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Note :
http://www.myspace.com/migyamatna
http://www.myspace.com/djaziasatour
Origine du Groupe : France
Style : Trip Hop , Alternative
Sortie : 2004
Tracklist :
1. Sad society Song
2. Au nord de mon enfance
3. H'djendjell
4. Concrete jungle
5. Down
6. Badaboom
7. Antipodes
8. Leaving beth
9. Bright ball
10. Dhikrayat
11. My town (Padam)
12. M'nama
13. M'nama (dub)
14. Takaré
15. Let me
16. MmaniNous avions laissé MIG avec un maxi éponyme plutôt prometteur et ils nous reviennent avec Dhikrayat, un album aux sonorités très diverses mais qui s'accordent sur un point : faire plaisir à nos oreilles.
Une particularité de MIG qui avait beaucoup plu, c'était ce mélange de sons typiques du trip-hop avec des sons influencé par la tradition musicale arabe. Qu'on se réjouisse, on en aura a satiété et s'en jamais en avoir marre. Quand le chant est portée par une voix comme celle de Djazia Satour, on ne peut qu'en redemander.
L'album démarre sur un titre déjà présent sur le premier maxi Sad Society Song. Même si on connaît déjà la chanson, c'est loin d'être une corvée de la réentendre. Le titre Leaving Beth est lui aussi tiré du premier maxi, et là aussi c'est agréable de le réécouter. Leaving Beth est vraiment un titre très beau aux paroles très étrange.
MIG se permet aussi de reprendre fort élégamment deux chansons. Tout d'abord le titre de Bob Marley, Concrete Jungle, fatalement fort différente et incroyablement jolie. Le morceau Bright Ball quant à lui est une adaptation plutôt réussie du titre The Power of Equality des Red Hot Chili Peppers. Mais en réalité, à part le refrain, il n'y a plus rien grand chose en commun.
On a beaucoup qualifié MIG de «trip-hop arabisant » ce qui est quelque peu réducteur. Bien sûr, on ne peux pas nier l'influence du trip-hop et des musiques orientales, il faudrait être totalement sourd pour l'affirmer. Mais MIG va aussi chercher du coté de l'acoustique comme on peut l'écouter sur Down ou Au nord de l'enfance, aussi bien que du coté de l'electro bien repérable sur les instrumentaux. Badaboom et l'excellent M'nama (dub). Les nouvelles compositions des musiciens de MIG sont vraiment peaufinées à l'extrême et lorsque la voix de Djazia vient se poser sur les mélodies, alors là, ah, alors là, c'est beau quoi. Que le chant soit en français, en anglais ou en arabe, l'émotion est la même, il suffit d'écouter Antipodes, Dhikraya ou Concrete Jungle - oui encore, mais ce titre est merveilleux, que voulez-vous – pour se rendre compte de la profondeur de la voix de Djazia.
En fait, j'étais parti pour faire une critique objective de Dhikrayat mais je m'aperçois que ce n'est pas possible, parce que je trouve cet album trop bien pour être objectif. Donc, je ne serais absolument pas objectif non plus en disant que cet album apporte un coup de frais à un genre qui sent parfois un peu le renfermé, c'est à dire le trip-hop. Si vous aimez les disques calmes, bien chantés et mélodieux alors ce disque est fait pour vous et vous ne le regretterez probablement pas.
Chroniqué par Traulever
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Note : +
http://www.juniorkelly.net
http://www.myspace.com/juniorkelly
Origine du Groupe : Jamaica
Style : Reggae Dancehall , Nu Roots
Sortie : 2010
Tracklist :
1. Celebrate Life
2. Nuthin’ Wrong With The World
3. My African Child
4. She’s Gone feat. Lukie D
5. Murderer
6. Waan Lef’ De Ghetto
7. Stumbling Blocks
8. How Better Ah Go Home
9. Believe In Yourself
10. Slackness
11. Real Love
12. Papa’s Song feat. Ras Shiloh
13. Too Late feat. Queen Ifrica
14. Treacherous Waters
15. One Bright Day. Celebrate Life
Link Censored DMCA request
Junior Kelly, artiste prolifique, nous faisait languir depuis 2005, année de sortie de son dernier album Tough Life (on n’oublie pas le Live in San Fransisco de 2006 et le Greatest Hits de 2008.) Nos souhaits ont donc été exaucés avec ce nouvel opus intitulé Red Pond. Backé par le Fire House Crew, qui accompagnait Sizzla sur sa tournée européenne 2009, Junior s’est aussi entouré de Lukie D, Ras Shiloh et l’incontournable Queen Ifrica pour trois featuring alléchant. Nous étions donc en droit d’attendre du bon son. Le jamaïcain a bien pris le temps de murir cet album, et cela ce sent au moment de l’écoute. Il nous propose 15 titres aux influences diverses, tout en gardant une harmonie qui fera incontestablement de cet album une des références de l’année 2010.
