudiantes de educación musical en la Universidad de Granada. Ese mismo año graban una maqueta de seis temas con la intención de dejar constancia de
tantas y noches de fiesta y música, para que quedara un recuerdo de esos años, y para sorpresa se venden 3500 copias, y además les lleva a ser premiados en varios concursos andaluces, entre los
que destaca el Lagarto Rock de Jaén.
Ese el punto de partida para que decidan lanzarse al mundo del bussines musical, y grabando su primer y segundo disco, “Aficiones” (2000) y “Once temas de conversación” (2002) para la compañía
granadina Producciones Peligrosas. Estos dos años dan para mas de 200 conciertos por todo el país, dos nominaciones a los premios de la música de Andalucía,(mejor canción y mejor álbum de
flamenco fusión por Aficiones),la inclusión de un par de temas en la música de la película de Alberto Rodríguez “Siete Vírgenes” nominada a los premios Goya 2006, y más de 10.000 copias vendidas
de unos discos que apenas tienen promoción y distribución, lo que les sitúa como una de las bandas más auténticas y originales del país.
Durante el siguiente año centran más su actividad en Cataluña, donde se trasladan algunos miembros de la banda, y donde conocen a Carles Lloveras, un guitarrista flamenco catalán que se incorpora
a la banda y por medio del cual conocen a la compañía discográfica que les grabará su tercer disco.
Es en el 2005 cuando graban “Candela” para la discográfica catalana “Fourni produccions sonores”, distribuido por K-industria, un disco grabado en la Casa de la Fournier, en la Garriga
(Barcelona) y mezclado en Granada, en el que sorprenden con una formación recién estrenada más acústica y callejera,( se incorpora el chelo a la banda y se prescinden de las guitarras eléctricas
de anteriores discos), y que recibe las mejores críticas de los medios: Candela es una modélica obra de flamenco rock urbano, donde se desenvuelven el puridad el tanguillo, la copla y la bulería,
aunque para el oído común se oye transitar a Kiko Veneno, al Chico Ocaña más sentimental, al lenguaje pop también, todo hermosamente dicho (inmenso Antonio Arco) e interpretado. La versión de
“Jel’aime a mourir” de Francis Cabrel es para enmarcar.- La Vanguardia - por Esteban Linés. (26 de Agosto 2006).
En el 2006 el primer single de Candela, “Quiero Saber” es incluido en el recopilatorio “Carácter Flamenco” editado por Discmedi, junto a artistas como Martires del compás. Miguel Poveda,
Duquende, Ojos de Brujo... Al finalizar 2006 Candela lleva vendidas más de 5000 copias y 250.000 canciones descargadas de su pagina web oficial www.elpucherodelhortelano.com
Transcurridos dos años desde el lanzamiento de “Candela” el puchero nos presenta ahora su cuarto disco “HARUMAKI” ., que estará en la calle el 3 de diciembre de 2007.
HARUMAKI son once nuevas composiciones que parten de inteligentes letras y buenas melodías y que se visten con el flamenco, la rumba, el pop, el rock, el funky,…En este nuevo disco te encontrarás
guitarras flamencas que a veces suenan gitanas y a veces se saturan y distorsionan, arreglos clásicos de cuerda, vibrantes y alevosos vientos, una contundente base rítmica a cargo del cajón del
“faraón”, y por supuesto un hilo conductor, la voz rota de Antonio Arco, curtida en nueve años de trayectoria. Una voz que ya ha creado un estilo propio e inconfundible.
HARUMAKI se ha grabado en los estudios granadinos de Producciones Peligrosas por Pablo Sánchez (Enrique Morente, Los Planetas, Estrella Morente, etc), y se ha mezclado por Carlos Díaz (Eskorzo,
Lagartija Nick, Amparanoia, etc) durante la primavera y verano de 2007. Es un disco que aparece bajo el propio sello del propio grupo, Aficiones Records y la distribución en España corre a cargo
de la compañía catalana “Discmedi”.
Como novedad señalar que tras la marcha del guitarrista Carles Lloveras en 2006, se incorpora a la banda y graba este disco la joven guitarrista flamenca de Barbate (Cádiz), Patricia Ramos.
En breve comienzan una gira que les llevará de nuevo a todos los rincones para dar a todo el que guste Harumaki del bueno.
RadioChango
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Tracklist :
01. Pablito
02. Miedo
03. Si te Miro
04. Ochenta Años
05. Vive la Vida
06. Arrancarme los Ojos
07. Quiero Saber
08. De Todas las Cosas
09. Bulerías del Poli Díaz
10. Puchero de Caramelos
11. La Quiero a Morir