• http://www.dustygroove.com/images/products/n/nojazz~~~~~_nojazz~~~_101b.jpg

    http://www.nojazz.net/

    http://www.myspace.com/lesnojazz

    Origine du Groupe : France

    Style : Electro Jazz , Electro Acoustic

    Sortie : 2002




     

    nojazz3-pti.jpgAlors les Nojazz , c'est un bouillon de musique mixer dans le grand checker des genres musicaux !!

    C'est ce qu'on peux retrouver dans leur musique , total écléctisme nous balançandt de la Drum & Bass à la Jungle au Funk et j'en passe des meilleures ..

    Toujours accompagner de cette fabuleuse trompette qui vient relever la sauce de leurs musique , les Nojazz offre un moment de pur plaisir et délire en les écoutant " Le K du Q " en est un brave
    exemple eh eh !!! (hommage à Claudio lool)

    Sur scène puisque j'ai eu l'occasion d'assister à une de leur préstation , et bien c'est encore mieux voila tout !!

    Si dans Nojazz y'a pas de Jazz la dedans alors je veux bien me faire producteur de maison de disque à énorme budjet et sponsorisé Johnny Hallyday !! à bon entendeur tchaoooooooo
    !!!

    by DJ DemonAngel


    Discographie :

    -
    Zooland (2009)
    - Have Fun (2005)

    - NoLimits (2004)

    - NoJazz (2002) 



    Tracklist :

    01/ Intro

    02/ Candela feat. Mangu

    03/ Nojazz song

    04/ Pick-up

    05/ Blz & timike-interlude

    06/ Jungle-out

    07/ Medina-intro

    08/ Medina

    09/ Urgence

    10/ Nojazz song "unplugged"-interlude

    11/ What time is it

    12/ One muscle-interlude

    13/ Jazz attack feat. Skratch action hiro

    14/ El primero

    15/ C & C-interlude

    16/ Candela feat. Mangu-club version
    mp3

  • http://images.wikia.com/lyricwiki/images/4/46/Alice_In_Chains_-_Unplugged.jpg

    http://aliceinchains.com

    http://www.myspace.com/aliceinchains

    Origine du Groupe : North America

    Style : Alternative Rock , Grunge , Folk , Acoustic

    Sortie : 1996



    Par  Ulyssangus pour
    http://www.destination-rock.com




    UNPLUGGED, OU LA FLAMBOYANCE INTIMISTE



    Les dernières apparitions publiques d’Alice In Chains remontent à l’année 1993. Les rumeurs de dissolution s’enchaînent, sans que personne ne puisse vérifier leur véracité. Pourtant, le groupe
    est bien vivant, comme le prouvent l’impeccable Jar Of Flies, et le torturé éponyme de 1995. Le quatuor, à la sortie de ce dernier album, décide à nouveau de ne pas reprendre les concerts.
    L’addiction de Layne Staley est connue de tous, et cette décision ne surprend personne. L’état de santé effrayant du chanteur est évoqué à demi-mot par certains de ses amis, désespérés par sa
    défaite face aux opiacés. Alice In Chains resurgit pourtant, à la surprise de tous, et d’une manière à la fois élégante et inattendue : lors de la sacro-sainte émission Unplugged de MTV.
    Enregistrée en avril, l’émission paraît en disque en juillet, parvenant jusqu’à la première place des meilleures ventes. Elle présente également le groupe sous son jour le plus inhabituel,
    puisque le guitariste Scott Olson est présent pour étoffer les arrangements acoustiques. Le succès brillant de l’album et de l’émission prouvent à nouveau qu’Alice In Chains n’a pas quitté le
    cœur du public durant ses années de silence, loin de là. Premier concert des américains en deux ans et demi, mais aussi une des dernières apparitions de Layne Staley, Unplugged multiplie les
    symboles.