Dès le début, le ton est donné avec deux big tunes, « Celebrate Life » et « Nuthin’ Wrong With The World », qui s’inscrivent dans la lignée de ses meilleurs sons Nu Roots. L’album se déroule ensuite, enchainant parfaitement des titres dancehall comme « Murderer » et d’autres beaucoup plus roots comme « Stumbling Blocks ». Un bon tiers de l’album est consacré au thème de l’amour et c’est là que l’on retrouve le flow hip-hop de Lukie D sur « She’s Gone » et la belle Queen Ifrica sur « Too Late ». Continuant dans la même veine, Junior s’associe à Ras Shiloh pour la vibrante ballade « Papa’s Song », en hommage à son père et à sa famille. Presque aussi à l’aise que Sizzla sur les productions de George « Dusty » Miller, « Waan Lef’ The Ghetto » est un exemple du mélange entre ses influences roots pour les lyrics et dancehall pour la prod.
Dans l’ensemble Red Pond est donc un bon album Nu Roots, qui sans atteindre la qualité de Love os Nice n'en reste pas moins homogène en termes de qualité des titres, et qui en fera vibrer plus d’un ! Junior Kelly est bel et bien là et il faut toujours compter avec lui.
Par Clément Chauveau
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Note :
http://www.healerselecta.co.uk
http://www.myspace.com/healerselecta
Origine du Groupe : England
Style : DJ , Groove , Soul , Funk
Sortie : 2010
Tracklist :
1. You Are Listen To (3:52)
2. Let's Get It Starter (3:29)
3. Melting Pot (4:12)
4. Twangy Batucada (2:34)
5. Sweet Lil Thang Of Mine (7:35)
6. Rock A Rolla Boogaloo (3:07)
7. Foundation Of Love (4:06)
8. Tura Stomp (3:31)
9. Cuban Proyect (3:54)
10. Cruisin' On The Highway (4:14)J'ai récemment découvert Healer Selecta (aka Yvan Serrano-Fontova) en feuilletant au travail Mojo Magazine qui le présente comme "un DJ international / musicien qui a rendu à Londres tout son swing".
Mojo étant l'une des dernières revues à laquelle je fais confiance les yeux (pratiquement) fermés, je n'avais pas besoin de plus d'arguments pour, le soir venu, taper les précieuses références sur Google et ainsi partir à la recherche du sacré Graal.
Et une fois de plus, Mojo avait raison.
Dès la première écoute de Let's get it started, j'ai été aspiré par son détonnant et cohérent mélange de soul, de funk, de guitare surf, d'afrobeat, de Rhythm & Blues, de samba, de reggae, ...
Les écoutes suivantes n'ont fait que confirmer la première impression.
En effet, après un morceau introductif, You are listen to, l'album se transforme en bombe, véritable explosion des sens. S'enchaînent alors trois morceaux de soul / funk de très bonne facture, Let's get started, Melting Pot et Twangy Batucada (et sa guitare surf), un morceau d'afrobeat jazzy à souhait Sweet Lil Thang Of Mine, ...
Bref, c'est la fête à tous les étages, un voyage musical transcendantal, que sais-je encore ...
Les genres et les époques s'effacent, s'entrechoquent, se confondent pour au final ne faire plus qu'un.
Un disque très tarantinien et russmayerien en somme (voir la vidéo de Tura Stomp ^^) !
Tous les genres présentés sont en effet ici issus du passé mais sont traités de manière résolument moderne et l'album parvient ainsi à s'imposer comme une synthèse parfaite et naturelle du rythme fusion de ce début de 21ème siècle, remède parfait contre la morosité ambiante.
Par Thierry
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Note :
http://www.lastfm.fr/music/Di+Melo
http://www.myspace.com/wwwmyspacecomdimelo
Origine du groupe : Brazil
Style : World Music , Groove, Soul, Funk , Bossa Nova
Sortie : 1975
Tracklist :
1. Kilariô
2. a vida em seus métodos diz calma
3. aceito tudo
4. conformópolis
5. má-lida
6. sementes
7. penalonga
8. minha estrela
9. se o mundo acabasse em mel
10. alma gêmea
11. joão
12. indecisãoOne of the classics of the Odeon era in Brazil, a samba-funk nugget that's brimful of sunny, funky tracks. Arrangements are by Hermeto Pascoal, another musical genius from Brazil, and the mix of funky horns and electric keyboards doesn't get too much in the way of the acoustic guitar and viola on the tracks which are definitely half-way between brazilian funk-soul and MPB.
