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http://www.myspace.com/thegaslampkiller
http://thegaslampkiller.blogspot.com
Origine du Groupe : North America
Style : Abstract Electro , Brokenbeat
Sortie : 2009
From http://www.snobsmusic.net
LA club DJ The Gaslamp Killer is stepping into the realm of music releases with My Troubled Mind, his debut EP. The seven track set will be released on August 4th.
Now completely artificially created electronic instrumental music has never been my bag. The Gaslamp Killer however does a respectable job of keeping the music fresh and varied. The tracks come
at you in short textured bursts, ensuring none of them really overstay their welcome, a real risk with the genre.
The influences on the EP are also quite varied. Many of the tracks have an overarching jazzy feel to them and several, including the standout "Anything Worse" have a Shaft-like '70s funk quality.
The most intriguing construct is "Turk Mex", which is a fusion of traditional Middle Eastern sounds with a flamboyant Latin guitar riff.
My Troubled Mind is never something that I would reach for to listen to on a regular basis, but as it stands it makes a pretty decent soundtrack to whatever chores you need to do today.
Tracklist :
01 - Intro A
02 - Anything Worse
03 - Turk Mex
04 - Intro B
05 - Baiafro
06 - Ruskie Electric
07 - Birthday Music
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http://www.myspace.com/onomonojp
Origine du Groupe : Japan
Style : Abstract Electro , Downtempo , Breakbeat , Electronica , Ambient
Sortie : 2009
From http://www.tbhr.co.jp
He is the track producer for THA BLUE HERB. He has released two full-length albums and many singles as THA BLUE HERB. He cuts a path where there was none before. He releases his drums like a
dashing beast. He is an original beat artisan without peer. He organized an experimental unit called “Shigam” with A.S.A and released the album “Beauty”. In February 2003, his first solo album
“SIX MONTH AT OUTSIDE STAIRS” was released. By those free-form songs, his listeners acknowledged his deep bounds for ability, and at the same time, the sound becomes an entrance into his live
performances, which continue to change in real time. In 2004 he released an original soundtrack for a movie called “HEAT” under the name THA BLUE HERB, and simultaneously held live performances
at more than 50 locations including FUJI ROCK FESTIVAL. His inspiration comes not only from a sense of hip hop, but also techno, dub, electronica and various other genres of music, his
sensitivity and MPC, and culminates itself in “O.N.O’s break beats”.
Tracklist :
01 Forest Glow
02 The Path
03 Floating at Dusk
04 Groundwater
05 Passing by
06 She side
07 Night Scene
08 Struck a Chord
09 Tower resound
10 Motion!
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http://www.myspace.com/soundofrumband
Origine du Groupe : U.K
Style : Rap Fusion , Hip Hop
Sortie : 2011
Pour http://lemangedisque.com
Après plusieurs maxis prometteurs, Sound of Rum sort son premier disque : Balance. Sound of Rum c’est un jeune groupe londonien composé de Kate Tempest au ”mic” comme on dit, d’Archie Marsh à la
guitare et de Ferry Lawrenson à la batterie, au clavier, à la flute...
Ce qui frappe à la première écoute de Sound of Rum, c’est la voix et le flow de Kate Tempest. Un spoken word qui a peu à envier aux plus grands (Sage Francis, Saul Williams, Tumi Molekane...).
Son assurance et sa maîtrise sont impressionantes. L’émotion est bien présente dans sa voix légèrement éraillée qui expédie 14 pages de lyrics en une petite heure. Cette jeune femme semble avoir
beaucoup à dire ! Il faut d’ailleurs préciser que les plus curieux d'entre nous pourront se pencher avec attention sur les paroles, puisqu’on les retrouvent dans le livret (habitude qui se perd
et c’est regrettable). L’autre face du livret est un petit poster qui reprend la photo de la couverture du disque.
La musique de Balance composée par Archie Marsh et Ferry Lawrenson contient quelques petites trouvailles. Je pense par exemple à un morceau comme Ed Would Be. Ce petit sample de guitare qui
débute le morceau est rudement bien trouvé. Une ou deux bonnes idées comme celle-ci par morceau, et c’est bouclé. Parfois ce sera un petit riff de bass funky mis en avant, une autre un petit
break au wood block sur un sample de guitare qui relance astucieusement le morceau. Point trop n’en faut. Pourtant, les compositions s’enchainent, et les instrus restent relativement variées :
ballade, rock, en passant par de petits grooves chaloupés et de bons petits riffs aux résonances électroniques, ou au contraire des instruments sans aucun habillage...
