-
Note : ++
http://www.nickcaveandwarrenellis.com
Compagnons de route, depuis de nombreuses années, au sein des Bad Seeds, Nick Cave et le barbu Warren Ellis signent ensemble des musiques de films intenses et passionnantes regroupées pour la
première fois sur un double CD : "White Lunar".
Ceux qui ont vue le film "The Assassination of Jesse James by the Coward Robert Ford" (2007) ne pourront pas oublier la somptueuse partition écrire par le duo qui venait parfaitement bien
accompagner les images, non moins superbes, du réalisateur Andrew Dominik pour un western d’une intensité et d’une beauté remarquable.
En plus de la bande originale de "The Assassination of Jesse James…", figurent sur "White Lunar" des composition écrites pour le film" The proposition" (2005), mais également pour l'adaptation au
cinéma de roman de Cormac McCarthy "The Road" ainsi que des documentaires ("The English Surgeon", "The Girls of Phnom Penh") qu’une poignée d’inédits. Au total près de 1h45 de musiques
contemplatives, dépouillées et fantomatique, aux tonalités claire-obscures, et à vrai dire totalement captivantes… que l’on ai vu les images ou pas.
Par Pop , Revue , Express
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Origine du Groupe : Australia
Style : Electro Acoustique , Ambient , Experimental
Sortie : 2009
Tracklist :
CD 1
1. Song For Jesse
2. Moving On
3. What Must Be Done
4. Song For Bob
5. Happy Land
6. The Proposition 1
7. The Road To Banyon
8. The Rider 2
9. Martha's Dream
10. Gun Thing
11. The Rider Song
12. The Road
13. The Mother
14. The Father
15. The Beach
16. The Journey
17. The Boy
CD 2
1. Srey Leak
2. Me Nea
3. Rom
4. Halo
5. Zanstra
6. Black Silk (Suture)
7. Brain Retractor
8. Dandy Brain Cannula
9. Rat’s Tooth Forceps
10. Kerrison’s Punch
11. Micro
Sucker
12. Window
13. Daedalus
14. Magma
15. Cheata
16. Sorya Market
-
Note :
http://www.myspace.com/ianbrown
Collecting the best of Ian Brown's solo tunes together is more than a treat for his fans. It's evidence of how far King Monkey has come in the eight years since he launched his solo career.
Brown has matured his sound, grown into his beats and found a niche that constantly pushes him further away from the Roses. He's cast off the shadow of his former band and become a star all over
again.
Credit must be given to his collaborators - UNKLE and Noel Gallagher to name just two but Brown is more than capable of producing excellent tracks on his own. "F.E.A.R." stands out as the best.
Potent strings emphasize a fantastic lyric, and everything's underpinned by simple driving beats. If ever there was an argument not to resurrect the Roses, this is it.
We should give thanks that Ian has resisted pressure to join John, Mani and Reni for a cash-in reunion. There's plenty more to come from The Greatest.
by Jack Smith
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Origine du Groupe : U.K
Style : Alternative Fusion
Sortie : 2005
Tracklist :
01. My Star (Brown/Ibrahim)
02. Corpses In Their Mouths (Brown/Ibrahim)
03. Can't See Me (Bacon & Quarmby Remix)
04. Be There (UNKLE Ft Ian Brown)
05. Love Like A Fountain (Single Version)
06. Dolphins Were Monkeys (Single Version)
07. Golden Gaze (Single Version)
08. F.E.A.R.
09. Whispers
10. Forever And A Day (Greatest Version)
11. Keep What Ya Got
12. Time Is My Everything
13. Longsight M13
14. REIGN (UNKLE Ft Ian Brown)
15. Lovebug (Greatest Version)
16. All Ablaze
17. Return Of The Fisherman
-
Note :
Originaire de Suède, Koop est un duo Electro-Jazz composé de Oscar Simonsson et Magnus Zingmark. Leur parcours commence en 1997 avec l’ expérimental et minimaliste »Sons Of Koop ». En 2001
l’album « Waltz For Koop » se veut plus jazz, du coup le style s’affine et l’identité du groupe se révèle. C’est en 2006 que Koop sort l’album « Koop Islands », un disque pillé par les
compilations Lounge et Downtempo et dont le titre « Koop Island Blues » continue d’apparaître sur certaines 4 ans plus tard ! La sortie de leur Best Of le mois dernier est l’occasion
parfaite pour vous faire découvrir les titres qui ont fait leur renommée.
par Musicalicious
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Origine du Groupe : Sweden
Style : Electro Jazz
Sortie : 2010
Tracklist :
01. Koop Island Blues
02. Waltz For Koop
03. Come To Me
04. Forces ... Darling
05. Summer Sun
06. Let's Elope
07. Tonight
08. Strange Love
09. Glomd
10. Baby
11. I See A Different You
-
Note : +
http://www.myspace.com/thealbumleaf
Un peu plus de trois ans après le sympathique Into The Blue Again, 2010 marque le retour aux affaires de The Album Leaf avec la parution d’un nouvel opus A Chorus Of Storytellers accouché sur la
longueur (et dans la douleur ?) suite à une panne prolongée d’inspiration de son leader.
