http://www.murcof.com

http://www.myspace.com/murcof

http://www.eriktruffaz.com

http://www.myspace.com/truffaz

http://www.talvinsingh.com

http://www.myspace.com/talvinsinghofficial

Origine du Groupe : Mexico , France , U.K

Style : Alternative Fusion , Experimental , Electro Ambient Minimal , Nu-Jazz

Sortie : 2006

Murcof is a Mexican Electronica artist. He infuses in his music classical themes and principles with Techno beats, all while keeping his music minimal and clean. His wonderful orchestral
arrangements personify the Techno beats and give them a whole new set of meanings.

Talvin Singh creates an innovative fusion of Indian bhangra music and Drum ‘n Bass Electronica. His education on the tabla is classical, in contrast his work to date is very club oriented.

Erik Truffaz, having been the son of a saxophone player, is a kind of born Jazz musician, and as such grew up in the scene, and performed since he was a child. His Jazz encompasses the
traditional, the experimental and even classical music.

These three have joined hands at the Montreux Jazz Festival 2006 in Canada Switzerland, playing live, each on his instrument: Murcof on the laptop, Truffaz on the trumpet and Singh on the tabla.
The pieces they did were composed by Murcof, and include new adaptations to some of his best works. The combination is superb, as it’s always a wonderful experience to re-experience great music
in new and wonderful ways. Unfortunately, there are currently no plans to release the recorded material from that performance.



by  http://tinyways.com

Tracklist :

01 Reflejo

02 Maiz

03 Mir

04 Ulysses

05 Rios

06 Resignacion

http://www.myspace.com/facecandy

Origine du Groupe : North America

Style : Rap Fusion Jazz

Sortie : 2006

"I wish I could be me". Tranquillement, sans faire trop de bruit, Eyedea poursuit son chemin… Et l'air de rien, il est en train de se construire une jolie petite discographie. On l'aime bien,
Eyedea. Même si après le désarçonnant et incroyablement personnel "First Born", beaucoup de ses adeptes de la première heure se sont détournés du parcours de celui qui fut le roi incontesté des
battles à l'orée des années 2000, il trace sa route sans trop s'en soucier. Quitte à rester dans l'ombre. Entre un essai solo marquant "The Many Faces of Oliver Hart" et une réunion
enthousiasmante avec DJ Abilities (le sous-estimé "E&A"), le petit protégé du label Rhymesayers semble avoir trouvé au fil des ans un équilibre entre son talent inné pour les punchlines et
ses aspirations d'écrivain refoulé.



Histoire de mieux prendre à contre-pied (son péché mignon) ceux qui croyaient l'avoir vraiment cerné à l'issue de son dernier essai commun avec Abilities, Eyedea a décidé de revenir à ses
premières amours pour son nouveau projet : la scène, les montées d'adrénaline, le goût du risque et de l'imprévu, le vertige du freestyle… mais sans mettre de côté pour autant son goût de
l'introspection. Pour marquer le coup, il s'est donc entouré au micro de la fine fleur des praticiens de la scène indé du Minnesota dans le domaine : son ami Carnage The Executor (souvent entendu
à ses côtés ces dernières années), Mazta I (mis en lumière par I Self Divine et Ant il y a peu) et Kristoff Krane (aka Chris Keller). Et comme Eyedea aime décidément se lancer dans l'inconnu, il
a aussi appelé deux jazzmen aventureux pour mettre en musique les élucubrations de son équipe de chocs. En lieu et place des beatmakers habituels, ce sont ainsi le bassiste Casey O'Brien et le
percussionniste J.T. Bates qui installent le décor de ces rencontres improvisées à plus d'un titre… Pour corser le tout, les 13 titres de ce nouveau projet ont en effet été créés et enregistrés
en live, sans filet. L'amour du risque.