Contrairement à ma première impression, c’est bien les instruments de Sound of Rum qui portent ce disque. Car malgré le côté surdoué de Kate Tempest, son flow est encore très répétitif. Il est
excellent sur un titre ou deux, mais il devient vite lassant. Kate Tempest a du talent c’est certain. J'espère qu'à l'avenir elle parviendra à nuancer un peu plus sa façon de raper. Peut-être en
accentuant le côté chanté, ou en exploitant davantage d’autres tempos (plus lents) ?
Malgré ce léger reproche, Sound of Rum reste une bonne surprise. Un groupe à surveiller de près.
Pour ceux qui souhaiteraient les voir en concert (et Kate à l’air de donner de sa personne sur scène), ils passent à la Cigale le dimanche 6 novembre, dans le cadre du festival Inrocks Black
XS.
Tracklist :
1. Rumba
2. EdWouldBe
3. Slow Slow
4. Breakthrough
5. Icarus
6. Balance
7. Give
8. Concrete Pigeon - Polarbear
9. Best Intentions
10. So Low
11. End Times
12. Prometheus
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http://www.myspace.com/asaofficial
Origine du Groupe : Nigeria , France
Style : Folk, Alternative
Sortie : 2011
Par Benjamin Minimum - Mondomix pour http://liveweb.arte.tv
Prononcez "Asha", et imaginez une voix agile, virevoltante et joueuse, pareille à celle d'un "petit faucon", son surnom en langue yoruba. Il y a eu son premier tube, "Fire on the Mountain", une
ritournelle bricolée aux accents reggae qui lui valut notamment d'ouvrir pour Stephen Marley, puis un premier disque au succès foudroyant. En 2010, la jeune Nigérianne qui vit à Lagos mais est
née en France sortait un deuxième album, Beautilful Imperfection.
Celle qui écoute Fela Kuti et les musiques religieuses yoruba comme Chuck Berry ou Ella Fitzgerald, Nina Simone, Coltrane, Davis ou ... Renaud s'est ensuite embarquée dans une tournée à travers
toute la France. Témoignage de cette belle aventure, voici le concert donné en juin dernier à l'Olympic à Nantes.
"Le ciment de cette ludique architecture tient avant tout à sa voix. Elle conjugue la douceur du lait et le piment du poivre et vole sur chaque mot avec une agilité nonchalante. Elle ajoute à ces
chansons d'apparence légère comme un double sens d'une grande sensualité, d'une immense tendresse, d'une infinie humanité."
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Origine du Groupe : Canada
Style : Indie , Folk, Alternative
Sortie : 2011
Par Jean-François Téotonio pour http://www.feuavolonte.com
Si Feist nous avait habitués à des entrées en matière des plus douces et délicates sur ses deux premiers albums, c’est sur une note nettement plus rythmée qu’elle entame Metals, dernière offrande
de l’auteure-compositrice-interprète canadienne. Depuis la sortie de The Reminder en 2007, qui lui a notamment valu la reconnaissance internationale autant que six prix Juno, quatre nominations
aux Grammys, une finale au Polaris de 2007 ainsi que des tournées à travers le monde, Leslie Feist a dû s’arrêter un certain temps, fermer les livres, prendre du repos.
Elle nous revient cet automne avec une nouvelle galette de douze pièces qui, tout en suivant la ligne directrice des derniers albums, s’en distinguent de par leur plus grand raffinement et
profondeur. Pour ceux qui recherchent les refrains forts accrocheurs des bijoux pops tels que 1,2,3,4 ou Mushaboom, vous serez certainement déçus. Il n’y a pas ici de chansons qui siéront bien
aux prochaines pubs de l’iPhone 5. Des textes plus introspectifs (mais pas subjectifs), et donc du coup plus sombres et riches en émotions. Si on retrouve avec plaisir des pièces plus intimes,
telle que Get It Wrong, Get It Right qui clôt doucement l’album, on est surpris par l’ampleur et le déploiement que vont aller chercher des pièces plus ponctuées, comme la magnifique introduction
The Bad In Each Other.
L’orchestration ingénieuse et les arrangements travaillés sont toujours au rendez-vous, et on sent que l’effort a été mis pour faire en sorte que les mélodies en soient plus prononcées. Les
montées, ces bouillonnements instrumentaux qui intensifient le dramatique et qui élève une pièce à un autre niveau, se font nombreuses et aboutissent vers des moments de grâce, littéralement.
C’est particulièrement vrai sur Graveyard, pièce où l’on reconnaît la cadence mélodique de Feist, et sur laquelle elle nous chante « Bring them all back to life ! », avec sa voix feutrée qui la
distingue parmi toutes ces autres chanteuses de pop ingénieuse des temps modernes. À noter le très beau travail que font Colin Stetson, qui a notamment travaillé avec Bon Iver sur son dernier
album, et Evan Cranley sur les arrangements de cuivre.