Assez rapidement une sorte de malaise s’installe car, même une écoute prolongée, on peine à deviner les intentions de Jimmy LaValle. Tiraillé entre nécessité de ne pas couper le cordon le liant à
ses premières productions solitaires et volonté d’impliquer davantage ses comparses en studio comme en témoigne le titre de l’objet, le frontman de la formation de San Diego s’éparpille sans
parvenir à canaliser son inspiration. Assez paradoxal dans la mesure où, à de trop rares exceptions, tous les titres s’avèrent calibrés dans le temps mais surtout bâtis sur des structures
rigoureusement similaires : tapis d’electronica, violons mélancoliques et chant pop mis en avant. Pour un résultat en forme de chill-out folk/post-rock/ambient guère emballant. En effet, cette
succession de paysages cinématographiques apparaît désespérément linéaire, comme dénuée de relief. Plus ennuyeuses sont définitivement ces parties de cordes sonnant comme du Dirty Three sans
inspiration ("Blank Pages" ou "Within Dream") ou comme une sorte d’Explosion In The Sky édulcoré ("Summer Fog"). Certes galvaudé depuis longtemps, ce genre d’envolées lyriques puisait sa force
dans la rupture qu’elles créaient avec le reste du morceau. Là, point de rupture, rien… juste un ensemble de violons amorphes et sans vie. Sans parler de ces rythmiques électroniques tellement
cheap et bancales qu’elles en deviennent rapidement gênantes. Ces babioles mises à part, A Chorus Of Storytellers demeure un disque souvent agréable à écouter et toujours admirablement bien
réalisé par le partenaire habituel de Sigur Rós (Biggi Birgisson). Très beau mais très ennuyeux également.
par Froggy's Delight
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Origine du Groupe : North America
Style : Electro Ambient , Downtempo
Sortie : 2010
Tracklist :
01. Perro
02. Blank Pages
03. There Is a Wind
04. Within Dreams
05. Falling from the Sun
06. Stand Still
07. Summer Fog
08. Until the Last
09. We Are
10. Almost There
11. Tied Knots
-
Note :
http://www.myspace.com/tutupuoanemusic
Tutu released her debut album Song in May of 2007, with a small Ducth label, Saphrane. She recorded Song with her trusted working trio of three years, consisting of the talented Belgian pianist,
Ewout Pierreux , who is fastly becoming a household name in the Belgian Jazz scene and is also one of Toots Thielemans favorite accompanists, the young Dutch drummer Jasper Van Hulten, who is the
regular drummer for the Dutch trumpet player, Eric Vloeimans, and also from the Netherlands, the bassist Guus Bakker. The album also features the great Belgian trumpeter Bert Joris, Dutch
saxophonist Mete Erker and Belgian guitarist Geert Hellings.
by GuessNot4Me
Origine du Groupe : South Africa , Belgium
Style : Jazz World , New Jazz
Sortie : 2008
Tracklist :
1. Just about everything
2. That's all
3. For the time being
4. Rejoice
5. Prologue to...(he needs me)
6. He needs me
7. You are my sunshine
8. Mango picker
9. Song
10. A case of you
11. Ke a go leboga
-
Note :
http://fr.wikipedia.org/wiki/James_Brown
http://www.godfatherofsoul.com
Une compilation de morceau jazz de James Brown, jamais sortis auparavant .
Origine du Groupe : North America
Style : Soul , Jazz
Sortie : 2007
Tracklist :
1. That's My Desire [Alternate Mix]
2. After You're Through [Alternate Extended Version]
3. Tengo Tango
4. Home at Last [Alternate Mix]
5. All About My Girl
6. There
7. All the Way
8. Why (Am I Treated So Bad)
9. What Do You Like [Stereo Single Edit]
10. Cottage for Sale [Alternate Mix]
11. Go on Now [Alternate Mix]
12. For Once in My Life [Alternate Mix]
-
Note :
Le second album solo de Pura Fé, Amérindienne Tuscarora, s’ouvre par un chant traditionnel qui glisse bientôt vers des accords bluesy joués par une guitare lap steel. C’est sur ce canevas
atmosphérique que la voix de Pura Fé, languide et lumineuse, prend son élan, vers des cîmes de grâce dont elle ne redescendra jamais. Une reprise de "Summertime", gravitation superbe d’aisance,
confi rme que la fl uidité avec laquelle sa voix se meut entre les instruments, acoustiques toujours, doit beaucoup aux chanteuses de jazz. Magnifi quement habitée dans l‘ensemble, l’album pêche
toutefois par un manque de variété rythmique et harmonique. On rêve d’une véritable fusion entre ces blues teintés de jazz et les chants indiens qui les enserrent.