    L’aura qui se dégage de cet album est proprement indescriptible. L’auditeur, dès les premières mesures de Nutshell, est happé dans un climat tragique, à la fois transcendant et désolant. Une
    noirceur indéfinissable plane sur l’ensemble du projet, s’insinuant dans le moindre couplet, dans le moindre accord, dans la moindre note. La musique d’Alice In Chains, même privée de ses
    attributs électriques, demeure aussi saisissante qu’à l’origine. Sa force sombre est telle que le public garde un silence respectueux durant la plus grande partie des morceaux, littéralement
    dominé par la prestation scénique aussi modeste qu’époustouflante accomplie par le quintette. Libéré des contraintes rythmiques, Jerry Cantrell peut se concentrer sur les mélodies et les soli,
    livrant de frémissantes caresses mélodiques, avec retenue, douceur et mélancolie. La basse de Mike Inez est parfaitement mise en valeur, bien plus que sur les albums du groupe, se coulant avec
    aisance entre les guitares et la batterie, dardant des lignes captivantes, sans cesse changeantes. Sean Kinney frappe ses fûts avec sa rigueur habituelle, s’alliant aux instrumentistes, les
    soutenant sans les gêner. Mais tous les musiciens présents ne sont que des rouages d’une machine qui les dépasse, d’un être collectif de loin supérieur à la somme de ses membres.



    Et, toujours au sommet de l’édifice savamment tissé par le groupe, planent les voix de Jerry Cantrell et de Layne Staley. L’organe carré, direct, suave du guitariste et celui vibrant, éraillé,
    percutant du chanteur s’entremêlent, se répondent, se complètent, se combattent avec tristesse et volupté. Leur ballet, nimbé d’un chagrin confinant à la morbidité, trouve ici son incarnation la
    plus naturelle, la plus subjuguante. Pour paraphraser la formule ô combien galvaudée d’Alfred de Musset, les plus désespérés sont les chants les plus beaux. Unplugged semble être la traduction de
    cette citation dans le monde du rock. Si Dirt illustrait la bataille entre un homme et ses démons, Unplugged incarne quant à lui le contrecoup de la défaite, la résignation, la capitulation.
    Cette marche funèbre, capable de saisir le plus indifférent, est le couronnement de l’œuvre d’Alice In Chains. Parfois, l’auditeur à l’impression d’entendre ces titres pour la première fois, tant
    leur force originelle est transcendée par la performance presque surnaturelle du quintette. Introduction idéale à l’œuvre d’Alice enchaînée, œuvre déprimante et déprimée, symbole d’une époque
    révolue, Unplugged est tout cela, et bien plus encore. Reste, de nos jours, la figure sombre, émaciée, pâle, creusée, de Layne Staley, livrant de toute son âme une des plus poignantes prestations
    des années 1990, quelques années avant la fin inévitable.







     

    REGARDER LE CONCERT LIVE EN ENTIER

     

    Tracklist :

    1 - Nutshell

    2 - Brother

    3 - No Excuses

    4 - Sludge Factory

    5 - Down In A Hole

    6 - Angry Chair

    7 - Rooster   

    8 - Got Me Wrong

    9 - heaven Beside You

    10 - Would?

    11 - Frogs

    12 - Over Now

    13 - Killer Is Me

    mp3


  • http://www.izdi.com/objets/769.jpg

    http://www.zenzile.com

    http://www.myspace.com/zenzile

    Origine du Groupe : France

    Style : Electro Dub

    Sortie : 2005



    Par Thibaut  pour http://www.trip-hop.net



    C'est toujours un plaisir d'avoir un album de Zenzile entre les mains. Ca l'est encore plus dès que le cd tourne dans la platine.



    Les seigneurs du dub français nous livrent un quatrième album qui mettra plus de temps que les précédents à séduire nos oreilles. Il faudra bien 5 écoutes du disque pour l'apprécier dans son
    intégralité. Mais une fois cette étape franchie, toute la beauté de ce dub angevin s'offrira à nous.