Pourtant, dès le départ, lorsque Eyedea prend possession des premières mesures agitées de "This Is Where We Were", l'oreille se tend et l'adrénaline monte. Il n'est jamais évident de capturer sur
disque l'effervescence et l'énergie brute d'une performance scénique et les rares à s'y être aventurés s'y sont souvent cassé les dents. Pourtant, Face Candy y parvient dès l'ouverture de ce
magistral 'Witness Intimidation'. "Freestyle meets free jazz". Plongé au beau milieu du public, on prend de plein fouet l'activité incessante de batteries et de cymbales mises à rude épreuve,
l'agilité et la rondeur des basses, la répétition frénétique des notes par endroits et le changement permanent partout ailleurs. On entend les cris, les applaudissements, la réaction du public
suspendu à chaque phrase. On encaisse ce déluge de mots rebondissant avec appétit sur le beat, cette déferlante de flows hétéroclite, ces passages spoken-word inattendus. En une prise, en 8
minutes épiques, cette osmose rare entre une poignée de emcees et deux instrumentistes est gravée sur disque dans toute sa force, avec ses imperfections, ses transitions abruptes, ses moments de
grâce. Soyons francs: jamais par la suite, "This Is Where We Were" ne retrouve l'intensité et l'urgence de cette ouverture magistrale. Mais il s'en approche à de nombreuses reprises. Et c'est
déjà beaucoup.



Il faut dire que le terrain de jeu multisports et sans réelle limite proposé par la section rythmique de Face Candy donne une belle occasion aux quatre vocalistes de faire étalage de leur talent
d'improvisateurs. Entre le beatboxing expert de Carnage (intelligemment mis à profit en fin d'album) et les passages scatées occasionnels de certains de ses collègues, tout le monde se fait
plaisir. Si le phrasé criard employé par Kristoff Krane sur certains titres pourra irriter nombre d'auditeurs, la révélation de Mazta I devrait par contre mettre tout le monde d'accord.
Débarrassé des productions boom-bap trop balisées qu'il affectionne habituellement, cet habitué du Scribble Jam prend ici une nouvelle dimension en exposant son sens du groove et en s'imposant
comme un lieutenant de choix pour l'incroyable machine à rimer qu'est toujours Eyedea (Cf. 'Scream Therapy' pour l'entendre mettre le feu à la salle en deux-temps trois-mouvements).



Parfois fuyants, parfois omniprésents, mais constamment sur la brèche, Casey O'Brien et J.T. Bates font varier le tempo à leur guise et parviennent à apporter une diversité étonnante à ce projet
compte tenu du duo basse/batterie ultra-minimaliste auquel le groupe à décidé de se tenir. Bien entendu, en cours de route, certaines compositions sont plus ternes que d'autres (au hasard, 'Adult
Toys' ou 'Infant') et une certaine monotonie s'installe forcément vers la fin du disque. Sans trop prendre de risques, on peut penser que l'ajout d'un instrument à l'autre bout du spectre (cuivre
ou guitare par exemple) aurait sûrement donné plus de profondeur sur la longueur… Mais dans l'ensemble, en variant les rythmes et les atmosphères, en alternant tension et relaxation, en faisant
monter la sauce quand le besoin s'en fait sentir, les deux compères animent déjà très intelligemment cette petite entreprise. Lorsqu'ils se livrent à un bref tête-à-tête au beau milieu de 'The
Art of Faking Orgasm', on en vient même à se dire qu'ils auraient pu se ménager plus souvent de tels moments d'intimité. Mais ce sera pour une autre fois, car ici, c'est bien du côté des rimes
que l'intime trouve son temple.



"Take me for a walk through your mind". A chaque fois, le procédé est le même. Prenant comme base quelques rimes écrites (on le devine), les quatre emcees les emmènent peu à peu vers d'autres
horizons intérieurs, sondant leur esprit et leur inconscient, se livrant à une vraie psychanalyse sur sillon. Disséquant leurs comportements amoureux, mettant à jour leurs défauts ou se lançant
dans le récit d'histoires tordues et forcément tragiques, Eyedea, Mazta I et les autres ont clairement envie de prouver que le freestyle n'est pas qu'une question de punchlines. Il en résulte un
kaléidoscope d'émotions étrange, parfois mystique. "I don't have enough time to reconstruct all the things that fuck me up". Si cette approche pourra en rebuter certains, la rage contenue qui
habite chacun de leurs passages devrait en convaincre plus d'un.