The heavy groove is present all the way through, without getting too formulaic or being a mere imitation of the American sound —so don't pass this unique record, right on time for the warmer days!
Enjoy it!
by Greg
permalink Thanks ! http://oufarkhan.blogspot.com
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Note :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Morwells
http://fr.wikipedia.org/wiki/King_Tubby
http://www.myspace.com/kingtubbydub
Origine du Groupe : Jamaica
Style : Dub
Sortie : 1975
Tracklist :
1. Sky Ride 2:56
2. Bald Head 3:08
3. Morwell's Star 3:22
4. Jah Star 3:05
5. John Bull 3:19
6. Lightning and Thunder 3:33
7. Pegasus Rock 2:28
8. Morwell's Theme 3:20
9. Concord 3:15
10. Jungle Shuffle 3:30
11. Swing and Dub 3:30
12. Morpheus Special 3:42
13. Ethiopians Special 2:21
14. Stepping in HQ 3:10By 1975, the Jamaican dub had evolved from being a mere instrumental version of a singer's hit to a unique creative force. Instruments began dropping in and out of the mix unexpectedly, vocals appeared only to be frozen in time by heavy doses of echo and reverb, and filtered drums started changing shape before listeners' ears. The first shots had been fired two years earlier, with the near-simultaneous release of Lee "Scratch" Perry's Blackboard Jungle Dub, Herman Chin Loy's Aquarius Dub, and Clive Chin's Java Java Dub opening the floodgates. Lost in the shuffle during the years that followed was this 1975 encounter between King Tubby and the Morwells. Formed in 1973 by Maurice Wellington and Eric Lamont, the duo soon began releasing music on their own MOR-WELL ESQ label. For Dub Me (1975), Tubby draws heavily upon the Morwells' debut album, Presenting the Morwells, on ten mixes. Blood & Fire adds four dub cuts, the finest of which is an extra version of the group's take on "Swing & Dine," with the engineer in top form. For the most part, the mixes are more reserved than usual, which is possibly the reason this disc was given a mixed reception upon reissue in 1997. As reggae fans know, however, the presence of the dub master alone makes this worthy of consideration, and there's much to enjoy here. Horn lines and guitar chords hang suspended, high above the drum and bass foundation on "Morpheus Special." Eric Clarke's drum patterns slip and slide across Errol Holt's bass on "Bald Head," and Tubby expertly teases listeners with enticing snippets of vocal on the infectious "Pegasus Rock." Dub Me probably won't leave newcomers in awe of Tubby's mixing prowess, nor of roots reggae's elemental power, but serious fans should definitely take note.
By Nathan Bush
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Note : ++
http://www.myspace.com/ddayone
Origine du Groupe : North America
Style : Abstract Hip Hop
Sortie : 2006
Tracklist :
01. A Word From T-Kid On Life...
02. Introduction In Progress
03. Dday One - Seeds Of Revolution
04. Dave Brubeck - Calcutta Blues
05. Luke Vibret - Music Called Jazz
06. Omid - Solarism
07. Grand Puba - 360 Degrees (Inst.)
08. Poly - He Is At The Discotheque
09. Del Tha Funkee Homosapien - Mistadobalina
10. Strictly Roots - Beg No Friends (Inst.)
11. Mode Selector - From Somewhere And Nowhere
12. Das Efx - The Want Efx (Remix Inst.)
13. Air - Modulor (Modulor Mix)
14. Mantronix - We Control The Dice
15. Ultramagnetic Mc's - Ease Back
16. Spyder D - Rap Is Here To Say
17. Take - L.A.T
18. Sound Defects - Focus
19. Sach - Number Nine
20. Sam Sever - Tonight (Dub Joint)
21. X:144 & SPS - Last Voice
22. MCP - Bass Is What We Want
23. Stereo Mc's - What Is Soul
24. Maker - Live It (Part 1 & 2)
25. Kankick - Don't Fight That (Inst.)
26. DJ Krush - Kemuri
27. Dday One - Our Music
28. 2Tall - Hourglass
29. The Roots - Distortion To Static (At Ease Mix Inst.)
30. Ed OG - Be A Father To Your Child (Inst.)
31. Barsha - Internal Affairs (Inst.) / Alkaholiks - Likwit
32. Pharcyde - My Soul (Inst.)
33. Fererico Aubele - Malena
34. Break Mongors - Untitled Break
35. Cut Chemist - SpoonProducteur révélé l'an passé par son premier long format "Loop Extensions", Dday One s'affirme comme étant la relève de la génération des Daddy Kev et consorts, des amoureux du vinyle en perpétuelle recherche de la boucle parfaite. Il vous offre ce mois-ci un mix assez fidèle aux ambiances de ses productions, un mélange subtil de hip-hop instrumental, de jazz et de downtempo. Merci qui?