    Comme pour le précédent opus, la voix de Jean Gomis (Meï Teï Shô) se marie très bien aux compositions du groupe. Il en résulte un poignant "Simple Lesson" et un hargneux "War Still a Run". Il
    faut signaler également la participation de Vincent Ségal (Bumcello) sur "Eolian Blues" avec son violoncelle particulièrement mélodieux.



    "Hippo" rappellera de bons souvenirs aux fans du groupe qui y devineront un clin d'oeil au premier album Sachem In Salem.



    On retrouvera également avec plaisir Jamika sur "Up is a long way to go", un morceau où Zenzile semble lorgner vers un électro-dub plutôt rock.



    Au final on ne regrettera qu'une chose : apprendre que 21 titres ont été enregistrés et que seulement 12 sont présents sur l'album, mais quels titres !



    Click to download...


    Tracklist :

    1. Wow

    2. War Still A Run

    3. Pirates

    4. Dawn

    5. Mafate

    6. Up Is A Long Way To Go

    7. Eolian Blues

    8. Twilight

    9. Hippo

    10. Simple Lesson

    11. Basic

    12. Le Rayon Vert

    mp3


  • http://ecx.images-amazon.com/images/I/51nxxMbTbOL._SS300_.jpg

    http://nikolajbentzon.com

    http://www.myspace.com/bentzonbrotherhood

    Origine du Groupe : Danemark

    Style : Funk Jazz , Groove , Soul , Acid Jazz

    Sortie : 2004



    By http://www.cdbaby.com



    Taught by his father, Niels Viggo Bentzon - one of the great composers in Danish contemporary music. Educated at Berklee College, Boston, 1983-86, graduated magna cum laude. Has distinguished
    himself as leader of own trio. Leader of successful jazz/funk bands, most recently "Bentzon Brotherhood" (albums: BMG 74321422612, BMG 74321626452, OffBeat 001, Cope Records 041, DR Records
    1001). Also works as a composer and arranger. Recently signed with Danish Broadcasting Cooperation Production for his 10th release as a leader. His seventh album features funk legends Paul
    Jackson and Mike Clark from the ground-breaking "Herbie Hancock Headhunters". Has been asked -in the absence of Herbie Hancock - to join the Headhunters for touring. Joined the grammy award
    winning Danish Radio Big Band in 1990.

    Bentzon began winning awards at the age of 19, when he was selected best soloist at the Dunkerque Jazz Festival. In 1983 he was selected as the first jazz musician to receive the prestigeous
    Jacob Gade Award, and soon afterward went on to Berklee College of Music in Boston, where he won the Oscar Peterson Jazz Award in 1985, and from which he graduated i 1986.

    Bentzon continues to win awards, such as the Danish Jazz, Rock and Folk Composers´ Honorary Award for original compositions. Double prizewinner at the Annual International Jazz Theme Competition
    in Monaco and winner of European Jazz Federation´s annual "Jazz Contest". Co-composing and piano duo performances with his father, the well-respected composer Niels Viggo Bentzon, brought Bentzon
    early critical attention and acclaim.

     





    Tracklist :

    1.Powered

    2.The Cool Shadow of the Bedouin Tent

    3.Gonna Holla Like Tarzan

    4.Tricked

    5.Mount Ego

    6.Comeback of the Average Joe

    7.I Shot the Sheriff

    8.Suite Africaine I: Sahara Passage

    9.Suite Africaine II: Out post Ghazal

    10.Smokes

    11.Split Decision

    12.This Place Has Changed

    13.Constiuents

    mp3


  • http://ekladata.com/jHIK4SxOma1tpflB679PedAVJfI.jpghttp://www.comatonse.com/thaemlitz