Et puis, sinon, on doute qu'Eyedea, habitué aux confessions à cœur ouvert, se préoccupe encore du qu'en dira-t-on. A vrai dire, il s'en fout sûrement complètement. "How does the inside of
peoples' heads taste?" Aux dernières nouvelles, avec une partie de sa troupe, ils avaient adopté le patronyme de Carbon Carousel et s'orientaient vers des projets plus rock.... Une nouvelle façon
pour Michael de confirmer qu'il déteste cordialement les histoires cousues de fil blanc. "Live for what we fought for and fight for what we live for!"



En tout cas, à défaut de savoir ce que le futur leur réserve, une chose est sûre : avec "This Is Where We Were", Face Candy réussit la gageure, pour le moins rare, de nous proposer un album de
rap live qui tient la route de bout en bout. Pour imparfait qu'il soit, ce premier essai propose même dans ses meilleurs moments une synthèse idéale entre la liberté du jazz et la force de
conviction du freestyle. Tout est question de timing… et dans ce genre hybride et hautement risqué, on n'avait pas entendu mieux depuis le magique "The Way of the Cipher" de Steve Coleman &
The Metrics. C'était en 1995, il y a plus de dix ans. Autant dire une éternité.



par Cobalt pour http://www.hiphopcore.net



Tracklist :

01. Witness Intimidation

02. Pill

03. Life Jacket

04. Infant

05. Feeling Sprayed

06. The Art of Faking Orgasm

07. Buzz Kill

08. Adult Toys

09. Scream Therapy

10. Braille

11. Gun Powder

12. Disappearing

13. PILLOW BITE

http://www.myspace.com/derrick69morgan

Origine du Groupe : Jamaica

Style : Reggae Ska , Rocksteady

Sortie : 1969

From Wikipedia :

Derrick Morgan (born 27 March 1940, Mocho, Clarendon Parish, Jamaica) is a musical artist popular in the 1960s and 1970s.He worked with Desmond Dekker, Bob Marley, and Jimmy Cliff in the ska
genre, and he also performed rocksteady and skinhead reggae.



Biography



In 1957 Morgan entered the Vere Johns Opportunity Hour, a talent show held at the Palace Theatre in Kingston. He won with rousing impressions of Little Richard, and shortly after that, was
recruited to perform around the island with the popular Jamaican comedy team, Bim and Bam. In 1959 Morgan entered the recording studio for the first time. Duke Reid, the acclaimed sound system
boss, was looking for talent to record for his Treasure Isle record label. Morgan cut two popular shuffle-boogie sides "Lover Boy", a.k.a. "S-Corner Rock", and "Oh My". Soon after, Morgan cut the
bolero tinged boogie, "Fat Man", which also became a hit. He also found time to record for Coxsone Dodd.



In 1960 Morgan became the only artist ever to fill the places from one to seven on the Jamaican pop chart simultaneously.[2] Among those hits were "Don't Call Me Daddy", "In My Heart", "Be
Still", and "Meekly Wait and Murmur Not". But it was the following year that Morgan released the biggest hit of his career, the Leslie Kong production of "You Don't Know", later retitled
"Housewives’ Choice" by a local DJ. The song featured a bouncing ska riddim, along with a duet by Morgan and Millicent "Patsy" Todd.



"Housewives’ Choice" began the legendary rivalry between Morgan and Prince Buster, who accused Morgan of stealing his ideas. Buster quickly released "Blackhead Chiney Man", chiding Morgan with
the sarcastic put-down, "I did not know your parents were from Hong Kong" – a swipe at Kong. Morgan returned with the classic "Blazing Fire", in which he warns Buster to "Live and let others
live, and your days will be much longer. You said it. Now it’s the Blazing Fire". Buster shot back with, "Watch It Blackhead", which Morgan countered with "No Raise No Praise" and "Still Insist".
Followers of the two artists often clashed, and eventually the government had to step in with a staged photo shoot depicting the rivals as friends.