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Note :
Origine du Groupe : Madagascar
Style : World Music
Sortie : 2001
Tracklist :
1- Misahotaka Ny Akama
2- Realy
3- Sarotra Ny Miaina
4-Mandry Ve?
5- Ny Fitiavako
7- Vonjeo
8- Mainte
9- Vavaka
10- Gasikara
11- Hanatra
12- Mamy Kha
Musiciens / Band
Rajery (Germain Randrianarisoa) : valiha, chant
Jean Charles Razanakoto : guitare, chant
Raymond Rakotoarisoa : percussions, chant
Tôty (Olivier Andriamampianina) : guitare basse, chant, arrangement, guitare, persussions
En septembre 2001 sort son second opus "Fanamby" (le défi), dans lequel Rajery et son quartet nous offrent un album d'une rare authenticité. Un disque acoustique avec lequel ils réussissent le fanamby d'une fusion entre l'héritage musical malgache et leur propre culture musicale. Les polyphonies 'a cappella' que le groupe Senge nous avaient fait découvrir côtoient les rythmes chaloupés du Salegy de Jaojoby, le blues mélodique des Hauts-Plateaux est évoqué comme les rythmes entêtants des danses Antandroy ou le groove du rija Betsileo.par Sourakhata
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Note : ++
http://en.wikipedia.org/wiki/Michigan_&_Smiley
Origine du Groupe : Jamaica
Style : Reggae Dancehall
Sortie : 1978
Tracklist :
01 - Rub A Dub Style
02 - Nice Up The Dance
03 - Thank You Jah
04 - Compliment To Studio One
05 - Time To Be Happy
06 - Eye Of DangerQuirks in the Jamaican copyright laws were instrumental in the vibrancy of the island's music scene, as a song itself could not be copyrighted and only a specific version had protection. The upshot was a continuous free for all over melodies, with up and coming producers relying on old melodies to make their reputations. This stream of versions turned into a flood as the '70s progressed, with Studio One having the "honor" of being particularly plundered. It wasn't until 1978 that label head Coxsone Dodd finally bowed to the inevitable and hit back by versioning his own back catalog. The following year, he set two young DJs loose across Alton Ellis' classic "I'm Just a Guy," and watched the resulting "Rub a Dub Style" dance its way to the top of the Jamaican chart. From that moment on, there was no looking back. The hit titled the pair's ensuing full-length, which unleashed the duo across another five Studio One gems, all six delivered up in their extended mix form. Dodd was keen to keep the sparkle of the originals, and thus the brass, keyboard, piano, and guitar riffs were usually left intact. He niced them up for the dancehalls by employing overdubbing syndrums and percussion, while Earl "Bagga" Walker and Freddie McGregor added new bass and drums, giving each of the pieces a more militant, roots-rockers sound. Engineer Scientist's work was equally crucial and created a new crisp sound that was about to take the island by storm. Married to the brightness of the original rhythms, it totally revolutionized the sound in the dancehalls. The DJs were also embarking into uncharted waters. Toasting was certainly not new, but the concept of two DJs toasting together, cheerily trading off lines, and gleefully addressing the crowds and each other, was new. The two were responsible for kicking off the fashion for duos, and all those who came after owe them respect. Beyond the chart topper and the almost as huge "Nice Up the Dance," the rest of the set is of equal caliber as the two delve into culture and thanking Jah and Studio One for their good fortune. Indeed, it was "Time to Be Happy," and this record was one of the major reasons why people back in the day were.