    Origine du Groupe : North America , Japan

    Style : Electro , Deep House , Downtempo , Ambient , Experimental

    Sortie : 2006



    Par  Oreilles  pour http://www.paperblog.fr



    Qu’est-ce que la house ? A qui s’adresse-t-elle ? A-t-elle un sexe ? Un message ? Une couleur politique ? Ces questions, sur lesquelles bien peu de DJs se penchent, Terre Thaemlitz tente d’y
    répondre depuis plus de 15 ans sur des disques qui sont toujours un peu plus que de simples objets musicaux. Volontairement, il casse les formats, s’éclipse, touche aussi à la photo, à la vidéo,
    aux arts plastiques, change régulièrement de pseudo avant de revenir par une autre porte, peu attaché à la notion d’auteur et à la reconnaissance publique. A travers tous ces revirements et
    réflexions, c’est sa propre identité qu’il interroge, et la possibilité de vivre heureux en étant différent.



    Transsexuel (ou androgyne, comme il se définit lui-même), il a quitté New York, qu’il déteste, pour Tokyo, où la vie est selon lui plus aisée pour les minorités sexuelles. L’album qui nous
    intéresse ici date de 2006 et n’était justement disponible qu’au Japon. Sa réédition chez les Français de Skylax fait suite au succès de Midtown 120 Blues (Mule Musiq), sorti sous le nom de DJ
    Sprinkles en 2009, et que j’avais renoncé à chroniquer, découragé, comme souvent, par le nombre de critiques (logiquement) élogieuses sur les blogs. Mais vu que celui-ci est au moins aussi bon,
    je ne peux décemment pas passer à côté.



    Routes Not Roots est un album bavard, militant, bourré d’interludes et de spoken word. On y parle du regard des autres, du Sida, de la violence ordinaire... Parfois avec une certaine brutalité,
    comme sur ce "Stand Up" où des rires en boîte répondent à une histoire tragique (narrée par Terre lui-même ?) de lynchage d’un trans dans le métro de New York. Une sorte de malaise, de douleur
    même, affleure sur une bonne partie des 12 titres, mais le propos militant ne prend jamais le pas sur la beauté de la musique, parfaite alliance de house, de jazz et d’ambient, portée par un
    piano rêveur omniprésent et un groove intense et répétitif.



    Sans introduction, Terre entre directement dans le dur et dans le deep avec "Down Home", ses violons et ses accords de piano expressionnistes. C’est l’un des gros titres de l’album, et l’un de
    ceux qui correspondent le plus au format house classique. Autre morceau de bravoure, "Hobo Train" étale son beat rugueux et son prêche sur plus de 12 minutes et s’achève dans un éblouissant
    entremêlement de guitare hispanisante et, encore une fois, de piano jazzy. En parfaite adéquation avec son « message », la musique de Thaemlitz est terriblement honnête, sans effets ou presque,
    sans cache-sexe, suis-je tenté de dire en écho à la pochette. On touche là à l’essence de la house, tout simplement. Plusieurs tracks font d’ailleurs des clins d’œil appuyés aux pionniers de
    Chicago, notamment "Infected" et ses boucles disco, et le diptyque "Fuck The Down-Low" / "B2B".



    Même lorsqu’il se sert de samples archi-grillés, qu’il s’agisse des chœurs du "Another Star" de Stevie Wonder (sur "Crosstown"), ou d’un passage du bijou de Talk Talk, "The Rainbow" (sur "Double
    Secret"), ses choix ne se discutent pas tant ils semblent relever de l’évidence. Ce qui ne signifie en rien que Routes Not Roots est un album fluide. Bien au contraire, il nous fait subir une
    succession d’émotions contradictoires, passant souvent de l’une à l’autre de manière plutôt abrupte, ou les faisant cohabiter dans un entre-deux ambigu qui n’a évidemment rien d’accidentel. Et
    c’est précisément ce qui en fait une œuvre à part, à mille lieues du commun des albums du genre, et un autoportrait saisissant de son auteur. Car il y a à peu près autant de différences entre
    Terre Thaemlitz et le producteur house moyen qu’entre Jean Genet et Marc Levy. Quelques-unes, donc.