In the mid-1960s, when ska evolved into the cooler, more soulful rocksteady, Morgan continued to release top quality material, including the seminal rude boy classic, "Tougher Than Tough", "Do
the Beng Beng", "Conquering Ruler", and a cover of Ben E. King’s soul hit, "Seven Letters". Produced by Bunny Lee, "Seven Letters" is often cited as the first true reggae single.[3] In 1969
Morgan cut the famous skinhead anthem, "Moon Hop" (on Crab Records). However, failing eyesight then forced him to give up regular stage appearances. Morgan still performs occasionally at ska
revival shows across the world – often backed by the guitarist, Lynn Taitt. He remained popular in Jamaica and the UK into the early 1970s, and has lived primarily in the UK or the US since the
late 1960s.



In July 2002 in Toronto, Canada, a two night 'Legends of Ska' concert was held. Reuniting were The Skatalites, Lloyd Knibbs, Rico Rodriguez, Lloyd Brevett, Lester Sterling, Johnny Moore and Lynn
Taitt; along with Prince Buster, Alton Ellis, Owen Gray, Lord Creator, Justin Hinds, Derrick Harriott, Winston Samuels, Roy Wilson, Patsy Todd, Doreen Shaffer, Stranger Cole, Lord Tanamo and
Derrick Morgan.[4][5] In 2007 Morgan appeared on the bill at the annual Augustibuller festival. His song "Tougher Than Tough" was featured in the video game, Scarface: The World is Yours.

Pour de meilleures performances de lecture, mettez à niveau votre lecteur et passez à Flash Player 10. Mettre à niveau maintenant ou en savoir plus

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Tracklist :

A1 - Seven Letters

A2 - First Taste Of Love

A3 - How Can I Forget

A4 - Stand By Me

A5 - Don't Play That Song

B1 - One Morning In May

B2 - Come What May

B3 - Send Me Some Loving

B4 - Mek It Tan Deay

B5 - Gimme Back

B6 - River To The Bank

http://www.lisbethscott.com

http://www.myspace.com/lisbethscottmusic

Origine du Groupe : North America

Style : Folk , Alternative , Vocal

Sortie : 2005

On this exceptional album, Lisbeth incorporates world influences, irresistible pop hooks and folk sensibility to create a masterful and achingly lovely listening experience. From the first
strains to the last, these songs will open your eyes and heart to Creator’s presence, the divinity within all things, and the power of believing in love. It’s truly a magical, holy voyage. The
album opens and closes with “Reveal”, a beautiful, mysterious and tender piece, in which Lisbeth’s angelic vocals sparkle. “To Love And Be Loved” is a testament to the power of true love, with
it’s message that “we’re all here to love and be loved.” “Give” is a stunning song, with a wonderful Celtic feel, fantastic uplifting lyrics, and such sincerity! “All Of These Years” is a song
about second chances; with a fabulous pop vibe and a chorus you’ll sing all day! “Grace” is my favorite song from the album, showcasing Lisbeth’s range, and with lyrics that will bring you to
tears. It’s a powerful anthem! “Surrender” is a tender piece about giving your needs over to Creator, and Lisbeth’s delivery is truly superb. “No One But You” has great orchestration, a catchy
chorus, and as always, wonderful lyrics. “Stones” is all about forgiveness and release, and the lyrics will take your breath away with their sheer sincere intensity. The title track, “Passionate
Voice”, is a magical song about how our ancestors understood the union and oneness of God and humanity. It is very thought provoking, to be certain. Lisbeth is a fantastic singer, and a glorious
lyricist. Her passion is evident in every song, as is her beautiful spirit. Join her on this awesome journey. You’ll be so glad you did!!! Worth every cent. A magical masterpiece. Highly
recommended!!!



by Kim Loftis from http://www.cdbaby.com

Tracklist :

1. Reveal

2. To Love And Be Loved

3. Give

4. All Of These Yea

5. Grace

6. Surrender

7. No One But You

8. Stones

9. Passionate Voice

10. Reveal (Reprise)

http://www.mrsomethingsomething.com

http://www.myspace.com/mrsomethingsomething

Origine du Groupe : Canada

Style : Alternative Fusion , Afrobeat , Funk Jazz , World Music

Sortie : 2009

The latest issue of Penguin Eggs, Canada’s leading magazine devoted to folk and roots and world music, features a very positive review of Shine Your Face. Here’s the album write-up in its
entirety:



From way out in left field comes this superb release, their third, spreading wide  the gates of listener-friendly world music, but based out of Toronto. From a first listen, it grabs you
with its busy rhythmic pulse and stop-on-a-dime horn section recalling Osibisa, another original band known for blending African and Western musics.