Alors que l’on pense que l’album prend une tournure plus sobre, et moins intéressante, vers le milieu, la pièce The Undiscovered First nous prend nettement par surprise. Une introduction des plus
sereines à la guitare acoustique et à la voix réconfortante de Feist, puis embarquent les percussions et quelques voix en arrière plan, suivi des cuivres, puis de la guitare électrique, et tout à
coup, on se retrouve dans un environnement lourd et robuste, très rock. La pièce qui suit, Cicadas & Gulls, un traditionnel guitare acoustique-voix, ne s’en fait que plus belle, tant le
contraste entre l’envolée et le retour au sol est bien amené. C’est là la beauté de Metals : un triumvirat de chant intime tout en étant puissant, d’instrumentation variée et de mélodies, moins
accrocheuses mais tout de même porteuses d’une grande sagesse.
Un album qui saura satisfaire les fans de la première heure, tout en allant probablement chercher de nouveaux adeptes. L’absence de pièces à succès en fera peut-être un album moins marquant, et
c’est probablement ce qui le rend moins accessible pour un public friand de musique plus légère. C’est décidément un album plus sombre que ce que l’on connaît déjà de Feist, mais les hauteurs
qu’atteignent certaines pièces en termes d’intensité et de volume en font un album d’une grande qualité, qui va probablement se classer parmi les meilleurs de l’année.
Tracklist :
01. The Bad In Each Other
02. Graveyard
03. Caught A Long Wind
04. How Come You Never Go There
05. A Commotion
06. Bittersweet Melodies
07. Anti Pioneer
08. Undiscovered First
09. Cicadas And Gulls
10. Woe Be
11. Comfort Me
12. Get It Wrong, Get It Right
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http://www.myspace.com/soundwavepressure
Origine du Groupe : Ukrain
Style : Electro , Breakbeat , IDM , Broken Beat , Experimental
Sortie : 2011
From http://liminalrecs.com
Among patients previously treated with fluoxetine, and start taking MAO inhibitors over a shorter interval, there were severe cases of serotonin syndrome (manifestation of which may be similar to
CSN), until death. Fluoxetine has the ability to inhibit the isoenzyme CYP2D6. Therefore, treatment with drugs that are metabolized by this system and that have a narrow therapeutic index, should
start with the lowest dose if the patient is simultaneously receiving fluoxetine or took it for the previous 5 weeks. In the case of inclusion of fluoxetine in the treatment regimen the patient
is already receiving such a drug should include reducing the dose of the first drug.
After much wandering around the expanse of music, from noise to power electronics, Kiev two sound-producer Rugaroo Sitreus and settled on the deep and dynamic variations of the IDM sound. Total
less than a year of existence, Ruga Roo and Sitreus played at many venues in the city of Kiev, were on the festival main stage Enegry Winter Festival, performances of such weighty warmed up in
the underground electronic scene of musicians, like Hecate, Schyzzo.Com, Alien Vampires, as well as shared the stage with such notable Ukrainian teams, as Simplerror, My lovely Alien, 2525, I
wanna be & Cryogen Heart, Revetuna, Motloch and many others.
Tracklist :
01 - Prozac
02 - Quien es?
03 - She Need Drugs
04 - I Am, The Infinity
05 - It's All The Same
06 - Hypocrisy
07 - What Have We Done
08 - Enter The Void
09 - Invisible Explosion
10 - Breathe
11 - Lost
12 - Post Effect
13 - Inner Empire
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Origine du Groupe : Spain
Style : World Music , Arabic Music , Ambient
Sortie : 1997
By Tom Schulte from http://www.allmusic.com
These lush echoes of Moorish Spain celebrate the sensual poetry of 11th century writer Ibn Al Zaqqiq. ("Her sash undone, later I saw her wrapped only in her perfume.") Arabic culture fuses the
poet and musician into one near-sacred role. Such respect and craft is taken with these treatments of Al Zaqqiq's verses. Luis Delgado thoughtfully blends subtle electronic drones or rhythms with
a diverse cornucopia of ethnic instrumentation representing the Islamic Empire from Andalusia to Persia. The seven-string Turkish lutes, known as a baglama and saz, along with other varieties,
sing alongside the santur and qanun zither variations. Folk flutes from Egypt and Thrace add a beautifully exotic and nostalgic color to some tracks. Percussion comes from the pottery, wood or
metal darbuka and small goblet drum of East Africa known as the dumbek. Only five of the tracks are sung, but all are based on a certain poem, if only in cadence. Standouts include an
instrumental, the mysterious synthesizer and lute paean to Luna, "La Luna Nueva (The New Moon)." The sung verses are either in the incredibly versatile tenor of Mohamed El Arabi Serghini or the
honeyed and moving tones of Aurora Moreno. On one selection they duet. Text translations and instrumentation are given in the booklet.