    En bref : la réédition d’un chef-d’œuvre de Terre Thaemlitz, double réflexion sur le sort des minorités sexuelles et la nature profonde de la musique house.

     







    Tracklist :

    01. Down Home Kami-Sakunobe

    02. Saki-chan (Pt.1)

    03. Hobo Train

    04. **** the Down-Low

    05. B2B

    06. Stand Up

    07. Black is the Color of My True Love's Hair

    08. Double Secret (Dub)

    09. Saki-chan (Pt.2)

    10. Crosstown

    11. Head (In My Private Lounge, My Pad)

    12. Infected

    mp3


  • http://ekladata.com/rMRdLji3JYEkdlifcKEitKKKtvI.jpg

    http://www.myspace.com/johnnyosbourne09

    Origine du Groupe : Jamaica

    Style : Reggae Roots , Dub

    Sortie : 1979



    By http://www.heartbeatreggae.com



    Originally released in 1979, Johnny Osbourne's Truths and Rights LP helped usher in the 1980s dancehall sound. It solidified Johnny Osbourne's popularity, and he would go on to become one of the
    most prolific of the dancehall reggae singers. Recorded in Jamaica and produced by Clement Dodd, Johnny was presented with a plethora of classic Studio One rhythms from the vaults on which to
    record. The legendary foundation label was undergoing a creative renaissance with new prototypical dancehall albums by Freddie McGregor, Sugar Minott, Michigan & Smiley, Willie Williams, and
    of course, Johnny Osbourne. This deluxe edition includes all ten album tracks, remastered from the original tapes. A further six tracks - extended mixes, a dee-jay version, a dub version, and a
    bonus track from the period - have been added. The liner notes include a recent interview with Cleveland "Clevie" Browne, of Steely & Clevie fame.



    Tracklist :