Yet this infectious five-piece band grafts each sensational track together with smart pop hooks held in place by a gifted and extraordinary singer in Johan Hultqvist—adding accessibility to what
is otherwise a high-torque melding of funk, jazz and Afrobeat (each of which is far too limiting in defining this crackerjack band).



Special attention is also due the divine marriage of John MacLean’s tenor sax (and guest horn section) to Larry Graves’s precision drumming. The resulting wall of sound is spiced up nicely (but
never enough) by Paul MacDougall’s guitar lines and the fleet-fingered bass work of Liam Smith.



The opening track serves immediate notice that this is something fresh and impossibly involving, its complex rhythms giving way to a phenomenally stimulating listen. Each of its eight tracks is
its own highlight, an added plus found in the band’s smart lyrics—at once socially conscious and politically motivating. Why Why Why and What Are You Waiting For? alone make the perfect
soundtrack to the summer that never came to Eastern Canada.



– By Eric Thom  from http://www.mrsomethingsomething.com

Tracklist :

01 - The Antidote [05:13]

02 - Only The Maker [04:55]

03 - Make Your Mind [06:29]

04 - Why Why Why [06:03]

05 - City Of Sand [06:44]

06 - Through The Dirt [02:00]

07 - What Are You Waiting For? [05:53]

08 - Make Your Mind Part II [03:24]

Origine du Groupe : Jamaica , U.K , France

Style : Dub , Electro Dub

Sortie : 2006

Enfin le dub a son DVD. On l’attendait, impatiemment, cette pièce rare et unique que nous a concoctée Nathalie Valet sur son sujet favori, sa passion, le DUB.

Composé d’un DVD et d’un cd audio, je m'attacherais a parler uniquement du dvd, le cd contenant un ensemble – très classique mais nécessaire – regroupant les meilleurs protagonistes de la scène
dub.

Le DVD nous fait voyager, par l’histoire de cette musique, de l’erreur jamaïquaine qui a donné naissance au style, aux terres UK et la culture sound system dominante pour finir en Europe, de la
France – fief des lives instrumentaux - à la Hollande. Les interviews, entrecoupées de séquence live ou d’images incrustées (pochette d’albums & vinyls, flyers…), sont enrichissantes et
instructives. Chacun y met de son expérience personnelle, nourrissant considérablement l’histoire particulière du dub, style qui aura donné naissance à un nombre insoupçonné de courants musicaux
(des musiques électroniques au r'n'b, si si).



Tout commence bien évidemment par Lee Perry, le dernier acteur principal jamaiquaïn de l’émancipation du dub dans le monde. Considéré à la fois comme un extravagant mystique et un producteur de
génie, il définit subtilement le dub dans la pure tradition jaja. Ensuite David Katz, spécialiste du reggae/dub jamaïcain, biographe de Lee Perry et auteur de livres comme Solid Foundation: An
Oral History of Reggae ou People Funny Boy, connait bien l’histoire du dub, au point qu’il nous en fait un historique poignant et authentique, de l’erreur de Ruddy Redwood, de l’immersion et
l’amour pour cette culture par le KING Tubby, de l’engouement provoqué en Jamaïque puis de son déclin (toujours en jaja) par l’arrivée soudaine du dancehall. Un déclin, certes, mais pour revenir
en force sur d’autres terres : l’Angleterre.

Tout sera différent désormais pour le dub, les sounds systems anglais fleurissent sous la main de Jah shaka. D’où les logiques interviews qui s’enchaînent : Disciples, Bush Chemist, Mad
Professor, Manasseh, Zion Train, Adrian Sherwood, Iration Steppas, les big boss du mouvement outre manche racontent leur histoire et leurs anecdotes, ainsi que leur conception de cette musique.
Ensuite, la caméra traverse la manche pour aller rencontrer nos meilleurs fleurons français. High Tone bien évidemment, Improvisators dub, Zenzile, Brain damage et enfin dans la continuité de
l’Europe, en Suisse avec les Cultural Warrior, en Belgique avec Ashanti3000 et Hollande avec King Shiloh.