by Jo-Ann Greene
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Note :
http://www.myspace.com/clubdesbelugas
http://www.chinchin-records.com
Origine du Groupe : Sweden , England , Germany , North America
Style : NuJazz , Electro Lounge , Lo Fi
Sortie : 2009
Tracklist :
CD 1:
01. Early Daiquiris
02. Tokyo Dawn
03. Hot Vibes / Special Bar Tunes Edit
04. Next Order Please
05. Quatre pieces cellees, part 1
06. Faute De Mieux
07. Caviar At 3 A M
08. Sisi Tartar
09. Kissez In Gallop
10. Papaya
11. Seven Chills
12. Weather Report
13. La Mer
CD 2:
01. Gadda Rio
02. Jelly Galore
03. Heya
04. Get Shorter
05. Nerono
06. Lou Two
07. Hip Hip Chin Chin / Smooth Return Mix
08. The Rebirth Of The Fat Lola
09. Quatre pieces cellees / part 2
10. One Note Brazil
11. Jilt By Julie
12. The Nil Reference
13. Hip Hip Chin Chin / Maxim Illion MixClub des Belugas is one of the leading lounge & nujazz projects in Germany, perhaps in Europe. They combine Contemporary European Lounge & Nujazz Styles with Brazilian Beats and American Black Soul of the fifties, sixties and seventies, using their unique creativity and intensity.
Main members are Maxim Illion & Kitty the Bill, with such exquisite guest vocalists as the Californian Jazz Lady Brenda Boykin, Swedish singer anna.luca, London based Jazz singer Iain Mackenzie, Anne Schnell from Jojo Effect, Ferank Manseed from Newcastle/UK, Dean Bowman from New York, trumpeter Reiner Winterschladen (Nighthawks) and trumpet player Thomas Siffling.
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Note :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Magic_Sam
Origine du Groupe : North America
Style : Blues
Sortie : 1969
Tracklist :
1. I Just Want A Little Bit
2. What Have I Done Wrong
3. Easy, Baby
4. You Belong To Me
5. It's All Your Fault
6. I Have The Same Old Blues
7. You Don't Love Me Baby
8. San-Ho-Zay
9. Stop! You're Hurting Me
10. Keep Loving Me Baby
* Magic Sam : vocals and guitar
* Eddie Shaw : tenor sax
* Lafayette Leake : piano
* Mighty Joe Young : guitar
* Mack Thompson : bass
* Odie Payne Jr. : drumsFrom wikipedia :
Devenu Magic Sam, le jeune homme commence en 1957 à enregistrer des 45 tours pour Cobra Records, dont All Your Love, qui remporte un succès local. Ce morceau est souvent considéré comme l'acte de naissance du Blues "west side .
Très amical, bon vivant et décontract, Sam n'en est pas moins confronté aux difficultés de la vie de musicien de Blues, et de tout ce qu'elle implique à l'époque en matière notamment de consommation de tabac et d'alcool. Plus grave, en 1959, alors que sa carrière semble en train de décoller, Magic Sam est appelé à faire son service militaire. Décidé à y échapper, il déserte, ce qui lui vaut six mois de prison. Il revient traumatisé par cette expérience. Mais Sam parvient néanmoins à redevenir une figure importante des nights-clubs de Chicago, malgré des démêlés avec le syndicat local des musiciens et des problèmes de management Pour autant, aucun de ses enregistrements ne parvient à une renommée nationale, et les opportunités discographiques se font rares.
En 1960, à la suite de la faillite de Cobra Records, Magic sam signe sur le label Chief, pour qui il enregistre notamment sa version de Every Night About This Time, de Fats Domino. Le single remporte un certain succès, ce qui reste l'exception.
Néanmoins, le milieu des années 1960 voit la carrière de Magic Sam repartir, grâce au renouveau du Blues à la suite du British Blues Boom et au regain d'intérêt du public blanc. Il enregistre notamment Out of Bad Luck pour Crash Records, avant de signer avec Delmark Records pour That's Why I'm Crying. Il enregistre en 1967 pour Delmark son premier album, West Side Soul, qui contient notamment une version du Sweet Home Chicago de Robert Johnson (1936) . Il part ensuite en tournée pour soutenir l'album, malgré une blessure par balle à la jambe quelques jours avant le départ.
Après une tournée aux États-Unis et en Europe, Magic Sam enregistre en 1969 son second album, Black Magic, qui doit lui permettre de "percer" au niveau international. Tournées, bonnes ventes de disques et cachets en augmentation, tout semble alors sourire au guitariste. Mais sa santé, qui n'a jamais été très bonne], se dégrade brutalement. Alors qu'il tourne en première partie de l'harmoniciste Charlie Musselwhite, Magic Sam doit être hospitalisé pour ce qu'on croit d'abord être une bronchite, mais qui se révèle en réalité une crise cardiaque.
Sorti de l'hôpital, Magic Sam semble rétabli, tournant en Europe et en Californie, et il est question qu'il signe avec le célèbre label Stax. Mais il décède d'une nouvelle crise cardiaque le 1er décembre 1969 au matin[23]. Sa tante Lilly aura survécu à tous les enfants qu'elle a élevé .