    01. Truths and Rights

    02. Children Are Crying

    03. Can't Buy Love

    04. Jah Promise

    05. Nah Skin Up

    06. We Need Love

    07. Eternal Peace

    08. Sing Jay Stylee

    09. Love Jah So

    10. Let Me In

    11. Jealousy Heartache and Pain

    12. Luanda - Dub Specialist

    13. West Gone Black - Jah Jesco & Jucey Bravo

    14. Truths and Rights (extended mix)

    15. Sing Jay Stylee (extended mix)

    16. Can't Buy Love/Swing Easy

    mp3


  • http://www.fwd.dj/files/images/reviews/derualbumcover.jpg

    http://deru.la

    http://www.myspace.com/iamderu

    Origine du Groupe : North America

    Style : Electro , Dubstep , Abstract Hip Hop

    Sortie : 2010



    Par http://www.mowno.com



    La nuance existe aussi chez les producteurs electro. S’ils sont des milliers à jouer des coudes, à tenter de devenir quelqu’un, Benjamin Wynn a désormais passé ce cap et s’applique désormais à
    conserver sa place au sein de l’élite. En effet, sous le nom de Deru, ce résident de Los Angeles a déjà accumulé pas mal d’expériences, qu’elles soient purement discographiques ou mises au
    service de la télévision, du cinéma, et de la danse. On pouvait ainsi l’entendre sur la bande son de “Avatar: The Last Airbender” l’an passé, ou lors de représentations du ballet de l’Opéra de
    Paris en 2008 pour lequel il s’était associé avec le compositeur Joby Talbot. Ainsi, tous ont immédiatement décelé le pouvoir de son mélange d’electro, d’IDM, de dubstep et de hip hop à souligner
    la moindre expression artistique. Incontestablement, “Say Goodbye To Useless”, son troisième album et le premier pour le compte de Mush, va de nouveau provoquer quelques envies. Dans la lignée de
    ses précédents travaux, il y décline ses compositions organiques, ses ambiances fétiches - à savoir brumeuses, atmosphériques, et mélancoliques - qu’il plombe plus encore via des basses
    moelleuses et des beats écrasants qui, chaque fois qu’ils frappent, accentuent la belle profondeur de cet album. Mais c’est ensuite que l’Américain fait la différence: quand la plupart se
    contentent de soigner le détail (”Basically, Fuck You”) et de la même efficacité rythmique que celle croisée ici (”Peanut Butter & Patience”), lui n’oublie pas de saupoudrer sa musique d’une
    esthétique héritée de sa grande ouverture d’esprit. Ainsi, il ouvre ce “Say Goodbye To Useless” avec le chant francophone de “I Would Like”, version aérienne et ralentie du “Je Voudrais” de
    Jeanine Deckers (Soeurs Sourires), celle là même qu’il accélère ensuite d’un coup de pitch sur “I Want” pour en faire une véritable perle d’electro hip hop ouaté. Alors à l’apogée de son talent,
    Deru court ensuite tout le long de l’album pour tenter de l’égaler, sans pour autant y parvenir. Pour autant, ce disque ne souffre d’aucun déséquilibre, captivant qu’il est lorsqu’il transpire sa
    vision toute transversale de la musique (”Fadeaway”), ou que résonnent de récurrentes plages cotonneuses dans lesquelles on se surprend à s’enfoncer avec plaisir (”Walk”). Deru n’est pas le
    premier à servir ce genre de satisfactions, mais rares sont ceux dont la musique provoque aussi fortement l’état second. Car à l’écoute des 45 minutes magiques de ce “Say Goodbye To Useless”, on
    se laisse embarquer dans un monde parallèle ou tout le monde apprécie marcher à côté de ses pompes. A écouter très fort, et de préférence au casque pour ne rien manquer.



    Tracklist :

    1 I Would Like

    2 I Want

    3 Peanut Butter & Patience

    4 Hello

    5 Basically, Fuck You

    6 Walk

    7 Fadeaway

    8 Days, Then…

    9 What Happens When You Ask

    10 Cottonmouth Lothario

    11 Goodbye

    mp3


  • http://perlbal.hi-pi.com/blog-images/237082/gd/130418564499/chronique-moriarty-the-missing-room.jpg

    http://www.moriartyland.net

    http://www.myspace.com/moriartylands

    Origine du Groupe : France

    Style : Alternative , Blues Folk , Soul , Jazz

    Sortie : 2011



    Par Velvet Press  pour http://musique.portail.free.fr



    Le nouvel album de Moriarty est un florilège de musiques du monde, dans le sens le plus noble du terme. Le groupe multi-ethnique et métissé revient avec "The Missing Room", un disque mêlant
    blues, jazz, sonorités klezmer et pop rock. Attention au décollage !