Ce qu’il en ressort au premier visionnage, c’est cet enthousiasme de tous pour le dub, le positivisme qui donne chaud au cœur. Non le dub n’est décidemment pas mort et bien au contraire, offre
des possibilités sans limite. Chacun en est conscient même si le choc des générations, inévitable, est particulièrement intéressant. Côté production, le DVD n’en fait pas trop et le côté
underground du dub ressort correctement.

Au niveau des bonus, cerise sur le gâteau du dvd, le live. On a droit à un live de chaque interviewé. Le son est bon et selon l’équipement sonore de chacun, la dimension du live est bien rendue,
en particulier les bass des sound system (et on en redemande !) ou mon coup de cœur habituel, le Brain booster Live de Brain damage…

Mad Professor nous fait une petite démo dans son studio de Ariwa : bof, ok c’est un grand monsieur mais il le sait et ça se voit… Pour finir, vous pourrez y trouver des infos diverses.



Chapeau pour Nat’ qui nous offre un bijou à conserver et à diffuser abusivement partout. Ce DVD est un excellent moyen de découvrir l’histoire du dub, aussi bien pour les novices qui en
apprendront beaucoup que les passionnés qui y verront un véritable coup de cœur. Merci Mademoiselle pour ce travail !



Chroniqué par Kiteklat pour http://www.dmute.net



Tracklist :

01 - Lee Scratch Perry - Voodoo

02 - Disciples - Imperial Stepper

03 - Zion Train & Peter Broggs

04 - Bush Chemists - Foot Step Dub

05 - Manasseh & Natty P - Skenga

06 - Cultural Warriors - Righteousness

07 - Improvisators Dub - Be Yourself (lyrics by Asney)

08 - Weeding Dub - Long Way

09 - King Shiloh - Love in a higher region

10 - Iration steppas - Warrior

11 - Zenzile - Up is a long way to go

12 - High Tone - Sushit

13 - Brain damage - Fenêtres (feat Mohammed El Amraoui)

http://www.biribiriband.com

http://www.myspace.com/biribiriband

Origine du Groupe : Grece

Style : Funk , Alternative Fusion

Sortie : 2009

Biri Biri have made a hell of a good album (which btw, sounds even better live, where they play covers, too). A hell of a good album, I say. This is good fusion as we know it: damn funk,
intelligent and very fun, the musicians know the deed, lots of instruments (sax, trumpet, bongo, cowbell, cymball, drums, bass, etc), it's upbeat (mostly in the second part of the album), it's
the bomb, i tell ya. Music to move the body and get the chicks to the next drink. These guys must hit on chicks all summer long down at their base, Crete island. "Killing Me Woman" is my
favourite track.



by http://stopthatsound.blogspot.com

Tracklist :

1. Breaking Stones (5:16)

2. Chlup (5:11)

3. Tsu Tsunation (5:48)

4. Doze 8 (6:43)

5. Killing Me Woman (3:26)

6. Walslante (6:05)

7. Wake Up (3:54)

8. Jacket (5:44)

9. Matala (5:22)

10. Dirty Boy (4:52)

11. Wrong Way (7:08)



vocals: Mihail-Paul Mihailos

guitar: Manos Kamaratos

bass: Yorgos Diapoulis

drums: Vasilis Papadourakis

trumpet, rudal heater: Simeon Delikaris-Manias

trumpet, woodblocks: Nikos Lavranos

tenor saxophone: Yorgos Tsotsis

bongos, congas, timbales, shaker, cowbell, cymbals : Christos Sayient

sound engineer: Markos Pinakoulakis

...

guest percussionist:

cajon, pandero, darbouka, small chinese Gong: Yiannis Moutsakis

frame drum: Yiannis Papayianoulis

http://www.myspace.com/ijahmanlevilive

Origine du Groupe : Jamaica

Style : Reggae

Sortie : 2003

Ijahman Levi has one of the sweetest voices and the most harmonising lyrics of the past few decades. He has sometimes been bypassed by many Roots music lover and often overlooked as a
quality international artist. “On A Journey” features two live events, the first in England and the second recorded in France. There are also some one-on-one interviews with the man
himself, in fact the film opens with Ijahman sitting on his mother’s grave in Jamaica singing “Jah Heavy Load”. You then get a quick tour of his then house before the music starts with the
awesome “Africa”, need I say more.