Tracklist :
01. Balansiya
02. El Saludo
03. La Aurora Nocturna
04. La Luna Nueva
05. Bebiendo Al Alba
06. Al Cintur¢n Y El Brazalete
07. La Luz De Axarqu¡a
08. Rosas En El Estanque
09. La Mirada
10. Amanecer En La Mar
11. La Ruta Del Marfil Negro
12. Epitafio
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http://en.wikipedia.org/wiki/Kenny_Burrell
Origine du Groupe : North America
Style : Jazz
Sortie : 1968
From http://www.musicstack.com
Deep Groove 1968 Stereo Original Still In Shrink Wrap Featuring Jimmy Cleveland Jerome Richardson Don Butterfield Ron Carter Hank
Jones Urbie Green And Others Appears Glossy Unplayed
Tracklist :
1. Night Song
2. Blues for Wes
3. Namely you
4. Love you Madly
5. Just A-Sittin' and A-Rockin'
6. The Shadow of your Smile
7. Brother Where are you ?
8. Night Hawk
9. Teach me Tonight
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Origine du Groupe : North America
Style : Hip Hop , Abstract Hip Hop
Sortie : 2011
Par François pour http://www.mowno.com
Quand on livre un premier album solo à un label comme Anticon, mieux vaut faire ça bien. Serengeti passe son examen d’entrée avec succès grâce à un “Family & Friends” à surtout écouter le
dimanche après-midi. En tapant son nom sur Google, vous trouverez des lunettes, un zoo ou des bijoux: recherche révélatrice pour ce discret producteur. On découvre alors un personnage sombre en
apparence tout au long de ce disque introduit par “Tracks”, une première facette émotive en guise d’introduction grise et pluvieuse ouvrant la fenêtre pour y laisser entrer une mélancolie qui ne
retombera pas avant le second tiers. Et lorsque guitare, violon et piano y sont joués live, le hip-hop gagne tout de suite en éclat. La preuve ici, ou le MC chicagoan est aussi épaulé par deux
producteurs: Yoni Wolf - leader de Why? - est coupable de la moitié des beats, le reste venant d’Advance Base, anciennement connu pour ses pop songs de chambre via le projet Casiotone For The
Painfully Alone. Ces associations sonnent tendrement sur l’agréable “Flutes” ou sur l’arc-en-ciel digital “A.R.P.”, et contribuent largement au relief d’un album qui, au départ, présentait un
certain handicap. En effet, Serengeti affiche un flow parfois trop uniforme, mais néanmoins clair et bien distinct pour les adeptes du texte qui se régaleront des sarcasmes de “California”, ou
des hauts et des bas d’un ultimate fighter sur un “The Whip” rappellant les ambiances des premiers The Streets. “Family & Friends” est aussi un disque suffisamment court et riche pour devenir
attachant, comptant dans ses rangs quelques bonnes munitions: son morceau éponyme, la pop minimale et lo-fi de “PMDD”, et “Ha-ha” où le bonhomme s’entoure de deux soeurs australiennes pour un rap
instable, association de couplets limite flippants et choeurs légers à la Dirty Projectors!
Tracklist :
01. Tracks
02. PPMD
03. Long Ears
04. Ha-Ha
05. A.R.P.
06. Godammit
07. Flutes
08. California
09. The Whip
10. Family & Friends
11. Dwight
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http://www.myspace.com/trigg015
Origine du Groupe : Nederlands
Style : Electro Abstract , Ambient , Downtempo , Cinematic
Sortie : 2011
By Durk Kooistra from http://www.humanworkshop.com
Bart Knol, a.k.a Gritt also works under the Trigg moniker. A totally different style and feel. While Gritt is known for his hard hitting dubstep bangers, Trigg Is easy going, full of playfull
melodies and cinematic atmospheres. Bart has a studio full of vintage and modern synth's, but also a collection of obscure instruments and a Rhodes. Something you'll be ble to hear on this
release. The contrast between his different projects are so big, yet each has a right of their own. Unlike many artists with multiple monnikers, Trigg never even hints to dubstep.
It has the lofi quality of Mentz and the ethnic winks of BASIC's work. A true Humanworkshop release. Timeless cinematic electronic music.
Tracklist :
01. Crest
02. Tron
03. Emesis
04. Dark Flower
05. Pillon
06. Yasmin
07. Seahorse
08. Transit
09. Shelter
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