    Le grand public les a découverts avec leur hymne aux bisons sauvages, "Jimmy" (2006). Et pourtant, les six musiciens du groupe Moriarty jouent ensemble depuis le milieu des années 1990. Ils
    auront néanmoins attendu 2008 pour sortir leur premier opus sous le pseudo de Moriarty, en hommage au personnage du roman "Sur La Route" de l'écrivain américain Jack Kerouac. "Gee Whiz But This
    Is A Lonesome Town" sortira en octobre 2007 pour conquérir 50.000 mélomanes et les milliers de spectateurs présents durant leur tournée. En 2009, la formation compose et interprète la bande son
    du dessin animé "La Véritable Histoire du Chat Botté" réalisé par Pascal Hérold, Macha Makeïeff et Jérôme Deschamps, ces deux derniers étant les premiers à avoir mis Moriarty sur la voie du
    succès en co-produisant le premier CD de la formation. Originaires de France, des Etats-Unis, du Vietnam ou encore de Suisse, ses artistes cosmopolites s'inspirent beaucoup de la musique des
    années 1930 aux USA. La voix atypique de Rosemary (qui a rejoint le groupe en 1999), les guitares de Charles et Arthur, l'harmonica de Thomas, la contrebasse de Stephan et les percussions de
    Vincent, tout dans cette formation est cosmopolite. Avec leurs chansons, nous baladent d'un quartier yiddish d'Europe de l'Est à un club de jazz de la Nouvelle-Orléans, en passant par l'antre
    d'un vieux blues man ("Clementine"). Entre blues à la sauce western et pop sombre, "Where Is The Light" change la teinte du disque, lui-même volontairement enregistré comme un vieux vinyle,
    crépitant légèrement entre chaque titre. Tantôt mélancolique et acoustique ("Beasty Jane", "Serial Fields", "Roboto Hoshii"), tantôt plus dansant ("I Will Do", "How Many Tides (After Sean
    Sellers)"), le style de ce groupe est difficilement classable. Single phare de "The Missing Room", "Isabella" est un titre très folk et plutôt gai, à la manière de "Decaf'", "Julie Gold's Candy
    Cane Tale" et "The Dark Line In The Middle of Hope", morceaux chantés à deux voix sur fond de guitares de cow-boy et d'harmonica. Très travaillées, les chansons de ce deuxième album transpirent
    le multiculturalisme et la curiosité de ses compositeurs. Les sonorités nippones de "Mah-Jong" se sentiront en filigrane sur le titre final. Bien qu'il soit intégralement interprété en anglais,
    "The Missing Room" est un opus qui ne manque justement de rien, si ce n'est d'un peu de légèreté, tant les textes et les mélodies sont lourds de sens.



    Air Rytmo

     



    Tracklist :

    01. I will do

    02. Isabella

    03. Clementine

    04. Where is the light

    05. Beasty Jane

    06. Serial fields

    07. How many tides (after Sean Sellers)

    08. [ ]

    09. Decaf'

    10. Julie Gold's candy cane tale

    11. Mah-jong

    12. The dark line in the middle of hope

    13. Roboto Hoshii

    mp3


  • http://cdn.7static.com/static/img/sleeveart/00/004/119/0000411978_350.jpg

    http://www.carlesbenavent.net

    http://www.myspace.com/carlesbenavent

    http://www.josemicarmona.com

    http://www.myspace.com/josemicarmona

    Origine du Groupe : Spain

    Style : Flamenco , Jazz , Guitar , Instrumental , World Music

    Sortie : 2009



    By Luigi from http://lascintasrecuperadas.blogspot.com



    Carles Benavent and Josemi Carmona have locked themselves up in a recording studio and have recorded "Sumando", a happy encounter between flamenco and jazz. Each of them contributes what he has
    learnt during a long musical career; the end product are nine songs that do not stray from the rhytmic pattern or the emotion of flamenco. Chick Corea and Diego are featured as special guest
    artists.

    "Sumando" (Adding) is the first joint work by Carles Benavent and Josemi Carmona. The jazz bass player and the guitarist of Ketama have brought together their wide-ranging musical experiences to
    bring to life a flamenco-jazz record. It features nine themes that were composed and performed by themselves, with the accompaniment of other renowned musicians, from both the jazz and flamenco
    scenes, among whom those who stand out are Chick Corea and Diego el Cigala.

    In "Sumando", the bass and guitar are the protagonists of this happy coming together. However, these instruments and musicians are backed by other musicians such as Jorge Pardo (flute), Tino di
    Geraldo (drum kit), Juan Carmona Jr. (percussion), Bandolero (palmas, rhythmic hand-clapping) and Piraña (percussion). Moreover, Carles Benavent also plays the Ebow, keyboards, mandola and
    cittern; and Josemi Carmona plays the flamenco guitar, the acoustic guitar, the mandola and palmas.

    Benavent and Carmona contribute everything they have learnt during their long musical careers to "Sumando". Carles started to open up new horizons for current Spanish music in the 1970s with the
    band Música Urbana. Since then, he has become a reference on the jazz and flamenco-jazz scenes. His works have had an international repercussion through his cooperation with Miles Davis, Paco de
    Lucía, Quincy Jones and Chick Corea.