par Benjamin MiNiMuM
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Origine du Groupe : Seattle,WA & Tuscarora Nation of, North Carolina (Etats-Uni)
Style : Folk , World
Sortie : 2007
Tracklist :
1. My People My Land, Pt. 1 - North Carolina Jam Sessions
2. If I Was Your Guitar (I d Be the Happiest Woman Alive)
3. Summertime
4. Let Heaven Show
5. Little Girl Dreaming
6. Hold the Rain, Pt. 1
7. Hold the Rain, Pt. 2
8. Follow Your Heart s Desire
9. Love Like Mine
10. People You Love
11. Home
12. Quiet Moments
13. My People My Land, Pt. 2
-
Note : ++
http://telepathemusic.com
http://www.myspace.com/telepathe
"Dance Mother" est un premier disque qui tient ses promesses mais nous laisse un peu dubitatif. Il faut dire qu’à l’origine, Telepathe est un duo dont le premier EP se voulait assez noisy. Alors
quand on s’aperçoit que Busy Gangnes et Shahin Motia ont choisi d’abandonner les expérimentations bruyantes et autres distorsions pour se tourner vers les voies de l’électronica, on est un peu
surpris par l’aridité de l’ensemble.
Difficile de dégager un sentiment plutôt qu’un autre dans la musique de Telepathe tant les compositions semblent traverser notre époque avec un sentiment de détachement quasi salutaire. Dès les
premières notes de So Fine, l’électro minimaliste de Telepathe nous plonge immédiatement dans une ambiance froide qui nous rappelle les balbutiements de la New Wave. Mais l’humeur des deux filles
de Telepathe ne semble pas être à l’hédonisme tant leur musique sonne comme un lendemain de fête trop difficile. Dans ces conditions, on a du mal à accrocher à l’electro-clash de Chrome’s On It,
seule ombre au tableau de ce disque austère.
Mais au milieu de cette ascèse, on retrouve certains éléments de style de TV On The Radio – David Sitek a produit "Dance Mother" - sur In Your Line, tant le morceau pourrait sonner comme une
chute de studio du groupe. Batterie tribale, synthétiseur vaguement réverbéré et voix distanciées sont au cœur de ce titre qui constitue indéniablement la réussite de ce disque en demi-teinte.
Parmi ces atmosphères sobres on gardera aussi Lights Go Down dont les blips concassés tentent une sortie progressive de ces ambiances glaciales. Cette touche de concupiscence sera de courte
durée, le reste du disque retombera rapidement dans sa distance ultra raisonnable.
Ce premier disque d’une nouvelle sensation de ce début d’année est plutôt bien ficelé, malgré un ton impassible qui risque de se finir aussi par une distance de notre part. Gageons qu’au delà de
la performance technique, Telepathe saura mettre une touche de sensualité dans son prochain album.
Par Mathieu
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Origine du Groupe : North America
Style : Electro Pop , Drum & Bass , Psychedelic
Sortie : 2009
Tracklist :
01. So Fine
02. Chrome's on It
03. Devil's Trident
04. In Your Line
05. Lights Go Down
06. Can't Stand It
07. Michaël
08. Trilogy : Breath Of Life, Crimes And Killings, Threads And Knives
09. Drugged
Link Censored DMCA request
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Note :
http://www.myspace.com/hellohighplaces
http://hellohighplaces.blogspot.com
High Places est un duo mixte américain dont on avait apprécié le premier album, surfant sur la vague Animal Collective avec une simplicité pop qui s’éloignait des prises de tête conceptuelles.
Leur retour ne déclenchait pas une attente hystérique en notre chef je dois bien dire. Un peu à tort parce que la bonne surprise vient d’une vraie pulsation, d’un un rythme indéniable. The
Longest Shadows est ainsi immédiatement assimilable, sympathique dès les premières secondes de la première écoute.