There are many top moments from the film, including some of his biggest hits and as always excellent musicianship from Carl and the rest of the band.



One of my favourite bits is when we see Ijahman’s 11th child, his new born daughter and the comment is made “InI blessed that Ijahman still has the gift of life”. Having stage managed a UK
tour with Ijahman, I understand his philosophy and the hard journey he has had. He is a gentle man that demands nothing except quality from his musicians and your time to listen to his
story in musical rhyme.



It’s pretty hard to find this DVD in the shops or online but there are a few places offering it, I found it at BlakaMix Shop but cannot vouch for the service, as I was fortunate to get my
copy from the man himself. However, if you get the chance it’s well worth it, some seriously thoughtful tunes and a small insight into the quality artist that is Ijahman Levi.



Respect as always..



Reviewed by Dean Marcel from http://www.ukreggaeguide.co.uk



Tracklist :

1. Africa

2. President Mandela

3. Burn Burn

4. Book Of Prophecy

5. Are we A Warrior

6. Knock Knock

7. Lets get Eclipse

8. I Want To be Free

9. Beauty & The lion

10. Bob & Friends Over There

11. Armegeddon Warrior

12. Jah Heavvy load

13. Moulding



Bonus tracks in Jamaica



1. jah Heavy Load

2. Mister CB

3. Buffalo People 

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http://www.myspace.com/fleetfoxes

Origine du Groupe : North America

Style : Pop Folk Baroque , Vocal

Sortie : 2008

Groupe indépendant de pop-folk baroque, les Fleet Foxes viennent de Seattle.



Le groupe est composé de cinq membres, Robin Pecknold(chant, songwriting), Skyler Skjelset(guitare, mandoline...), Casey Wescott(claviers), Christian Wargo(bassiste) et Nicholas
Peterson(batterie), qui jouent tous plusieurs instruments. Robin Pecknold écrit les chansons de Fleet Foxes, au style auto-défini comme de la "confiture pop baroque et harmonique."



Signé sur Sub Pop et Bella Union, ce groupe de doux rêveurs débute sa carrière discographique en février 2008 avec la sortie de l’EP Sun Giant aux USA. Le groupe surprend par un son qui emprunte
des aspects très classiques au rock, au folk et même aux chants médiévaux. Le site américain Pitchfork les encense et les personnes les ayant vus sur scène rejoignent son avis. Ne pas se fier à
leurs barbes et leur chemises à carreaux qui ne laissent pas transparaître leur musique spirituelle, délicate et lumineuse.



Le premier LP du groupe sort en 2008. Un second album est d’ores et déjà programmé pour 2009, et serait composé de 7 morceaux, long de 25 minutes chacun. Après un passage à la Flèche d'Or au
printemps 2008, le groupe revient fin 2008 pour une programmation au festival des Inrocks.



par http://musique.fluctuat.net

Tracklist :

01 - Sun it Rises

02 - White Winter Hymnal

03 - Ragged Wood

04 - Tiger Mountain Peasant Song

05 - Quiet Houses

06 - He Doesn't Know Why

07 - Heard Them Stirring

08 - Your Protector

09 - Meadowlarks

10 - Blue Ridge Mountains

11 - Oliver James

http://www.myspace.com/capitainecrochet

Origine du Groupe : France

Style : Abstract Hip Hop , Beatmaker , Electro

Sortie : 2010

About



Capitaine Crochet is a fresh french beatmaker and hip-hop enthusiast. He is always looking for some talented cats (should they be singers, emcees, instrumentalists or beatmakers) to collaborate
with, so if you're feeling the vibe just send him a message and he will get at you ASAP.



Should you want to use a Crochet Beat for a commercial project, we can also have a deal. Arrangements to existing songs can of course be made, as well as "sur mesure" instrumentals, according to
your needs. You can check Capitaine Crochet's whole catalogue and old collaborations if you desire. Again, do not hesitate to ask if you're interested.



Thanks for the visit. Greetings from France,



Capitaine Crochet.



http://www.myspace.com/capitainecrochet