    Josemi Carmona possesses all the flamenco flavour of the Habichuelas and contributes all the baggage from his time in Ketama. And Josemi was able to add the experience of his encounters with
    international musicians like Toumani Diabate, Danny Thompson, Michel Camilo, Cheb Khaled and Caetano Veloso, among others, to the cross-breeding that Ketama’s flamencoised salsa pop already
    represented. Furthermore, "Sumando" is Josemi’s first recording work after Ketama



    Tracklist :

    01. Sencillito 3:01

    02. La garza 6:22

    03. Dama 4:46

    04. Skely 3:37

    05. Soleó 5:05

    06. Amic Joan 4:32

    07. El Galleta 4:31

    08. Okinawa 3:45

    09. Lupeando (a la memoria de Jaco) 3:29

    10. Lupeando II 2:17

    mp3


  • http://www.projectmooncircle.com/files/pmc052_cover_480px.jpg

    http://theq4.com

    http://www.myspace.com/quadraphoniq

    Origine du Groupe : Nederland

    Style : Abstract Hip Hop Jazz

    Sortie : 2010



    By  David Amidon From http://potholesinmyblog.com



    Sound Surroundings is, at a glance, easy to pigeon hole. Released on Germany’s jazz rap-oriented Project: Mooncircle, home of projects by John Robinson and CYNE, it’s not an album whose sound
    will surprise or shock you you. It is what one might expect a Project: Mooncircle, German producer album to sound like. However, under the surface there’s a little more to the record than that.
    The group’s name, Q4, stands for QuadraphoniQuartet, and it informs just about everything they do on the production tip. As the cover art implies, Sound Surroundings is certainly one of the
    year’s first headphone albums. There are a lot of details hidden in the pockets of this music that reward a big headphone budget, and when the details are lacking the main elements shine. The
    fidelity and sample chops here are definitely appealing.



    Unfortunately, like all producer albums the MCs leave a little if not a lot to be desired. One thing’s for sure, they add to the diversity of the album. Terryman does a reasonable impression of
    DJ Dusk on “Goin’ Down” and Curra Suarez provides a pretty dope cut that blends Mediterranean and Latin sensibilities with “Oscuros Angeles”, but BLS’ voice is a natural progression of Aesop Rock
    that takes too much effort to get into. PAX, on the other hand, is someone I’d just as soon not pay any attention to as pay barely any attention at all. I think it’s going to be no secret to
    those that cop this joint that the vocals are easily this album’s low point, and it’s ultimately a little confusing why they’re even here. They give Sound Surroundings a bit of a conscious
    purpose, but they still feel like vocals for the sake of vocals. I’m not sure why the group felt the need to have vocalists on these tracks, honestly.



    Not with the Deadringer-inspired “One of These Days” following a great “Intro”, or the dub experiment “Trouble With Me” closing out the setlist. No, this is definitely an album I would have
    preferred to hear an instrumental cut of. I think the Quadraphonic stuff is a little overrated, but really, what group obsessed with their own so-called unique production techniques doesn’t give
    off that vibe? Haterade aside I do really enjoy the first three tracks and the last three, but what lies in the middle is too dull and milquetoast for me to truly get behind. Q4 have a future in
    international jazz rap production if they can keep cranking out stuff like “Intro” and “Split Personality”. It will be interesting to see if they can harness their few unique qualities in the
    future and churn out a more entertaining album than Sound Surroundings. For now, though, Q4 qualifies as little more than a blogger-download curiosity.



    Tracklist :

    01. Intro

    02. One Of These Days

    03. Oscuros Angeles (feat. Curra Suarez)

    04. Demagogues (feat. Pax)

    05. Look Again

    06. Goin' Down (feat. Terryman)

    07. My Own Advice (feat. Unorthadox)

    08. Pulse (feat. BLS)

    09. Split Personality (Part II)

    10. Trouble With Me

    11. Trouble Dub (Outro)

    mp3