On Giving Up est encore meilleur, avec sa basse un peu dark et entêtante, comme une encontre improbable entre Siouxie et Animal Collective dans la grande profondeur d’une piscine. C’est encore
une fois le son qui emporte l’adhésion de cette bombe froide qui se place comme un des incontournables de cette année qui s’essouffle un peu. Donc on peut dire ce ces deux premiers morceaux me
sont apparus comme d’excellents titres new-wave déviants. Il faudra attendre la mélopée d’On A Hill In A Bed On A Road In A House ou le When It Comes final (qui reprend ce son de ‘guitare’ plein
de chorus assez froid) pour que le niveau retrouve les hauteurs des deux premiers morceaux.
Entretemps, cette pulsation aura un peu manqué, ce qui aura rendu cet album passionnant par intermittence seulement. Canada par exemple, s’il ne démérite pas avec sa guitare triturée, ne parvient
pas à rester en mémoire. Je vous accorde également que ce n’est pas le sifflotement qui est le but ultime d’une musique pareille. Même si Constant Winter pourrait l’être sans trop de
problèmes.
La voix est toujours complétement planquée sous des tonnes d’effets. Haut perchée, elle reste charmante et distanciée, mais sur la longueur, elle semble souvent utiliser les mêmes procédés.
Cependant, elle n’est pas présente partout vu que certains titres sont instrumentaux, comme The Channon ou Drift Slayer, drone que viennent relancer des percussions. Comme chez Atlas Sounds,
autre adepte du tripatouillage sonore aquatique, ces morceaux valent plus pour leur contribution à l’ambiance générale que pour être écoutés individuellement.
La réserve qu’on puisse avoir sur cet album, c’est que les morceaux qui ont une rythmique plus marquée, un enjeu plus important sont bien plus réussis que les plus contemplatifs. On ne va pas
citer ces titres jamais désagréables mais ils participent à une certaine dilution de l’album. C’est sans doute ce qui est l’origine d’une cote relativement basse alors que les quelques coups
d’éclat sont assez éblouissants dans leur genre pourtant encombré. Pour sa fraîcheur et le niveau de ses meilleurs titres, on le recommandera à tous les esprits un peu curieux.
par Marc
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Origine du Groupe : North America
Style : Electro , Psychedelic, Drone
Sortie : 2010
Tracklist :
1 The Longest Shadows
2 On Giving Up
3 She's A Wild Horse
4 The Channon
5 Canada
6 Constant Winter
7 On A Hill In A Bed On A Road In A House
8 Drift Slayer
9 The Most Beautiful Name
10 When It Comes
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Note :
http://en.wikipedia.org/wiki/Terumasa_Hino
Terumasa Hino
Long considered a jazz legend and Japan’s foremost trumpeter, Terumasa Hino has played with almost all the jazz heavyweights throughout the past half century, from Gil Evans and Elvin Jones to
Herbie Hancock and Chick Corea. Born in Tokyo in 1942, Hino made his professional debut at the tender age of thirteen, drawing his main inspiration from Freddie Hubbard and Miles Davis.
For the first few years of his career, Hino was something of an opportunist, even jumping open Japan’s early ‘60s eleki bandwagon with the cash-in LP TRUMPET IN BLUEJEANS. However, his fiery
temperament and ‘large brilliant tone’, as The Grove Dictionary of Jazz termed it saw Hino’s late ‘60s work increase both in output and quality, and his 1969 Columbia LP HI-NOLOGY as The Terumasa
Hino Quintet was extremely successful commercially.
****
Fast, extremely energetic fusion jazz album (with the emphasis on jazz). Hino leaves no doubt that he is indebted to Miles Davis; one of the tracks is titled "Like Miles" (and sounds very much
like Miles). And yet, Hino is no Miles clone. In fact, on this 1969 recording Hino ventures into realms that Miles hadn't really visited yet. After Filles de Kilimanjaro, Miles' records were
assembled in the studio from snippets, and his live recordings were mostly extended jams of large ensembles. Hi-Nology is much more straightforward and concrete. Whereas Miles became interested
in texture, Hino, despite the fusion idiom, also keeps a footing in hard bop. Therefore, songs are never abandoned for patterns, and when the solos deconstruct a theme, they will always
eventually piece it together again. If Freddie Hubbard hadn't gone all gooky in the late 1960s, you could image him playing like this.
A very interesting album, much recommended.
And the cover is way beyond cool.
PS. This is the ORIGINAL 1985 CD release. The bonus tracks on the 2005 reissue are best ignored. They lack the electricity, wild energy and funky rhythm of the other tracks and instead present
somewhat clichéd melody lines. They also completely subvert the mood of the album.
By postman99
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Origine du Groupe : Japan
Style : Jazz World , Jazz Fusion
Sortie : 1969
Tracklist :
1. Like Miles 9'54"
2. Electric Zoo 12'30"
3. Hi-Nology 14'29"
4. Dupe 7'02"